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CONGÉ des bâtiments de Commerce français
Brest, 14 août 1811 , 1 pp. grand in-folio en partie imprimée, grande vignette marine en en-tête, avec grandes armoiries impériales et Légion d'Honneur, encadrement gravé aux attributs de la marine de commerce, cachet rouge à l'aigle et timbres ; tache brune dans un angle, pli.
Congé délivré sous l'Empire pour un bâtiment de commerce "nommé La Pra-- , enregistré et domicilié au port de Cherbourg, construit à Brest (…)", trois mats de 120 pieds, d'une capacité de 110 tonneaux, appartenant à M. Bousson, bonnetier à Cherbourg. Le congé a été délivré par le bureau des douanes, à Paul d'Auray, commandant ledit bâtiment pour partir du port et hâvre de Brest.Jolie pièce de Marine.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
CONGÉ des bâtiments de Commerce français
Marseille, 17 août 1815 , 1 pp. grand in-folio en partie imprimée, grande vignette marine en en-tête, avec grandes armoiries royale et collier du St-Esprit, encadrement gravé aux attributs de la marine de commerce, cachet rouge aux armes royales et timbres, apostilles au verso ; plis marqués avec léger manque et trou central, renforcé au verso.
Congé délivré aux premiers jours de la seconde Restauration pour un bâtiment de commerce "nommé St-Jean-Baptiste, enregistré et domicilié au port de de La Ciotat" construit au-dit lieu et francisé le 4 vendémiaire an 9, tartane de 40 tonneaux. "Nous déclrons qu'il a droit de naviguer sous le pavillon de France et avons donné congé et passeport au Sr Charles Beaussier, commandant ledit bâtiment pour partir du port et havre de Marseille allant à Livourne. Griffe du baron Louis comme minitre des Finances, contresigné par l'administrateur des Douanes.Jolie pièce de Marine.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Congé des bâtiments de Commerce français
Dieppe, 6 avril 1818 , 1 pp. grand in-folio en partie imprimée, grande vignette marine en en-tête, avec grandes armoiries royales, encadrement gravé aux attributs de la marine de commerce, cachet rouge aux armes royales du Ministère des Finances; signatures pli.
Congé délivré sous la Restauration pour un bâtiment de commerce "nommé Le Joseph- , enregistré et domicilié au port de Dieppe, construit à Dieppe", deux mats de 14 pieds 2 pouces, d'une capacité de un tonneaux, 69, que c'est un cannot.Le congé a été délivré par le bureau de la douane de DieppeJolie pièce de Marine.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
L.S. du munitionnaire de la Marine au ministre de la Marine et des Colonies
Paris, 5 floréal an 9e, 25 avril 1801 , 2 pp. in-folio, en-tête du "Munitionnaire général des vivres de la Marine" avec vignette gravée ; apostille de réponse ; marge de droite courte.
Lettre du munitionnaire général des vivres de la Marine concernant son administration. Il a réceptionné les deux dépêches du ministre concernant les subsistances et le remercie d'avoir facilité ses démarches auprès du préfet de la Seine inférieure pour ses "expéditions de Rouen en matières de boulangerie" ; enfin, il le prévient que le ministre de l'intérieur a fait cesser "toute acquisition de grains dans les départements du Finistères, des Cotes du Nord et du Morbihan", les seuls achats de froment effectués "sans son autorisation" proviennent de Brest et Lorient.Belle vignette allégorique représentant une Liberté coiffée d'un bonnet phrygien, appuyée sur une ancre de marine et tenant une corne d'abondance. Mention en en-tête de l'attribution du "Traité du citoyen Blanchard aîné" biffé pour "Robin".La fourniture général des vivres de la Marine avait été négotiée sous le Directoire (septembre 1798) auprès de Barras par le financier Ouvrard qui en confiera l'administration à son beau frère Claude Blanchard aîné, négociant à Bordeaux. Ce contrat pour les fournitures de la marine représentait alors près de 64 millions de franc or pour une durée de six ans. En 1800 au moment de l'arrestation d'Ouvrard sur ordre de Bonaparte, et de l'examen des comptes de la société, les vivres de la Marine furent alors confiées à la compagnie Jean-Pierre Robin, agent d'affaire de Paris, fondé de pouvoir d'Ouvrard ; en septembre 1801, devant les irrégularités de comptabilité, le service de la marine passa successivement aux compagnies Collot (proche de la famille Bonaparte), Liévin-Carié avant de retourner dans le giron du financier Ouvrard.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
L.S. du sous-commissaire de Marine au citoyen Garnier, maire à La Rochelle
La Rochelle, 12 ventôse an 9, 3 mars 1801 , 2 pp. 1⁄2 bi-feuillet in-4, en-tête du "sous-commissaire de la Marine", vignette ovale, adresse au verso, cachet humide à l'ancre marine.
Relative à l'administration de la marine et l'emploi d'ouvriers pour l'arsenal de Rochefort ; "Le chef d'administration de Marine à Rochefort me marque que l'arsenal a besoin de forgerons (…). Comme mes matricules ne présentent aucun ouvrier de cette profession, je suis obligé de m'adresser à vous et je vous prie de vouloir bien donner les ordres nécessaires (…). J'ai bien reçu hier au soir votre lettre du 11 relative à la distribution des rations aux déportés et réfugiés (…). Je ne sais s'il y a des absents, mais je suis bien certains qu'il ne se distribue pas plus de rations que n'en comportent vos états. C'était hier jour de distribution ; si j'avais connu plutôt vos intentions, elle aurait été suspendu (…)."Petite vignette et cachet de marine.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
P.S. du commissaire principal de la Marine
Bordeaux, 30 août 1815 , 1 pp. in-folio, en-tête du commissaire principal, chef de la Marine, avec vignette gravée et cachet de la marine avec fleurs de lys.
Certificat délivré après les Cent-Jours par le chef de la Marine de Bordeaux, certifiant "que le sieur Mazeau, ex-commis des vivres de la Marine en ce port, n’a point fait le serment de fidélité à l’usurpateur, et qu’il s’est également abstenu de signer l’acte additionnel aux Constitutions de l’Empire, par suite de ses sentiments pour le Roi (…)."Vignette et cachet de la marine avec les lys de la royauté. La vignette est reprise sur le modèle de l’Empire gravée par Besnard.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
P.S.
Paris, 10 janvier 1826 , 3 pp. bi-feuillet in-folio, en-tête du ministre de la Marine et des Colonies avec vignette aux armes royales, cachet.
Certificat de décès d'un officier de marine mort en Martinique, avec copie de l'extrait mortuaire de la paroisse de Fort Royal, et des attestations des différents officiers d'état-civil, déposé au bureau du ministère ; il 'sagit du décès de Mathurin Cuppé, originaire de la Charente, chirurgien de la marine de 1ère classe, mort au Fort Royal à la Martinique le 24 mai 1825. Pièce signée pour copie par le lieutenant-général Donzelot, gouverneur de la Martinique, signée par le comte Chabrol (1771-1836), alors ministre de la marine de Charles X.
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L.A.S. au ministre de la Marine
Paris, 10 fructidor an 6, 27 août 1798 , 1 pp. in-4, petites apostilles, cachet d'accusé de réception.
Remerciement auprès du ministre de la Marine, le contre-amiral Bruix, concernant la libération d'un prisonnier ; "J'ai bien reçu votre lettre (…) qui m'annonce la prochaine arrivée à Bayonne du Cn Julien Brunau prisonnier des Anglais à Lisbonne ; il est maintenant rendu chez lui à Guérande, j'en ai reçu la nouvelle par lui-même (…)."Ancien membre du directoire de la Loire Inférieure, Jacques-Marie Martin (1759-?) fut élu député de ce département au Conseil des Cinq-Cents, en avril 1798, nommé par la suite conseiller général et maire de Guérande. Adjoint de l'amiral Morard de Galles durant l'expédition d'Irlande, contre-amiral en mai 1797, Etienne Eustache Bruix (1759-1805) fut nommé ministre de la Marine du 28 avril 1798 au 11 juillet 1799 ; il prendra lui-même la tête de la flotte qui partit de Brest, tentera de ravitailler l'Expédition d'Égypte. Amiral en 1801, il commande la marine au camp de Boulogne, meurt de tuberculose en mars 1805.
L.S. "Ed Poncet", chef adjoint de l'Administration coloniale au cit. Pelez, marchand mercier
Paris, 28 prairial an 11, 17 juin 1803 , 1 pp. bi-feuillet in-folio, en-tête du "chef-adjoint de l'Administration coloniale" avec vignette de la Marine, adresse au verso avec cachet du ministère de la Marine, marque postale.
Intéressant courrier touchant un des 133 jacobins proscrits de 1801 et déportés aux Seychelles puis à l'ile d'Anjouan dans les Comores. Le chef adjoint de l'Administration coloniale transmet à la demande du citoyen, "un certificat relatif aux derniers renseignemens parvenus sur le nommé Vaneck, déporté à l'Isle d'Anjouan."Après l'attentat de la rue St-Nicaise, du 24 décembre 1800 contre le Premier Consul, le ministre de la Police Fouché avait établi une liste de proscription de 133 noms appartenant à l'opposition jacobine. Bien qu'il fut établi plus tard que les véritables coupables étaient royalistes, le gouvernement consulaire maintint son ordre de répression contre les républicains ; cette liste sera soumise au vote du Sénat plutot qu'à celui du Tribunat et du Corps législatif peu disposé à suivre ici la politique de Bonaparte, et sera ratifiée le 5 janvier 1801. Ancien septembriseurs, babouvistes, fidèles jacobins, etc., ils seront emprisonnés par plusieurs fournées à Oléron ou au fort de Joux, mais la plupart condamnés à la déportation en Guyane, à Cayenne, aux Seychelles et aux Comores.Vignette gravée de la Marine "Liberté des Mers".
Phone number : 33 01 43 26 71 17
L.S. au préfet maritime du 6e Arrondissement à Toulon
Paris, 21 Brumaire an 12, 13 novembre 1803 , 3 pp. bi-feuillet in-folio, en-tête pour copie du ministre de la Marine et des Colonies.
Lettre de Claret de Fleurieu qui occupait alors l’intérim du ministère de la marine, signée pour copie par Ganteaume, concernant les promotions attribuées par le Premier Consul ; "Je vous annonce, citoyen Préfet, que le Premier Consul à qui j’ai rendu compte que l’âge et les infirmités du commissaire Lelièvre ne lui permettaient plus de se livrer à ses fonctions avec l’autorité que les circonstances actuelles exigent, l’a admis (…) à prendre sa retraite (…)." Il annonce encore un autre arrêté de Bonaparte concernant différents officiers d’administration de la marine, commissaires et inspecteurs, à Toulon et à l’île d’Elbe, avec plusieurs notes sur la continuation de leur service. Il est demandé d’appliquer sans délais ces nominations et invitant à lui faire des propositions pour les places laissées vacantes par ses nouvelles promotions.Ganteaume (1755-1818) avait été nommé commandant l’escadre de la Méditerranée en 1800, puis chargé des troupes destinées à l’expédition de St-Domingue, avant d’être nommé préfet maritime de Toulon en remplacement de Vence. Promu vice-amiral en mai 1804, il commandera les flottes de l’Atlantique jusqu’en 1806 et celles de la Méditerranée de 1808 à 1810. Comte d’Empire en 1810, il est nommé colonel commandant le bataillon des marins de la Garde en 1811. Napoléon apportera un jugement sévère contre Ganteaume qui fut incapable de rejoindre Villeneuve avant Trafalgar, et ne fut d’aucun secours pour l’Armée d’Espagne.
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L.A.S. à monsieur Alexandre
Paris, 6 juillet, 1877 petit in-8, 1 pp. bi feuillets, beau filigrane.
Réponse négative de l'ancien vice-amiral, à une recommandation: "Je ne puis que vous envoyer la lettre que j’ai reçue de M. de Meaux, au sujet de Bionne. Je lui avais écrit le jour même où je vous ai vu (…) je regrette vivement ce résultat qui, en égard à la valeur et à la situation particulière de Bionne au sujet de l'exposition, ne me semble pas très justifié (…)."Camille-Adalbert baron de La Roncière-Le Noury (1813-1881), s'était illustré en Crimée lors du bombardement de Sébastopol ; lié d'amitié avec le prince Napoléon, il commanda son yacht à l'occasion de diverses missions scientifiques. De mars 1861 à juillet 1865, il chef d'état-major du ministre de la marine Chasseloup-Laubat, jouant un rôle essentiel dans la modernisation de la Marine. Vice-amiral en 1868, il avait dirigé l'évacuation des troupes du Mexique en 1867, devait plus tard commander la flotte du blocus prévue en Baltique contre la Prusse, mais l'opération fut annulée en raison de la dégradation de la situation militaire et de l'invasion de la France fin 1870. Après s'être distingué au combat du Bourget, il fut élu député bonapartiste à l'Assemblée nationale en 1871, nommé commandant l'escadre de la Méditerranée en 1875, puis relevé de ses fonctions pour ses sympathie impérialiste. Il présidait la Société de géographie depuis 1872.Gendre de Montalembert, le vicomte de Meaux était alors sénateur, ministre sous le ministère de Broglie-Fortou, fervent partisan de l'ordre et du maréchal.
L.A.S. au citoyen Voisin sous-chef au Bureau des fonds des Colonies
Paris, 23 pluviose an 7, 11 février 1799 , 1 pp. in-4, apostille ; marge de gauche coupée, sans atteinte.
Recommandation du représentant du peuple à St-Domingue, concernant une réclamation d'un officier de marine : "(…) il ya près de 4 mois, je vous addressai les accomptes du citoyen Berniard, enseigne de vaisseau, demeurant à Bourg (Gironde) qu'ils m'avaient fait passer pour obtenir une ordonnance payable à Bordeaux ou à Rochefort (…). Une lettre du Cn Berniard me fait connaitre qu'il n'a rien touché, et le ministre auquel j'avais écrit à ce sujet ne m'a rien fait savoir (…)."Ancien administrateur des colonies, secrétaire de la commission envoyé à St Domingue pour assurer la pacification, Claude Leborgne de Boigne (1762-1832) s'était signalé par la promulgation en 1792 de la loi reconnaissant aux noirs des droits politiques. Il fut envoyé à la Martinique avec Rochambeau et prit une part active dans la défense de l'ile contre la flotte anglaise ; arrêté comme Girondin à son retour en France en 1793, remis en liberté, il fut nommé commissaire ordonnateur du corps expeditionnaire de Saint-Domingue (1796), puis élu député de la colonie au Conseil des Cinq-Cents. En septembre 1799, il avait réclamé l'annulation des nouvelles élections de Saint-Domingue considérées trop influencées par Toussaint-Louverture. Contre le 18 brumaire, il perdit sa place d'ordonnateur et n'eut plus aucune fonction publique.
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La Cultura y la paz. Homenaje a Enrique Gonzalez Martinez y Baldomero Sanin Cano
La Habana 1952 In-12 Broché Edition originale
Edition originale. Rares rousseurs en couverture, mais exemplaire portant un ENVOI autographe de l'auteur à Paul ELUARD. Non coupé Assez bon 0
L.A. au général Decrès ministre de la Marine et des Colonies
Cadix, 18 Brumaire an 10, 9 novembre 1801 , 3 pp. bi-feuillet in-4, en-tête de de "l'amiral Truguet conseiller d'Etat", avec petite vignette républicaine, ratures et corrections ; cachet de collection.
Importante correspondance à l'époque des préliminaires de la Paix d'Amiens ; l'amiral Truguet, alors commandant l'armée navale réunie à Cadix, a reçu l'ordre pour donner "six mois de vivres à la division commandée pour le c.a. [contre-amiral] Linois ; mais vous ne m'avez envoyé aucun fond pour cette dépense extraordinaire qui devient extrêmement chère dans un pays où rien n'entre (…) où il faut tout acheter au loin (…) grâce à ma continuation du blocus par les Anglais (…)." L'amiral demande au ministre de lui envoyer 300,000 livres en lettres de change. "(…) Comme je le pense, un grand intérêt (est) de débarrasser le port de Cadix de nos vaisseaux (…)."Il ajoute en p.s. : "(…) J'enverrai un parlementaire pour sommer l'amiral Pole de lever le blocus de Cadix, nonobstant les raison qu'il m'allègue pour le continuer, se fondant sur le silence du gouvernement des Espagnols qui n'a point annoncé officiellement à Cadix la signature des Préliminaire de Paix (…) J'espère que cette discussion va se terminer comme le veulent nos intérêts nationaux (…)."Brillant officier de la marine royale sous les ordres du comte d'Estaing puis des marins Guichen et Grasse, Truguet (1752-1839) sera un proche de la famille Bonaparte ayant des liens étroits avec Elisa. Vice-amiral en 1795, il fut ministre de la Marine du Directoire entre 1795 et 1797. Ambassadeur en Espagne, écarté un temps par Talleyrand, Truguet sera rappelé par Bonaparte qui lui offrit le ministère de la Marine qu'il refusa. Nommé conseiller d'Etat, il s'opposera au retour à l'ordre ancien dans les Colonies, et en particulier à l'esclavage. Amiral en chef de l'armée navale combinée réunie à Cadix, il devait rallier les escadres de Linois, Gantheaume et Bedout. La Paix d'Amiens le ramena à Paris. Il s'opposera à l'établissement de l'Empire, disgracié, nommé préfet maritime de Rochefort en 1809.
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L.A.S. au citoyen Le Rebours, opticien de la marine
Brest, 21 floréal an 12, 11 mai 1804 , 1 pp. in-4, en-tête de l’amiral Truguet, conseiller d’Etat avec vignette marine.
L’amiral accuse réception de lunettes de marine auprès du célèbre opticien du Bureau des Longitudes et de la Marine ; "J’ai reçu, citoyen, en très bon état les lunettes que vous avez envoyées à Brest. J’en adresse le reçu au Cn Lefebvre, chef de la 3e division du ministère de la Marine, pour qu’il en opère le remboursement (…)."Noël-Jean Lerebours (1761-1840) avait étudié en Angleterre les instruments optiques de Dollond, qui étaient réputés pour être les meilleurs de son temps, avant de perfectionner son art en France à son enseigne au Pont neuf. Son fils inventera avec Secrétan le microscope.Brillant officier de la marine royale sous les ordres du comte d'Estaing puis des marins Guichen et Grasse, Truguet (1752-1839) sera un proche de la famille Bonaparte ayant des liens étroits avec Elisa. Vice-amiral en 1795, il fut ministre de la Marine du Directoire entre 1795 et 1797. Ambassadeur en Espagne, écarté un temps par Talleyrand, Truguet fut rappelé par Bonaparte qui lui offrit le ministère de la Marine qu'il refusa. Nommé conseiller d'Etat, il s'opposera au retour à l'ordre ancien dans les Colonies, et en particulier à l'esclavage. Amiral en chef de l'armée navale combinée réunie à Cadix, il devait rallier les escadres de Linois, Gantheaume et Bedout. La Paix d'Amiens le ramena à Paris. Il s'opposera à l'établissement de l'Empire, disgracié, nommé préfet maritime de Rochefort en 1809.
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La conquête des étoiles
Sansot, Paris 1909, 13,5x17,5cm, relié.
Edition originale dont il n'est pas fait mention de grands papiers, fausse mention de troisième édition. Reliure en demi maroquin noir, dos à cinq nerfs, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, élégante reliure signée de P. Goy & C. Vilaine. Envoi autographe signé de Filippo Tommaso Marinetti à une dame pour laquelle il précise son adresse à Milan. Petites piqûres affectant essentiellement les gardes. Exemplaire agréablement établi. - Photos sur www.Edition-originale.com -
La conquête des étoiles
Sansot & Cie, Paris 1909, 14x17cm, broché.
Edition originale sur papier courant, fausse mention de troisième édition qui fut utilisée pour le service de presse, il n'a été tiré que 5 Hollande en grands papiers. Bel envoi autographe signé et à pleine page deFilippo Tommaso Marinetti à Marguerite Burnat-Provins. Deux minuscules manques sans gravité en tête et en pied du dos, taches claires marginales sur le deuxième plat, rares rousseurs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
La conquête des étoiles
Sansot & Cie, Paris 1909, 14x17cm, broché.
Edition originale sur papier courant, fausse mention de deuxième édition qui fut utilisée pour le service de presse, il n'a été tiré que 5 Hollande en grands papiers. Bel envoi autographe signé et à pleine page de l'auteur à Guy Lavaud pour qui il précise son adresse milanaise. Deux déchirures en tête et en pied d'un mors, petits manques sur le dos, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
La ville charnelle
Sansot & Cie, Paris 1908, 14x18cm, broché.
Edition de l'année de l'originale. Taches affectant le premier et le deuxième plat. Envoi autographe signé de Filippo Tommaso Marinetti. - Photos sur www.Edition-originale.com -
La ville charnelle
E. Sansot & Cie, Paris 1908, 13,5x17,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, fausse mention de cinquième édition. Envoi autographe signé de Filippo Tommaso Marinetti : "A mon cher maître Maurice Le Blond..." sur la page de faux-titre et pour qui il indique sur la page en regard son adresse à laquelle on peut le joindre à Milan. Premier plat comportant une tache claire et une trace de pliure angulaire, infimes piqûres sur la première garde. - Photos sur www.Edition-originale.com -
La ville charnelle
E. Sansot & Cie, Paris 1908, 13,5x17,5cm, broché.
Edition originale pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers, mention de quatrième édition. Envoi autographe signé de Filippo Tommaso Marinetti à Guy Lavaud pour qui il précise son adresse à Milan. Dos légèrement insolé comme habituellement. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le roi Bombance
Mercure de France, Paris 1905, 11,5x18,5cm, relié.
Edition originale sur papier courant. Reliure en demi chagrin tête de nègre, dos lisse, plats, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées. Bel envoi autographe signé de Filippo-Tommaso Marinetti à Pierre Mortier enrichi, en regard, de son adresse à Milan. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Les dieux s'en vont d'Annunzio reste
Sansot, Paris 1906, 11,5x19cm, relié.
Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers. Reliure en demi maroquin cerise à coins, dos à cinq nerfs sertis de pointillés dorés orné de doubles caissons dorés agrémentés de motifs typographiques dorés, infimes éraflures sans gravité sur trois nerfs, encadrement de filets dorés sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque signée à froid Stroobants. Bel exemplaire agréablement établi. Ouvrage illustré de dessins à la plume de Valeri. Envoi autographe signé de Filippo Tommaso Marinetti en français au journaliste et homme politique Eugène Lautier. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Les dieux s'en vont d'Annunzio reste
Sansot, Paris 1906, 11,5x19cm, relié.
Edition originale de la traduction française pour laquelle il n'est pas fait mention de grands papiers ouvrage illustré de dessins à la plume par Valéri. plats de couverture et dos restaurés avec manques comblés, bel état intérieur. Envoi autographe signé de Filippo-Tommaso Marinetti en français : "A mon cher confrère Bauzun..." pourlequel il précise son adresse à Milan. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Mafarka le futuriste
Sansot & Cie, Paris 1909, 12,5x18cm, broché.
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi autographe signé de Filippo-Tommaso Marinetti. Légères piqûres affectant essentiellement les gardes, sinon agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
