‎2 L.S. au général Foy commandant la 1ère Division de l'Armée du Portugal‎

‎Manzanares, 14 et 22 décembre 1811 , 2 pp. et 2 pp. in-folio ; joint 4 pp. in-folio ; accompagné des bulletins analytiques de chaque pièce ; très légère moisissure. ‎

‎Intéressante correspondance relative aux placements des troupes dans la province de la Manche.14 décembre ; le général, alors gouverneur de la Manche, accuse réception du courrier du général Foy annonçant son arrivée pour le relèvement de ses troupes ; Daultanne l'en avait déjà prévenue. Trelliard lui envoie un tableau des habitants de la région avant de donner des détails sur les divers emplacements qu'il convient de faire occuper aux troupes de sa division, et sur les moyens de les faire vivre dans cette province ; "(…) Vottre premier mense d'infanterie peut s'établir à Ciutad Réal capitale de la province dont la population est de 2000 âmes qui a un fort assez convenable et de grands bâtimens (…) ; Votre 2e mense d'infanterie pourra se placer à Infantes et le pays d'Aleanaz qui l'avoisine, pourra lui fournir des bestiaux (…). Almagro et son canton qui n'est qu'à 4 lieu de Ciutad Réal peut facilement recevoir une de vos menses de cavalerie, et lui offre déjà un très beau quartier de 400 chevaux qui va évacuer le 13e dragon. Placé de cette manière, les troupes que vous aurez dans la Manche ne seraient point discéminés et pourront se réunir en deux fois 24 heures. D'après les intentions de S.M.C., je dois rester de ma personne à Manzanares, et occuper avec mes troupes les principales places de la ligne d'étape (…)."Le 22 décembre, le général Trelliard transmet de nouvelles directives concernant l'emplacement des troupes ; "(…) Je ne puis maintenant que vous adressez ci-joint copie de l'instruction que m'a donnée le Gal Daultanne et dans laquelle je dois strictement me renfermer (…). Mes troupes ne doivent se mettre en marche qu'à fur et mesure que les vôtres (…). Mr Brenolt a eu très tort de vous dire que la ville d'Infantes était une place forte, elle n'a qu'une enceinte comme Consuegra. Si vous ne faites occuper cette place qui se trouve sur la ligne ennemie, je suis dans l'impossibilité de faire partir le régiment de Nassau infanterie comme le comporte l'ordre du Roi (…). Je dois avoir des troupes à la Solana (…). Quant à La Membrilla, c'est un faubourg de Manzanarès où j'ai 400 chevaux des chasseurs de Nassau qui me restent pour la correspondance et que je ne puis placer ailleurs (…). Quant aux réclamations qu vous me faites relativement aux rations , je vais donner l'ordre qu'elles soient distribuer conformément au règlement de Mr le duc de Raguse (…).Joint la correspondance de Daultanne, chef d'état-major de Mortier au 5e Corps, certifiée pour copie par Milet, chef d'état-major de Trelliard ; "Par de nouvelles dispositions, la province de la Manche sera occupée par les troupes de l'Armée du Portugal, à l'exception des places fortes telles que Manzanaret et Consuégra. L'intention de S.M. est que vous demeuriez de votre personne à Mazanaret ainsi que les administrations de la Division (…)." Il conserve le 123e de Ligne, le "Nassau -cavalerie", 2 compagnies espagnoles "dites chasseurs des Montagnes" et la compagnie franche d'Almeida ; Daultanne détaille ensuite le mouvement des troupes qui doivent être remplacée par l'Armée du Portugal, recommandant le général Chassé.Ancien officier des Dragons de la Reine, puis de chasseurs à cheval, Trelliard (1764-1832) avait été nommé général en septembre 1799, après avoir servi à Fleurus, Coblenz, Nieuwied à l'Armée de Sambre et Meuse (1794-1797) puis à l'Armée d'Helvétie (1797-1799). Après divers commandements, il est au 5e Corps de la Grande Armée sous Lannes, à la tête de la cavalerie légère. Blessé à Pultusk, il est divisionnaire fin décembre 1806, et rentre en France où il est chargé de l'inspection des dépots de la cavalerie sous Kellermann. Dès 1808, il est compris dans l'Armée d'Espagne, gouverneur de la province de Vittoria. Après un passage à l'Armée d'Allemagne, il est à nouveau en Espagne en 1810, commandant la cavalerie de l'Armée du Centre, gouverneur de la province de la Manche ; il sera vainqueur du général Morillo en janvier 1812 près d'Almagro puis à Majahonda, sert à Vittoria en 1813, avant de rejoindre Napoléon lors de la campagne de France. ‎

‎2 L.S. au général Foy commandant la 1ère Division de l'Armée du Portugal‎

‎Manzanares, 24 et 25 décembre 1811 , 2 pp. et 2 pp. 1/2 in-folio ; accompagné du bulletin analytique de la pièce ; très légère moisissure. ‎

‎Le général Treillard renvoie des ordres concernant les différents mouvements de troupes, son courrier ayant été intercepté par l'ennemi ; "(…) Je suis faché que la dernière que j'ai eu l'honneur de vous adresser ait été interceptée (…). Celà aurait évité le départ du détachement de 250 hommes que vous envoyez à Santa Cruz. Comme (…) je voulais accélérer le mouvement du général Chassé, j'ai fait relever hier les troupes de Nassau pour les diriger sur Alcazar de San-Juan (…). Par suite de ces dispositions, je vous renvoie à Madridejos, le détachement de 250 hommes du 69e qui escorte en même tems M. le Gal Cognosca qui retournent en France (…)." Il remercie Foy d'avoir solliciter le duc de Raguse concernant le départ accéléré des troupes. "Je désire que ce mouvement vous rapproche de Manzanares et me procure l'avantage de faire votre connaissance et de coopérer ensemble au bien de nos troupes (…)." Treillard donne enfin des instructions au commandant Ciutad-Real, pour solliciter les autorités locales.Joint pour copie, la première lettre de Treillard qui avait été interceptée, concernant le mouvement des troupes de l'Armée du Portugal, citant les généraux Monbrun, Darmagnac, Chassey, apportant cette remarque sur le pays insoumis : "Vous me proposez de faire partir les troupes d'Infantes avant que les votre n'y arrivent. Je vous observerez que cela est impossible. Infantes est sur une ligne ennemie et tient à un pays qui n'est point soumis à S.M.C.. S'il était seulement 24 heures sans être occupé, les magasins que cette ville referme, seraient pillées et les employés du Roi et les gens qui lui sont dévoués, fortement compromis (…)/"Ancien officier des Dragons de la Reine, puis de chasseurs à cheval, Trelliard (1764-1832) avait été nommé général en septembre 1799, après avoir servi à Fleurus, Coblenz, Nieuwied à l'Armée de Sambre et Meuse (1794-1797) puis à l'Armée d'Helvétie (1797-1799). Après divers commandements, il est au 5e Corps de la Grande Armée sous Lannes, à la tête de la cavalerie légère. Blessé à Pultusk, il est divisionnaire fin décembre 1806, et rentre en France où il est chargé de l'inspection des dépots de la cavalerie sous Kellermann. Dès 1808, il est compris dans l'Armée d'Espagne, gouverneur de la province de Vittoria. Après un passage à l'Armée d'Allemagne, il est à nouveau en Espagne en 1810, commandant la cavalerie de l'Armée du Centre, gouverneur de la province de la Manche ; il sera vainqueur du général Morillo en janvier 1812 près d'Almagro puis à Majahonda, sert à Vittoria en 1813, avant de rejoindre Napoléon lors de la campagne de France. ‎

‎L.S. au général Foy commandant la 1ère Division de l'Armée du Portugal‎

‎Manzanares, 6 décembre 1811 , 2 pp. 1/2 in-folio, adresse au verso ; léger manque dû à l'ouverture de la missive ; accompagné de son bulletin analytique la pièce ; très légère moisissure. Déchirure.‎

‎Recommandation du général Trelliard, alors commandant la province de la Manche, pour l'arrivée des troupes du général Foy. Le colonel Brenold l'ayant prévenu de l'occupation de Conuegra et Madridejos par 4 bataillons de sa division, Trelliard demande si c'est par suite d'ordres supérieurs ; "(…) La position où je me trouve exige que je sois instruit (…). J'ai l'honneur de vous observer que dans le cas que vous soyez autorisé à occuper la haute Manche, il est de la plus haute importance (…) pour ses troupes qui se rendent de Madrid à l'Armée du Midi (…), que vos troupes n'occupent pas la ligne d'étape parce qu'alors elle êtent toutes les ressources qui peuvent servir aux troupes de passage. Si vous devez rester dans la Haute Manche, monsieur le Général, veuillez bien vous concerter avec moi (…)."Ancien officier des Dragons de la Reine, puis de chasseurs à cheval, Trelliard (1764-1832) avait été nommé général en septembre 1799, après avoir servi à Fleurus, Coblenz, Nieuwied à l'Armée de Sambre et Meuse (1794-1797) puis à l'Armée d'Helvétie (1797-1799). Après divers commandements, il est au 5e Corps de la Grande Armée sous Lannes, à la tête de la cavalerie légère. Blessé à Pultusk, il est divisionnaire fin décembre 1806, et rentre en France où il est chargé de l'inspection des dépots de la cavalerie sous Kellermann. Dès 1808, il est compris dans l'Armée d'Espagne, gouverneur de la province de Vittoria. Après un passage à l'Armée d'Allemagne, il est à nouveau en Espagne en 1810, commandant la cavalerie de l'Armée du Centre, gouverneur de la province de la Manche ; il sera vainqueur du général Morillo en janvier 1812 près d'Almagro puis à Majahonda, sert à Vittoria en 1813, avant de rejoindre Napoléon lors de la campagne de France. ‎

‎L.S. au général Foy commandant la 1ère Division de l'Armée du Portugal‎

‎Manzanares, 21 décembre 1811 , 2 pp. in-folio, adresse au verso ; accompagné de son bulletin analytique la pièce. ‎

‎Notes militaires concernant la position du général Chassé resté sur place conformément à ses ordres ; "(…) Du moment que vos troupes seront arrivées à Ciutad-Réal, Almagro & Infantes, Monsieur le général Chassé avec ses troupes se mettra en marche." Ainsi les troupes réunies dans ses trois arrondissements seront faciles à rassembler. Il donne des ordres à Chassé pour être prêt à se mettre en marche. "j'ai fait partir hier 30,727 rations de biscuit pour être mis à votre disposition à Consuegra. C'est tout ce que j'avais de disponible (…). Il est urgent que vos troupes partent (…), il ne reste plus rien pour la troupe de garnison et celle de passage (…)."Ancien officier des Dragons de la Reine, puis de chasseurs à cheval, Trelliard (1764-1832) avait été nommé général en septembre 1799, après avoir servi à Fleurus, Coblenz, Nieuwied à l'Armée de Sambre et Meuse (1794-1797) puis à l'Armée d'Helvétie (1797-1799). Après divers commandements, il est au 5e Corps de la Grande Armée sous Lannes, à la tête de la cavalerie légère. Blessé à Pultusk, il est divisionnaire fin décembre 1806, et rentre en France où il est chargé de l'inspection des dépots de la cavalerie sous Kellermann. Dès 1808, il est compris dans l'Armée d'Espagne, gouverneur de la province de Vittoria. Après un passage à l'Armée d'Allemagne, il est à nouveau en Espagne en 1810, commandant la cavalerie de l'Armée du Centre, gouverneur de la province de la Manche ; il sera vainqueur du général Morillo en janvier 1812 près d'Almagro puis à Majahonda, sert à Vittoria en 1813, avant de rejoindre Napoléon lors de la campagne de France. ‎

‎VESTIGES DUN MOI.‎

‎ Genève. Editions du Rhône. 1942. Grand in-8° broché. 84 pages. E.O. 1/400 ordinaires. [14 hollande / 40 vélin / 400 ordinaires]. Envoi autographe signé de lauteur. Très bon état. ‎

‎ Port inclus dans le prix général. . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Nous accompagnons toutes les étapes de vos achats. ‎

‎5 lettres autographes signées à Yves Brayer. 1975 à 1985. 4 p. in-4 et 1 p. in-8. On joint 2 superbes photos représentant Yves Brayer en compagnie de l’écrivain Pierre Dehaye et d’Yves Trémois, posant devant son célèbre tableau de 1930, « chez le Matador », tableau exposé à la galerie Matignon en 1980. Sur la seconde photo Y. B. est toujours devant son tableau en compagnie de la ministre aux universités, Alice Saunier-Seité. (Chaque photo : 29,5 x 21 cm,). Une enveloppe conservée.‎

‎Révélations sincères à son ami, admirateur de toujours. Il espère être au vernissage du Quai Conti. « De l'Estrapade aux Médicis au Palais Mazarin ... que de chemin parcouru, que d'œuvres créées (la dernière que j’ai vu à Noël en l’église de Baumanière)… Pas mal de réactions favorables parmi tes confrères…». En mars 1975, Il le remercie chaleureusement à propos de sa candidature pour son élection à l’Académie des Beaux-arts, ne voulant toutefois pas être un obstacle à l’élection de Georges Mathieu. (Membre élu le 7 mai 1975). « Un très très grand merci, Yves… Bernard Buffet vient de me téléphoner longuement et m’a fait part de ton amicale pensée pour ma candidature à l’Institut. Je serai tout particulièrement flatté de te retrouver dans l’Illustre maison… ». Il lui annonce sa visite à l’exposition de son ami Segonzac : « la très belle exposition de Marmottan. Ton ami Segonzac est à l’honneur. Ce vendredi matin, il y avait beaucoup de monde. Ce musée bouge. Il était jadis endormi. Nous t’en sommes tous reconnaissants. Je voulais te rendre visite, sans te déranger, et puis j’ai fui Paris pour travailler au bouquin que je viens de terminer por Flammarion… ». [Ouvrage paru en 1985, « Moa le Clown »]. On joint une lettre autographe signée d’Yves Trémois à Hermione Brayer datée du 8 mai 1993, quelques années après le décès de Brayer, relative au « Show-Brayer-Marmottan », exposition pour laquelle, il n’a pu se rendre que le matin suivant du vernissage. « « Splendide Ensemble. Je revivais ces instants avec Yves qui était si présent par son œuvre. Il y avait beaucoup de monde - J’ai revu Hermione/double, les fameux grands monotypes… Rome… Quelle bette exposition… ». ‎

‎Dessin autographe signé et dédicacé. ‎

‎Belle composition, lavis d’encre et aquarelle, daté du 2 mai 1966, très caractéristique de l’œuvre du peintre. (24 x 18,5 cm).‎

‎Las artes graficas de la epoca modernista en Barcelona‎

‎Gremio de industrias graficas de Barcelona, Barcelona 1977, 27,5x32cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale. Reliure de l'éditeur en pleine toile sable, dos lisse, premier plat illustré, exemplaire complet de son rhodoïd. Envoi autographe signé de Eliseo Trenc Ballester. Riche iconographie. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎A propos de quelques manifestations atypiques de la Lambliase chez l'enfant. [ Livre dédicacé par l'auteur ]‎

‎1 vol. in-8 br., Imprimerie Charles Déhan, Montpellier, 1945, 59 pp.‎

6 Images

‎Envoi de l'auteur à sa maman. Bon état‎

‎Lot 3 Lettres autographes signées Charles Trenet (1913-2001) L.A.S. [procès 1960]‎

‎Charles Trenet (1913-2001) auteur-compositeur-interprète français, surnommé à ses débuts "le Fou chantant", il est l'auteur de près de mille chansons à l'inspiration poétique, dont certaines, comme Y'a d'la joie, Ménilmontant, Douce France, La Mer ou encore L'Âme des poètes demeurent des succès populaires intemporels, au-delà même de la francophonie. 3 Lettres autographes signées dans lesquelles Charles Trenet, assigné en justice par la société "A la Porte de Clichy" pour des factures impayées, explique tout d'abord à Maître Louis Guitard les "malentendus dans cette affaire de tapis" puis lui adresse ses chèques, en espérant "que cette moquette volante (des mille et un ennuis!) reviendra vite à la Varenne". 3 pages in-2 sur papier à en-tête + 2 enveloppes - bon état, pliures liées à l'envoi Nous joignons avec les copies des 3 lettres (voir photos) de Louis Guitard auxquelles Charles Trenet répond. La Varenne St Hilaire, le 2 juillet 1960 "Cher Maître, Que de malentendus dans cette affaire de tapis! Je ne conteste pas cette dette mais je n'ai jamais donné l'ordre "A la Place Clichy" de battre et de garder ma vieille moquette ! Bien au contraire ! J'ai dit à vos clients "rapportez mon ancienne moquette et je vous réglerai le reliquat. C'était simple ! Pour en finir, je vous adresserai un chèque le 5 juillet date à laquelle j'effectue toujours tous mes règlements car elle coïncide avec celle de mes revenus de la S.AC.E.M. Vous avez ma parole - ne plaidons donc point ! Merci de votre sympathie ! Acceptez la mienne ! Cordialement Charles Trenet" La Varenne St Hilaire, le 5 juillet 1960 "Cher Maître, Voici les chèques... et les photos ! J'espère que cette moquette volante (des mille et un ennuis !) reviendra vite à la Varenne. Merci ! Bien cordialement Charles Trenet" La Carrière, Antibes, le 29 septembre 1960 "Cher Maître, En fait je ne sais si la moquette a été rendue - je suis parti en juillet et ne suis pas encore rentré. De toute façon, je pense que vous pouvez remettre ce chèque. Je serai à Paris le 8 octobre et pense trouver cette moquette dont à présent je me moque (un peu). Croyez à mes sentiments très cordiaux Charles Trenet"‎

‎Les Compagnons de l'Alpe. Traduction d'Armand Pierhal. ‎

‎Paris Stock - Delamain et Boutelleau, coll. "Les livres de nature" 1934 1 vol. broché in-12, broché, 219 pp., 8 illustrations (couverture un peu salie). Édition originale. Exemplaire en service de presse enrichi d'un envoi autographe signé "A Monsieur François Mauriac avec l'admiratif hommage du traducteur Armand Pierhal". Ex-libris manuscrit à la mine de plomb : "Jean Mauriac". ‎

‎L.S. à M. le préfet de la Vendée‎

‎à Bourbon-Vendée, 17 janvier 1823 , 2 pp. bi-feuillet in-4, en-tête de "l'Ingénieur en Chef du corps impérial (biffé pour "royal") des Ponts & Chaussées avec vignette gravée. ‎

‎Lettre de l'ingénieur en chef relatif aux travaux sur l'île de Noirmoutier. Il adresse au préfet le montant des frais de voyage du Sieur Espitallier, piqueur employé à la suveillance de ces travaux ; ce dernier a charge "d'aviser aux moyens d'assurer la fourniture de piquets, fascines, clayons pour les ouvrages d'expérience ordonnés par Mr le Directeur général des Ponts et Chaussées, pour le revêtement de la digue en retraite de la pointe de Devin ; et de prendre dans l'Ile de Rhé connaissance de la manière dont on construit les digues en fascinage (…)."Ces digues devaient servir à la fixation des dunes de sable.Superbe vignette en-tête aux éléments d'architecture, sur le modèle des anciennes vignettes italiennes de l'Empire.Pierre Treton (1766-1823) avait été nommé ingénieur en chef des Ponts et Chaussés en 1804, employé dans les Deux-Sèvres entre 1806-1810, dans les Cotes du nord en 1813, dans la Haute-Vienne (Limoge) sous la Restauration, avant de prendre sa retraite en juillet 1823. ‎

‎Lieu de naissance de La Tour d'Auvergne-Corret. La légende et La Tour d'Auvergne. La poésie et La Tour d'Auvergne. - La Tour d'Auvergne et son manoir de Lampoul. - Quelques légendes relatives à La Tour d'Auvergne-Corret. - Deux jésuites oncles de La Tour d'Auvergne-Corret le premier grenadier. - La Tour d'Auvergne-Corret fut-il noble?‎

‎René Prud'homme & Plihon & Hervé; Francisque Guyon & Plihon & Hervé; René Prud'homme; M. Le Bras & M. Prud'homme & Plihon & Hervé; Francisque Guyon & M. Prud'homme & Plihon & Hommay, Saint-Brieuc, Rennes & Quimper, Saint-Brieuc, Rennes 1900-1904, 16,5x25,5cm, 5 volumes reliés en 1.‎

‎Edition originale pour chacun des volumes. Reliure à la bradel en demi percaline terre de Sienne, dos lisse orné d'un fleuron doré, doubles filets dorés en queue, pièce de titre de chagrin bronze comportant quelques éraflures marginales, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier orange, couvertures conservées pour le premier volume, reliure de l'époque. Quelques petites rousseurs. Envoi autographe signé de Julien Trévédy en tête de chacun des fascicules au capitaine Pineau. Rare réunion de textes consacrés à La Tour d'Auvergne. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Manuscrit autographe signé. ‎

‎ 4 pp. in 4°. ‎

‎ «Les abeilles sont, avec les alouettes et les naïades, mes compagnes de l’été… Et l’abeille, c’est la lumière incarnée, vivante. Un bourdonnement ininterrompu remplit mon aire fleurie de colza sauvage… Ces vierges sages tout le jour se gorgent de pollen et s’énervent de l’amour qu’elles dérobent aux plantes…»On joint: 2 lettres autographes signées à Edmond Alphandéry. 2 pp. in 4°, s.d.‎

‎Trez Optimiste 1983 - 1984.‎

‎ Paris, Diffusion Vilo, sans date; in-8°, carré, plein cartonnage blanc de l'éditeur illustré imprimé en noir , rouge et bleu au 1er plat et dos, avec photo du dessinateur au 2èmeplat ; 119pp.Recueil rassemblant les meilleurs dessins de TREZ parus dans France-Soir Magazine en 1983-1984.‎

‎Envoi autographe signé avec dessin original, au feutre noir, à Guy Breton sur la page de titre.(GrD) ‎

‎EnTrez dans l'an 2000...‎

‎Paris Jean Picollec 1999 1 vol. broché in-8 carré, broché, couverture illustrée, 112 pp. Premier tirage avec un envoi autographe et un dessin original signé de Trez. Très bon état.‎

‎J'aime pas les people.‎

‎Paris Hoëbeke 2007 1 vol. relié in-8 oblong, cartonnage illustré, 61 pp. Premier tirage avec un envoi autographe et un dessin original signé de Trez à Jacques Pessis. Très bon état.‎

‎Jamais deux sans Trez : 1985-1986.‎

‎Paris Trez, diffusion Vilo 1986 1 vol. relié in-8 carré, cartonnage illustré, 116 pp. Premier tirage avec un envoi autographe et un dessin original signé de Trez à Jacques Pessis. Très bon état.‎

‎Les idées Trez noires.‎

‎Paris Le Cherche Midi, coll. "La bibliothèque du dessinateur" 1986 1 vol. broché in-8, broché, couverture illustrée, 125 pp. Premier tirage avec un envoi autographe et un dessin original signé de Trez. Très bon état.‎

‎Tout va Trez bien : mai 81 - mai 83.‎

‎Paris Denoël 1983 1 vol. relié in-8 carré, cartonnage illustré, 118 pp. Premier tirage avec un envoi autographe et un dessin original signé de Trez à Jacques Pessis. Très bon état.‎

‎Tout va Trez vite : dessins 1991-1992.‎

‎Paris Jean Picollec 1992 1 vol. broché in-8 carré, broché, couverture illustrée, 143 pp. Premier tirage avec un envoi autographe et un dessin original signé de Trez. Très bon état.‎

‎Trez en campagne : 1986-1987.‎

‎Paris Trez, diffusion Vilo 1987 1 vol. relié in-8 carré, cartonnage illustré, 116 pp. Premier tirage avec un envoi autographe et un dessin original signé de Trez à Jacques Pessis. Très bon état.‎

‎Trez incorrect.‎

‎Paris Jean Picollec 1998 1 vol. broché in-8 carré, broché, couverture illustrée, 112 pp. Premier tirage avec un envoi autographe et un dessin original signé de Trez. Bordure supérieure de la couverture un peu jaunie, sinon en très bon état.‎

‎Trez optimiste : 1983-1984.‎

‎Paris Trez, diffusion Vilo 1984 1 vol. relié in-8 carré, cartonnage illustré, 119 pp. Premier tirage avec un billet et un envoi autographe, et un dessin original signé de Trez à Jacques Pessis. Très bon état.‎

‎Un... deux... Trez... partez ! 1984-1985.‎

‎Paris Trez, diffusion Vilo 1985 1 vol. relié in-8 carré, cartonnage illustré, 119 pp. Premier tirage avec un billet et un envoi autographe, et un dessin original signé de Trez à Jacques Pessis. Très bon état.‎