Sté d'éditions et de publications parisiennes, Paris s.d. (circa 1910), 12x19cm, broché.
Édition originale de la traduction française établie par Willy dont il n'est pas fait mention de grands papiers. Important et superbe envoi de Meg Villars, qui fut la maîtresse de Willy alors que celui-ci était marié à Colette, à la vicomtesse Jeanne de Bellune «?pour mon amie Jeannot de Bellune / en souvenirs de plaisirs (qu'on ose à peine qualifier de champêtres) partagés à Monte-Carlo...?» Couverture illustrée d'une sanguine de Garnier Salbreux. Meg Villars, de son vrai nom Marguerite Maniez commença à fréquenter Willy en 1906 et l'épousa en 1911. Après la rupture entre ce dernier et Colette, Jeanne de Bellune continua à fréquenter Willy et sa nouvelle femme, rapportant leurs frasques à son amie bourguignonne. «?Willy osa même faire signer un livre à Meg, Les Imprudences de Peggy, 'traduction de Willy', où Colette est persiflée en Vivette Wailly, à la vie emplie de coucheries stériles [...], avec des «?prêtresses de Sapho?» des plus débauchées et infidèles, finissant sa vie en soûlarde dans son château de Bretagne avec une vieille qui a les traits de Missy. Goujaterie supplémentaire, Meg envoie le livre dédicacé à la vicomtesse Jeanne de Bellune, dite «?Jeannot?», l'une des lesbiennes les plus cocasses de Paris, également amie de Colette.?» (La Vie sexuelle des écrivains, publié sous la direction de Gilles Bouley-Franchitti, 2006) Précieux exemplaire, d'une exceptionnelle provenance et relatant la relation tumultueuse de Colette et Willy dans le Paris du début de siècle. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sté d'éditions et de publications parisiennes, Paris s.d. (circa 1910), 12x18,5cm, relié.
Edition originale de la traduction française établie par Willy dont il n'est pas fait mention de grands papiers. Couverture illustrée d'une sanguine de Garnier Salbreux. Reliure en demi chagrin marron, dos lisse décoloré et orné de cartouches dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, ex-libris gravé de Walter Furst encollé sur un contreplat. Envoi autographe daté et signé de Meg Villars, qui fut la maîtresse de Willy alors que celui-ci était marié à Colette, à Walter Furst enrichi d'un envoi autographe signé de Willy. Les deux envois sont rédigés en anglais et effectués sur la couverture illustrée. Notre exemplaire est également agrémenté d'une carte postale photographique, encollée sur une garde, représentant les auteurs sur laquelle Willy s'est fendu d'un nouvel envoi autographe daté et signé à Walter Furst : "... exilé à Bruxelles...", rédigé à Bruxelles et comportant aussi la signature manuscrite de Meg Villars. Enfin, trois cartes postales photographiques représentant Willy tout seul pour la première, puis Willy et Polaire pour la seconde et Willy et Claudine pour la dernière ont été montées sur onglets entre les pages 156-157, 264-265 et 294-295. Sur chacune des trois cartes postales photographiques, Willy s'est fendu d'un envoi autographe signé ou de quelques mots à l'adresse de Walter Furst. Unique exemplaire joliment enrichi de documents manuscrits. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sarrelibre, 21 fructidor an 7, 1799 in-8 carré, 1 pp., déchirure dûe à l'ouverture restaurée.
Rappel d'une recommandation auprès du ministre de la guerre Bernadotte ; lettre datée du 21 fructidor (7 septembre 1799) :"Je vous recommande d'une manière toute particulière le commissaire des guerres Chapotot, citoyen Combes, le ministre de la Guerre a beaucoup de bontés pour lui (…) il ne s'agit que de le rapeller à sa bienveillance et de présenter promptement un rapport qui soit décisif en sa faveur (…)."À l'Armée du Rhin depuis 1792, Eugène-Casimir Villatte (1770-1834) avait été dès 1795 l'aide de camp de Bernadotte qu'il suit à la campagne d'Italie. Adjudant général en février 1799, il est versé dans la division Soult et participe à la campagne d'Helvétie. Nommé général en 1803, il servira les grandes campagnes de 1805 et 1806 et se distinguera particulièrement en Espagne de 1808 à 1814. Il est fait comte d'Oultremont en 1808.
Bordeaux, Imprimerie G. Gounouilhou, 1895, 2 volumes, grand in-4, broché et sous chemise rigide, XXXVIII-377-[1] p. + volume de planches. Tome 30 de la Société des Archives Historiques de la Gironde, publié sous les auspices de la ville de Bordeaux. Index alphabétique à la fin du volume de texte. Volume de planches : 105 planches dont 9 doubles, numérotées de 1 à 104, la planche 85 bis est bien présente, table sur feuillet double. Volume de texte broché, dos cassé, défauts aux couvertures, intérieur très propre. Planches sous chemise toilée bleue rigide avec liens, titre en noir sur le premier plat.
Très bon état. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
1 vol. in-8 br., Bibliothèque Municipale, Lithographie de Légé & Compie, Bordeaux, 1938, 68 pp.
Avec 2 lettres autographes signées d'Adrien Marquet (maire de Bordeaux à l'époque) jointes. Rare catalogue de l'exposition de la Bibliothèque Municipale de Bordeaux, organisée en 1938. Bon état. Peu courant.
Le secrétaire du district de Tonnerre certifie que les deux fusils qui ont été déposés par la municipalité de Poilly ont été estimés par le citoyen Reignier arquebusier ...” Daté 18 mars 1793.
1 vol. in-12 reliure demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs orné, Jouaust, Librairie des Bibliophiles, Paris, 1885, 44 pp. et 1 f.
Rare exemplaire bien relié, enrichi d'un billet autographe de l'auteur (2 pages) qui complète longuement un commentaire dénonçant la franc-maçonnerie : "[... ] il faut l'étonnante sottise de la libre-pensée, pour fourvoyer des multitudes comme le fait la Maçonnerie, dans une mascarade humanitaire où passait le triangle du temple d'Hénoch ; où l'on sent la chaleur des étoiles fixes ; où l'on respire l'éther du deuxième ciel ; où l'on aperçoit même les sept esprits [ ... ] auxquels il faudrait ajouter l'insondable Bythos et les trente Eons du Plérôme qu'avait entrevus Valentin. Il faut toute l'insanité de l'orgueil libérâtre et démagogique tel que le Siècle en a le don, pour ne pas être humilié de ces panoramas du Marcionisme, dignes des rêveries gnostiques de cerveaux égyptiens en délire, panoramas où l'on peut finir par voir le triangle de la "Fraternité"resplendir dans les flammes de l'Hôtel de Ville ! La fantasmagorie est en effet devenu spectacle incendiaire ; les initiés ont tressailli devant la Commune [ etc... ]". Belle provenance pour cet exemplaire venant de la bibliothèque du chansonnier français Henri Bresles (1864-1924), grand collectionneur d'autographes et manuscrits, qui furent vendus en 1909, 1919 et 1925 (fortes mouill. dans l'ouvrage, mais n'affectant ni le billet manuscrit ni le reste de la reliure et manifestement antérieure à la reliure, nombreux soulignements au crayon, ex-libris Henri Bachimont (Henri Bresles)).
France-Empire 2014 1 vol. broché in8 (240 x155 mm), broché, couverture illustrée, 198 pp. Envoi de l'auteur.
Ramsay - Collection "Des Etoiles Dans Votre Assiette" Paris 2005 In-4 carré ( 300 X 220 mm ) de 175 pages, broché sous couverture illustrée en couleurs. Nombreuses illustrations en couleurs hors-texte. Edition originale. Très bel exemplaire enrichi d'un très bel envoi autographe signé de l'auteur à Jean-Pierre COFFE. De la bibliothèque de Jean-Pierre COFFE avec son timbre humide.
. "Lettre autographe signée datée du 4 mars, 5 heures du soir. 1p. In-4, adresse d'expédition au verso (Monsieur Béraud, président des Soirées de Momus / Au Plais Royal...). Le cachet de cire a disparu. Il s'excuse de ne pouvoir assister au dîner des Soirées de Momus, ""société choisie où j'ai constamment trouvé tout ce qui pouvait plaire à l'esprit et satisfaire le coeur."" Théodore Villenave (Nantes, 26 Juillet 1766 - 1866) dit Eugène de Villenave ou Villenave fils, était auteur dramatique et historien. Il est le fils de Mathieu Villenave , avocat journaliste, pamphlétaire et bibliophile, qui contribua à la chute de Carrier. Restauration et cachet de collection sur la face interne. "
À propos des observations des Commissions consultatives sur le projet de code rural; certains jurés se sont fait porter malade... “la Cour d’assises jugera de leur mérite.” Très bon 16/12/1904 1 page in-4°
Très belle et longue lettre du dramaturge et poète Auguste Villeroy (1867-1955) adressée à son amie Nelly de Biedermann à propos de son roman L’Erreur paru en 1919.Les deux auteurs avaient collaboré quelques années auparavant pour l’écriture d’une pièce de théâtre intitulée Les Frères Lambertier, jouée à l’Odéon en 1911. Nelly de Biedermann signant alors de son pseudonyme Charles Hell.À la lumière de cette collaboration, on comprend la liberté qu’Auguste Villeroy s’octroie pour faire la critique de l’ouvrage de son amie, revenant sur certains problèmes de fond : « Je vous avoue d’abord que j’ai été un peu gêné de la révélation de l’ancienne faute d’Edmée. Il me semble que vous avez donné là, - en vertu de votre pouvoir discrétionnaire d’auteur, - une arme bien terrible à Michel et que vous vous êtes donné à vous même une bien grande facilité pour l’évolution ultérieure de votre roman. J’ai l’impression qu’il y a dans cette phrase, - dans cette charnière du livre, - un peu d’arbitraire, du fait que l’ancienne faute, - la faute de jeune fille, d’Edmée, -apparaît comme ayant quelque chose d’un peu monstrueux et exceptionnel. La seconde critique, qui est davantage de détail, vise le passage où Maurice trouve la lettre de justification écrite par Edmée à Michel. Il me paraît bien improbable qu’un homme comme Michel n’ait pas détruit d’instinct une pareille lettre par laquelle la « femme » son ennemie, reprenait tous ses avantages. En tous cas, il semble un peu léger, de la part de Michel, qu’il ait laissé trainer cette lettre dans les feuillets d’un dictionnaire. »Si la critique est pointue et peut paraître blessante, elle reste cependant constructive et bienveillante. Il termine sa lettre sur l’éloge du style de son amie : « L’expression précise merveilleusement la pensée. C’est de la bonne langue française, substantielle et claire. Encore toutes mes félicitations absolument sincères »
Imp. de Didot le jeune, Paris 1825, 21,5x27,5cm, broché.
Edition originale de cette thèse présentée et soutenue à la faculté de médecine de Paris le 27 Janvier 1825. Envoi autographe de Achille Villette en tête du premier plat. Rare exemplaire présenté dans son brochage d'origine. Une pâle mouillure affectant tout le corps de l'ouvrage, une pliure en pied de tous les feuilets. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1958 Paris, librairie théâtrale 1958 In 8 broché, couverture illustrée 156 pages, 2 FF catalogue, 19 illustrations, édition originale, ennvoi autographe à Jules Roy
Edition originale
Paris Cercle Grolier 1956 1 vol. relié in-4, plein vélin crème, dos lisse avec auteur et titre en lettres dorées, plats ornés de deux dessins originaux pointillistes en couleurs, bordure intérieure, doublures et gardes de tissu tramé gris, tête dorée, non rogné, couvertures et dos muet conservés, chemise demi-vélin et étui bordé, 117 pp. Édition illustrée de 25 eaux-fortes de Mario Avati. Tirage unique à 220 exemplaires numérotés sur grand vélin de Rives, celui-ci - exemplaire nominatif d'Ernest Simon - est enrichi d'une suite signée des gravures sur japon nacré, du menu illustré d'une eau-forte et d'un beau dessin original signé, version préparatoire de la gravure qui illustre la page 57, "Le convive des dernières fêtes". L'exemplaire est surtout conservé dans une reliure décorée par Avati de deux magnifiques dessins originaux aux encres de couleurs : un visage que fait sourire un joueur de violon sur le premier plat, une chouette perchée sur un arbre en médaillon du second plat. Le peintre a inscrit en page de garde cet ex-dono autographe signé : "à Ernest Simon qui a bien voulu me présenter au cercle Grolier, afin de me permettre d'illustrer ces quelques contes, ce 27 mars 1957, en toute sympathie, Avati". Exemplaire unique, en parfait état.
Comptoir d'édition, Paris 1890, In-12 (12x19cm), 312pp., relié.
Edition originale ornée d'un frontispice de Félicien Rops. Couvertures conservées. Edition posthume.Mallarmé et Huysmans, exécuteurs testamentaires de Villiers, se chargèrent d'établir cette édition avec Léon Dierx, au profit de la veuve de l'écrivain et de leur fils Victor. Bien complet des 2 feuillets du catalogue de l'éditeur. Envoi de l'éditeur sur le faux-titre : "A Eugène Marchal, en souvenir de notre bonne camaraderie. L'éditeur..." (signature illisible, sans doute Léon Dierx). Reliure à la bradel en demi maroquin lie-de-vin d'époque. Dos lisse orné de fers en miroir. Titre doré. Tête dorée. Dos uniformément éclairci. Un coin émoussé. Fantaisies, Pamphlet et souvenirs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Alphonse Lemerre , Paris 1870, 12,5x18,5cm, relié.
Edition originale sur papier courant, il n'aurait été tiré que cinq rarissimes Chine en grands papiers. Reliure à la bradel en demi maroquin chocolat, dos lisse, date en queue, plats de papier marbré, couvertures (comportant d'habiles restaurations marginales) et dos conservés, tête dorée, reliure signée de Boichot. Envoi autographe signé de Villiers de l'Isle-Adam à Victor Wilder, traducteur poétique de l'oeuvre de Richard Wagner. L'envoi dépeint l'amitié des deux hommes, qui se poursuit notamment lors de leur collaboration dans la revue wagnérienne jusqu'en 1888. Bel exemplaire agréablement établi. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Imp. & Lib. Francisque Guyon, Saint-Brieuc 1866, 16,5x25cm, broché.
Edition originale hors commerce imprimée à petit nombre et pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Dos factice habilement refait à l'identique des plats, petites déchirures angulaires et manques marginaux restaurés sur les plats, rares piqûres intérieures. Envoi autographe signé de Auguste Comte de Villiers de l'Isle-Adam. - Photos sur www.Edition-originale.com -
N. Scheuring & Cie, Paris 1888, 10x16cm, relié.
Edition originale publiée à compte d'auteur et à petit nombre. Reliure à la bradel en plein papier rappelant la couverture quadrillée or de l'ouvrage, dos lisse, pièce de titre de maroquin rouge, fragiles couvertures conservées, tête dorée, reliure signée Thomas Boichot. Rare envoi autographe signé d'Auguste Villiers de l'Isle-Adam au marquis de Monthec. Quelques petites rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Chez E. Picard, Libraire, 1867; volume in-16°, demi-chagrin violine, dos à nerfs, filet pointillé sur les nerfs, caissons de double filet doré ornés de fleurons et petits fers dorés, titre et date dorés, tête dorée, couverture conservée ( Durvand relieur); XXIVpp.,270pp., (1)f.Mors un peu frottés, très rares piqûres.
Bon exemplaire de cette jolie édition donnée par Jannet, imprimée par Jouaust sur beau papier.Envoi autographe signé de Jannet sur la couverture, au Dr Payen.( GrG)
Le Livre Français - H. Piazza, Editeur Paris 1925 In-8 carré ( 210 X 150 mm ) de 163 pages, plein vélin ivoire, dos lisse titré à l'encre, couvertures et dos conservés. Le dos et le second plat sont ornés de petites aquarelles, une gouache est peinte au centre du premier plat. Carlo FARNETI a illustré cet ouvrage de 60 DESSINS ORIGINAUX aux crayons de couleurs dans et hors-texte en avril 1937. 1 des 250 exemplaires numérotés sur papier Japon ( Premier papier ). EXEMPLAIRE UNIQUE magnifié par les compositions inspirées de Carlo FARNETI. Aquarelle du dos en partie effacée, bel exemplaire justifié et signé à 2 reprises par Carlo FARNETI.
Librairie L. Conquet Paris 1897 Grand in-8 ( 250 X 160 mm ) de ( 1 )f. bl., ( 2 )ff., XXXVI, 340pp., ( 1 )f. bl., ( 1 )f., maroquin chocolat, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, double filet et importante dentelle d'encadrement avec fleurons aux écoinçons dorés sur les plats, coupes et coiffes filetées d'or, dentelle intérieure dorée, doublures de vélin crème avec semis de fleurs de lys doré, tranches dorées sur témoins, couvertures et dos conservés, étui bordé ( Reliure signée de Bernard DOR ). Premier tirage des 90 compositions de ROBIDA gravées sur bois dans le texte. Un des 30 exemplaires de tête numérotés sur Chine fort celui-ci N°7, comportant une suite des tirages à part du trait et une suite coloriée. Cet exemplaire présente donc les illustrations en TRIPLE ETAT. Très bel exemplaire fort bien relié en maroquin doublé de Bernard DOR enrichi hors-justification d'un beau DESSIN ORIGINAL en couleurs signé et légendé par Albert ROBIDA. Carteret, Le Trésor du bibliophile romantique et moderne, IV, 401.
Paris, Louis Carré, 1954. In-8 broché de 62-[4] pages, couverture illustrée rempliée, tiré à 1000 ex. sur vélin d’Arches à la forme.
Très beau catalogue, texte liminaire de Jean Adhémar, 59 estampes de Villon exposées, 26 superbement reproduites par «magic» Mourlot, suivies par un Essai de bibliographie. Envoi autographe de Villon à Daniel Zierer, grand bibliophile et ami de l’artiste. Exemplaire truffé de diverses pièces, avec pour commencer une petite plaquette d’exposition à la Galerie Louis Carré des oeuvres de Jacques Villon en décembre 1944 (texte de René-Jean), une autre plaquette à la même galerie, des oeuvres du même artiste exposé en 1948 (avec le carton d’invitation), encore une plaquinette des mêmes, mais en 1951, une carte de voeux imprimée, avec une petite litho de Villon (1955), trois articles de presses (signés André Warnod, J. -P. Crespelle). On joint également une lettre autographe de Villon adressée à Zierer (9/7/1955) ou il narre le travail en cours, il doit faire à Metz les vitraux de 10 mètres de haut sur un ou 2 mètres de large. [... ] mais je ne dois pas être fatigué [... ] avant la grande échéance [... ] à la fin de ce mois on carillonnera mes 80 ans!!! Avec une petite carte autographe du même au même le remerciant des félicitations fleuries. [... ] qui augmente la puissance des tous les souvenirs accumulés depuis pas loin de 70 ans ! Et pour finir on joint également la fiche manuscrite faite par Zierer pour sa bibliothèque. .
5 octobre 1941 : belle lettre; Villon donne rendez-vous à Ladoué à propos d’une exposition d’autoportraits.
Paris, 14 juin, 1824 in-folio, 1 pp. sur double feuillet avec en-tête du Ministère des Finances ; papier lgt jauni, pli marqué au verso.
Correspndance du 14 juin 1824, concernant la création d'un nouveau journal sous l'égide de St-Gervais :"J'ai reçu (...) la lettre que vous m'avez fait l'honneur de m'adresser, par laquelle vous demandez l'autorisation d'établir un nouveau journal qui aurait pour titre le Conciliateur. Je ne puis que vous engager à vous adresser à M. le Ministre de l'Intérieur dont cet objet concerne exclusivement les attributions (...)."Au lendemain de l'assassinat du duc de Berry et à la chute du ministère de Richelieu, Louis XVIII avait fait appel au comte de Villèle (1773-1854) comme ministre des Finances et président du Conseil. Dès lors, Joseph de Villèle (1773-1854) dominera la vie politique de 1822 à 1827 par une suite de mesures conservatrices dont la plus connue et la plus stricte fut la censure de la presse et le contrôle des libertés.Le Conciliateur "journal des propriétaires, des capitalistes et des industriels", ne verra le jour qu'en 1827... Hatin signale un autre journal au titre identique (le même ?) paru en 1833 sous la direction de Grenier et sous le patronage de 500 députés et pairs de France, ayant la charge de "concilier les partis et rapprocher les opinions dissidentes, de ramener à des idées de modération les esprits égarés". Le Concilateur sera repris en 1834 par L'Union.Hatin, 361 et 387.
Phone number : 33 01 43 26 71 17