Un des 2500 exemplaires sur Vélin Crèvecoeur du Marais numérotés, 1 vol. in-8 br. sous couv. rempliée, La Table Ronde, 1946, 196 pp.
Envoi de Montherlant à l'écrivain "M. Michel-François Desbruères, cette oeuvre de mes dix-huit ans". Etat satisfaisant (accrocs en coiffes, une coupure de presse de Robert Kemp sur la reprise de la pièce Pasiphaé conservée a jauni la page de garde).
Gallimard, Paris 1948, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Envoi autographe signé de Henri de Montherlant. Dos insolé, exemplaire complet de son feuillet d'errata. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1932, 12x19cm, relié.
| L'exemplaire de Brasillach | Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Reliure à la bradel en demi toile sable, dos lisse, pièce de titre de maroquin marron chocolat, plats de papier marbré, couvertures et dos (défraîchi en pied) conservés, tête dorée, reliure signée de G. Gauché. Précieux envoi autographe signé d'Henri de Montherlant à Robert Brasillach. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1932, 12x19cm, broché.
Edition de l'année de l'originale, fausse mention de douzième édition. Quelques accrocs restaurés sur le dos, petites rousseurs éparses. Envoi autographe signé d'Henri de Montherlant au capitaine Leburaux : "... ces pages un peu plus sérieuses que celles de la Petite Infante..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1938, 17,5x22,5cm, broché.
Première édition française, enrichie une préface originale de l'auteur, imprimée à 1800 exemplaires numérotés sur alfa. Envoi autographe signé de Henri de Montherlant à Bernard Fleurot. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1936, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des 350 ex numérotés sur alfa et réservés à la presse. Envoi autographe signé de Henri de Montherlant à Jean Blanzat. Dos et plats très légèrement brunis en pied, infimes piqûres sur les gardes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Grasset, Paris 1935, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Petites piqûres sur le dos légèrement insolé. Précieux envoi autographe signé d'Henri de Montherlant : "A Charles Maurras avec mon ancienne admiration." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1953, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Envoi autographe signé d'Henri de Montherlant à madame Bradley. Dos très légèrement insolé, un feuillet mal découpé comportant de petits manques marginaux sans gravité. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1971, 14x20,5cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Agréable exemplaire en dépit de trois petites taches sur le premier plat. Envoi autographe signé d'Henri de Montherlant à la journaliste et écrivain Evelyne Schlumberger. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1966, 14x20,5cm, broché.
Edition originale, un des exemplaire du service de presse. Petites piqûres marginales sur les plats. Envoi autographe signé de Henri de Montherlant à Hubert Juin. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Flammarion, Paris 1963, 14,5x20cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Bel envoi autographe signé de l'auteur. Remarques de Henri de Montherlant. Dos et plats légèrement et marginalement passés, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Editions du Capitole, Paris 1929, 14x19,5cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires numérotés sur alfa. Ouvrage orné d'illustrations originales d'Edy Legrand. Dos légèrement insolé comportant deux infimes manques en tête et en pied. Envoi autographe signé d'Henri de Montherlant à Henri Poulain chroniqueur littéraire puis administrateur du journal collaborationniste "Je suis partout". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Henri Lefèbvre, Paris 1952, 25x32cm, en feuilles sous chemise et étui.
Edition originale, un des 110 exemplaires numérotés sur vélin du Marais, seul tirage après 20 vélin de Montval et 10 vélin d'Auvergne. Ouvrage illustré deburins à sujets tauromachiques par Madeleine Melsonn dont 9 à pleine page et 4 en en-têtes et culs-de-lampe. Plats partiellement insolés, sinon agréable et rare exemplaire. Envoi autographe signé d'Henri de Montherlant au docteur Bocquentin : "... ce plaisir et cette peur qui finissent souvent par le billard..." enrichi d'un envoi autogrape signé de Madeleine Melsonn. - Photos sur www.Edition-originale.com -
MONTHERLANT (Henri) écrivain français, reçu à l’Académie française le 24 mars 1960 (1896-1972)
Reference : 195C18
Belle lettre annonçant la parution de son nouveau roman « Les Jeunes Filles », fameux roman-dossier, né de ses deux histoires de fiançailles, ainsi que de ses relations avec des lectrices enthousiastes, qui lui permirent de tirer la matière nécessaire à son établissement. « Je vous donnerai bien volontiers une interview, mais je publie un nouveau roman, les Jeunes Filles, dans cinq semaines, et il vaudrait mieux me récrire à ce moment… ».
Gallimard NRF Paris 1957 In-8 carré ( 205 X 145 mm ) de 396 pages, broché sous couverture imprimée. EDITION ORIGINALE. Un des 150 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre. Dos légèrement passé, bel exemplaire, non coupé et non rogné enrichi d'un envoi autographe signé de Henry DE MONTHERLANT.
Un des 3000 exemplaires sur Vélin Crèvecoeur du Marais numérotés, 1 vol. in-8 br. sous couv. rempliée, La Table Ronde, Paris, 1947, 255 pp.
Envoi de l'auteur. Etat satisfaisant (petite fente en haut du dos, exemplaire méritant reliure)
Paris Société du livre d'art 1955 1 vol. Broché in-folio, en feuilles, sous couverture illustrée et double emboîtage, 105 pp. Édition augmentée d'une préface inédite et illustrée de 30 études de nu gravées au burin par Jean Carton, dont 12 hors-texte. Tirage unique à 150 exemplaires numérotés sur papier de Vidalon, celui-ci enrichi d'un envoi de l'artiste au peintre et graveur Pierre-Eugène Clairin et d'une planche supplémentaire signée. En excellent état.
6e édition, 1 vol. in-12 br., Bernard Grasset, Paris, 1934, 140 pp.
Joli envoi de Montherlant, à l'encre violette. Bon état (couv. très lég. frottée, coupure de presse - compte-rendu de l'ouvrage par Xavier de Magallon - contrecollé en garde).
1 vol. in-8 br., NRF, Gallimard, 1965, 239 pp.
Très bel envoi de Montherlant à l'écrivain bordelais Michel Suffran : "au docteur Michel Suffran, ces romains crapuleux, héroïques, à vous". Bon état (très lég. rouss. sur couv.), bien complet de son bandeau rouge. Montherlant met en scène Pompée, Brutus ou Caton, amené à choisir l'un ou l'autre camp lors de la guerre civile opposant Jules César à Pompée.
Paris, Librairie Plon, 1952. Petit in-8 de [8]-193-[6] pages, demi-maroquin aubergine, dos lisse avec titre doré, couverture et dos conservés. Dos légèrement passé, pour le reste en belle condition.
Illustré de 8 planches hors-texte d'après les photographies de Marcelle d'Heilly. Tirage limité à 1500 exemplaires numérotés et 100 HC, celui-ci portant le numéro 82. Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé Montherlant, courant sur tout le faux-titre.
Paris, Bernard Grasset, Collection " Le Roman ", 20 novembre 1922 ; in-12, broché, 348 pp.-[4 ff annonce et commentaires sur La Relève du matin)..
Première édition rare. (Il n'a été tiré de cet ouvrage que 60 exemplaires numérotés,10 ex sur Japon et 50 ex sur vélin pur fil Lafuma). Premier roman de l'auteur. Exemplaire enrichi d'un envoi autographe de Montherlant au docteur Renard sur le premier feuillet blanc et Joint une carte postale timbrée (Nefat. - Marabout et Maisons Arabes) adressée au même docteur Renard à Metlaoui - Tunisie. " Merci encore, cher Monsieur pour votre délicate et délicieuse hospitalité, et les heures si intéressantes que vous m'avez fait passer auprès de vous..." 11 lignes ... etc. signé Montherlant. Photos sur demande.
Paris Henri Lefèbvre 1949 1 vol. broché in-8, broché, couverture rempliée, 124 pp. Edition originale illustrée d'une photographie en frontispice et de 12 lithographies hors-texte par Goor. Tirage limité à 1112 exemplaires, celui-ci numéroté sur vélin de Lana avec un bel envoi de l'auteur à Gabriel Matzneff, "ce rayon de lumière sous une époque sombre". L'ouvrage évoque l'oeuvre de charité au profit des orphelins de guerre dans laquelle Montherlant s'impliqua entre 1942 et 1945. L'illustration très suggestive de Goor se plaît à souligner le charme troublant de ces adolescents livrés à eux-mêmes. Très belle provenance, le premier texte imprimé en volume de Matzneff ayant paru seulement en 1959, au sein d'un volume collectif intitulé "Montherlant vu par des jeunes de 17 à 27 ans".
1 page in-8, s.l., 19 avril 1963 enveloppe conservée. Il autorise la publication de son entretien dans le recueil "Quinze écrivains".
1 page et demie in-4, s.l.n.d. [vers 1930]. Intéressante lettre au sujet de son premier roman Le Songe. "J'ai lu votre compte-rendu du Songe, et suis tout à fait d'accord avec vous sur la mauvaise qualité d'une grande partie de l'intrigue (...) J'ai pensé si je n'allais pas la refaire complètement, car j'ai de quoi y réussir. Peut-être le ferai-je un jour. C'est plutôt dans le Chant funèbre [1924] que dans le Songe que je dis des choses assez voisines parfois de celles de M. Quinton (...) nous avons dit des choses si voisines que les phrases sont quelquefois presque les mêmes". Il serait heureux de rencontrer son correspondant et propose de lui apporter lui-même un exemplaire de son roman à venir La Rose de Sable. En 1930, paraît l'édition posthume des Maximes sur la guerre de René Quinton, engagé volontaire tout comme Montherlant, dans le conflit de 14-18.
1 page in-4, Paris "25 quai Voltaire", 19 octobre 1968.Belle lettre à propos de La Pourpre de Judée que son correspondant vient de faire paraître. "Il n'y a que vous qui ayez à la fois assez de culture, assez de sensibilité, assez de "dimension mystique" et assez de dons d'écrivain, pour faire réfléchir, s'interroger et s'émouvoir un Romain de cette antiquité honnie par nos contemporains. Cet instant ambigu de l'histoire où vous avez placé votre récit, ce christianisme qui commence de s'épanouir dans un monde païen dont il est le fruit, et le judaïsme, cette branche amie et ennemie... le lyrisme ensemble et les idées, un autre s'y serait brisé les reins : voyez la pièce de Camus"... Une dernière allusion en référence à Caligula que Camus retoucha à de nombreuses reprises. La lettre se termine sur un dernier paragraphe de cinq lignes qui résume avec humour les motivations du roi Ferrante dans La Reine morte avec une conclusion en forme de maxime : "mieux vaut un grand pécheur qui croit en Dieu et qui l'aime, qu'un brave homme qui croit vaguement et ne l'aime pas."