‎L'Oncle Jules.‎

‎Paris Editions Régine Deforges 1986 1 vol. Broché in-8, broché, couverture illustrée en couleurs, 95 pp. Edition originale posthume de cette histoire pour enfants illustrée de nombreux dessins de Wiaz. Bon exemplaire avec un envoi autographe signé de ce dernier agrémenté d'un beau portrait original en couleurs du héros, campé sous les traits de l'auteur lui-même ! En excellent état.‎

‎Lourdes, lentes…‎

‎Paris Jean-Jacques Pauvert 1969 1 vol. Broché in-12, broché, couverture illustrée à rabats, 199 pp. Édition originale sans grand papier de ce célèbre texte érotique qui fut condamné en 1974 devant les tribunaux. Rare exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur signé de son vrai nom et qui précise sa qualité d'outrageur "aux bonnes moeurs"... On joint une intéressante coupure de presse du Figaro d'octobre 1973 sur l'avancée du procès...‎

‎Lettres Autographes Signées de Elsa Doncker à Yvonne Astruc. (3 LAS)‎

‎Lettres Autographes Signées de Elsa Doncker (1911-2000 violoniste belge). 3 LAS datées de 1933 et 1936 adressées à Yvonne Astruc.3 pages manuscrites et signées sur papier à en-tête. Très bon état. Format in-4°(27x21).‎

‎Lettres Autographes Signées de René Hardy à Yvonne Astruc - (3 LAS)‎

‎Lettres Autographes Signées de René Hardy. 3 LAS datées de 1936-1937-1938. Correspondances adressées à Yvonne Astruc.3 pages manuscrites et signées. Très bon état. Format in-12°(19x13).‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. 5 L.A.S. ‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. L.A.S. ‎

‎Échauffour le 18 novembre 1910 : “Un peuple qui ne croit plus, qui ne prie plus, qui ne chasse plus, qui ne chante plus, qui ne boit plus, qui ne mange plus, est un peuple mort” !! ‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. L.A.S. ‎

‎Échauffour le 9 avril 1912 : “...nous boirons du pommard...” ‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. L.A.S. ‎

‎Échauffour le 7 mai 1912 : À un ami, il vient d’être “réélu à la stupéfaction de (ses) adversaires! Ces cochons-là ont fait une abominable campagne contre moi...” ‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. L.A.S. ‎

‎Échauffour le 14 juin 1912 : “J’ai rencontré l’autre jour des gens charmants qui ont une fille intelligente et gracieuse mais elle boite, comme Louise de Lavallière ...” ‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. Lettre autographe signée.‎

‎Échauffour le 18 janvier 1912 : “Puisque vous m’écrivez, l’idée me vient de vous mettre à même de publier La Forêt, pièce inédite”... ‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. Lettre autographe signée.‎

‎Échauffour le 20 avril 1912 : “.. je pars demain soir pour Bréhec et c’est de là que je filerai pour Paris”...”... ‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. Lettre autographe signée.‎

‎Échauffour le 28 juin 1912 : “.. je vous ai ce matin expédié sous pli recommandé les derniers feuillets de mon texte primitif. C’est de beaucoup le meilleur à tous les points de vue ..” ‎

‎1854 - 1927. Poète. Son inspiration est parfois tirée de ses occupations culinaires (il était aubergiste), mais surtout de la nature : Sous les pommiers - Rimes de broche et d’épée - Gousses d’ail. Lettre autographe signée.‎

‎Échauffour le 31 mai 1912 : “ .. ce serait parfait que vous fassiez passer le VI et le VII ensembles, la foire et la chasse ...” ‎

‎Lettre autographe Signée à "Mon cher confrère" (Paul Fort) - Echauffour le 27 novembre 1914 - 2 pages in16 -‎

‎ Il envoie son abonnement - "J'ai gouté l'esprit de vos compositions..."- Il y a entre eux des "affinités magiques" - ..."c'est l'essentiel" -‎

‎ [En tant que bien culturel de catégorie 8, (décret no 93-124 du 29 janvier 1993), cet article ne peut être vendu sans formalité que dans la Communauté Européenne ]- ‎

‎La Divine Tragédie. Dieu et son oeuvre. Poème.‎

‎ 1916 Paris, Impr. de L. Échégut, (1916); in-4°, demi-chagrin brun, dos à nerfs, titre doré, tête dorée, 1er plat de la couverture parcheminée imprimée conservée; 58pp. Très pâles auréoles de moulure en marge interne des feuillets en pied et petite tache rousse pale au bord inférieur quelques pages, papier et cuir du 2ème plat un peu insolé.‎

‎ L'auteur fait dialoguer Platon et Saint-Thomas et Platon et Thomas d'Aquin. Ouvrage tiré à 250 exemplaires numérotés, celui-ci n°109, un des 200 sur vélin des Papeteries de Saint-Marie, avec signature de l'auteur à la justification et 8 mots autographes “ dernier chant (?) à la Duchesse de Rohan". (Gr1) ‎

‎Courts-Circuits.‎

‎ 1958 Bordeaux, Les Nouveaux Cahiers de Jeunesse,1958; In-8° broché, couverture imprimée en noir et rouge au 1er plat , en noir au dos; 109, (3)pp. Edition originale tirée à 530 exemplaires numérotés, celui-ci 1 des 500 sur velin bouffant supérieur.‎

‎ La bandeau rose vif imprimé en noir a laisé une marque jeune sur les pages 28 et 29 entre lesquelles il était conservé, dos de la couverture jauni.Envoi autographe signé à Florence Gould. ‎

‎Léopold Lacour [ Exemplaire dédicacé par Léopold Lacour ] Biographie critique illustrée d'un portrait-frontispice et d'un autographe suivie d'opinions et d'une bibliographie.‎

‎1 vol. in-12 reliure demi-toile bordeaux, Les célébrités d'aujourd'hui, Bibliothèque Internationale d'Edition, E. Sansot & Cie, Paris, s.d. [ 1914 ], 54 pp.‎

10 Images

‎Bel envoi de Léopold Lacour "à ma bien chère nièce Germaine Allienne, ce petit chef-d'oeuvre d'Harlor, car ce n'est pas un panégyrique mais seulement un essai critique, très élogieux". ‎

‎Le triomphe des vaincus, roman.‎

‎ 1906 Paris, Bibliothèque des réformes sociales, ( vers 1906 ); in-8 broché, couverture beigne imprimée en rouge et noir; 316pp. Quelques piqûres. Envoi autographe signé et longue lettre autographe signée à André Billy ( 6pp. in-8 du 21 juin (19)08), au sujet de son article sur elle dans l'Echo bibliographique et surtout au sujet du présent roman et de la psychologie de ses personnages, elle accepte les remarques de Billy mais va les discuter point par point et remarquablement les retourner contre le critique. "Et nous femmes, nous nous sentirions injustes, en déniant à un être pensant la faculté objective et subjective à la fois - double faculté nécessaire au critique...“‎

‎ Thilda Harlor est le pseudonyme de Jeanne Fernande Perrot ( 1871-1970), journaliste, femme de lettres et militante féministe. Elle dirigea la Bibliothèque Marguerite Durand, dédiée à l'histoire du féminisme, à la littérature et à la création féminine. ‎

‎2 lettres autographes signées à un « cher ami ». Charbuy, 29 août 1930. ‎

‎3 pp in 8°.‎

‎Au sujet d'Arielle fille des Champs de Harlor (Jeanne-Fernande Perrot, 1871-1970) qui a trouvé un éditeur. Celui-ci s'est engagé à le publier pour le 15 ou 20 septembre, mais ne trouve pas d'imprimeur libre. « Pour des raisons qu'il serait trop long de vous préciser, ce serait un désastre pour Harlor qu'Arielle ne parut pas au moins vers la fin de septembre. » Aurait-il un imprimeur à lui conseiller. Harlor est « surmenée par la tenue de la maison de Vieuxchamps encombrée en ce moments d'hôtes et de pensionnaires. » Léopold Lacour, indéfectible soutien des féministes de la Belle Époque fut, pendant une trentaine d’années, le compagnon de Harlor, qui avait fait ses débuts de journaliste dans le journal La Fronde, de Marguerite Durand. À la mort de cette dernière en 1936 elle prit la direction de la bibliothèque féministe qui porte toujours le nom de sa fondatrice. ‎

‎Lettre autographe signée par Thilda Harlor ‎

‎ 0 Une lettre manuscrite de 3 pages signée par Thilda Harlor. Lettre manuscrite à en-tête de l'Académie Française (feuillet double de format: 135mm x 110mm), datée du 2 décembre 1949, adressée à '' Cher Monsieur ''. Thilda Harlor, pseudonyme de Jeanne-Fernande Perrot, Paris 1871-1970, féministe, critique d'art et femme de lettres française ‎

‎Très bon Pas de couverture ‎

‎Le Général illustré‎

‎Paris Denoël 1964 In-8 carré Cartonnage illustré d'éditeur ‎

‎Edition originale. Nombreux photomontages montrant le Général de Gaulle dans les situations les plus diverses, sa tête collée sur des photos légendées d'extraits de ses discours.>Bel exemplaire bien complet du prospectus, et du dépliant avec des têtes de l'illustre homme, à découper, avec ce titre "Et maintenant à vous de jouer...". Très bon 0‎

‎[Photomontage figurant Dali face à une de ses toiles "trafiquée" où l'on voit le buste d'un homme et d'une femme nus].‎

‎ Photomontage original de Jean Harold (12,7x17,7 cm. ) portant son timbre au verso, ainsi qu'une dédicace où il explique que l'on "reconnaît facilement le corps de notre ami Charles Duclos! Pour la femme c'est à vous de jouer. "Original photomontage of Jean Harold (12.7x17.7 cm.) Bearing his stamp on the back, as well as a dedication where he explains that we "reconnaît facilement le corps de notre ami Charles Duclos! Pour la femme c'est à vous de jouer.". ‎

‎1819 - 1916. Peintre. L.A.S. ‎

‎Très belle lettre alors qu’ila 95 ans ! “... quoique peignant toujours ...” La signature bien lisible a “bavé”. ‎

‎Envoi autographe de l'artiste au bas d'une photo originale de son portrait peint par Lucien-Hector Jonas en 1911. ‎

‎ Sans lieu, mai 1911, photo 26,5 x 20 cm, sur carton fort 40 x 30,5 cm, avec la marque sèche du photographe Edouard Fiorillo (signature dans la photo : "E.F. Phot. Paris"). ‎

‎Harpignies était presque aveugle en 1911, 5 ans avant sa mort, lorsqu'il est portraituré par L.-H. Jonas, comme lui originaire de Valenciennes. Longtemps avant, Harpignies découvrit par hasard, le village d'Hérisson et la vallée de l'Aumance en 1869 et y revint pour peindre tous les étés jusqu'en 1878 ; il eut des élèves et fit des émules qu'on rattache sous le vocable "d'Ecole de l'Aumance". ‎

‎Guilbert de Pixerécourt. Sa vie, son mélodrame, sa technique et son influence [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ]‎

‎1 vol. in-8 br., Librairie ancienne Honoré Champion, Paris, 1913, 264 pp. ‎

8 Images

‎Rare exemplaire de l'édition originale, enrichie d'un envoi de l'auteur. Etat très satisfaisant (petites mouill. sur couv.)‎