L'homme Sans date. Willy Corsari: L'homme sans uniforme/ Club International du Livre 3000 ex. Référence: LMA17A. Willy Corsari: L'homme sans uniforme/ Club International du Livre 3000 ex
Bon état
1978 1978. Colette et Willy - Claudine en Ménage / France Loisirs 1978
Bon état
1965 1965. Willy et Colette - Claudine à Paris / le livre de poche 1965
Bon état
Le Livre de Poche 1963 1963. Willy et Colette : Claudine à Paris / Le livre de Poche 1963 LBN9
Bon état
1957 1957. Willy et Colette - Claudine en ménage / Le livre de Poche 1957
Bon état
johann strauss & marcel cariven & mado robin & willy clément johann strauss & marcel cariven & mado robin & willy clément
Reference : 500002564
(2006)
ISBN : 3220010416678
L'homme 2000 2000. Willy Corsari L'HOMME SANS UNIFORME 2000ex HC Relié
Albin Michel Sans date. Les grands romans/ Colette Willy: La vagabonde/ Albin Michel . bon état
Etat correct
Rivages 2012 2012. Willy Uribe - Le prix de mon père / Rivages/Noir 2012
Bon état
Stock Sans date. 5 Willy Rozenbaum - La vie est une maladie sexuellement transmissible. / Stock
Bon état
Paris Pro Amici 1962 1 vol. relié plaquette in-16, bradel éditeur de toile orange, dos lisse muet, nom de l'auteur et tire en lettres dorées sur le premier plat avec filet doré en encadrement, étui noir, 35 pp. Edition originale. Avant-propos de Pierre Varenne et Alfred Diard. Tirage unique à 50 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches pur chiffon. En bonne condition. La découverte par Colette en 1909 de la vente des droits des Claudine aux éditeurs fut à l’origine d’une querelle littéraire et matrimoniale qui alimenta la presse et l’édition pendant plus de vingt ans. Chaque partie avait ses défenseurs et ses tribunes, les proches étaient sommés de choisir leur camp et tous les coups étaient permis: menaces, chantages, procès, insultes… Le premier avait été donné par Willy, Colette le lui rend dès le mois de mars. Elle menace de porter à la connaissance de la justice des lettres compromettantes de Mme de Serres dans un procès qui opposait Willy à son ancienne maîtresse. Forte de ce moyen de pression, Colette obtient un premier accord concernant la signature des Claudine, qui paraîtront désormais sous leurs deux noms. L’année suivante, apprenant qu’une opérette tirée de Claudine va être montée au Moulin-Rouge, elle saisit la SACD, menace, réclame et obtient la moitié des droits et son nom sur l’affiche. La partie ne fait que commencer. Le second coup vient de Colette qui dans La Vagabonde fait de Willy l’odieux et félon Adolphe de Taillandy. La réplique de l’intéressé arrive, un an plus tard, et prend la forme de deux romans: le premier Lélie fumeuse d’opium, signé Willy et dû aux bons soins de Paul-Jean Toulet, où Colette apparaît sous les traits de Bastienne de Bize, un temps appelée la baronne Gousse de Bize, «épaisse, sa taille courte roulant sur des hanches évoquant la gourde plutôt que l’amphore», puis dans Les Imprudences de Peggy, signé Meg Villars et «traduit» par Willy où apparaît Vivette Wailly qui «s’acoquina publiquement à une vieille morphinomane qui s’habillait en homme, la baronne de Louviers.» Attentif à ces différentes passes d’armes, Jules Marchand, directeur de la revue Sur la Riviera propose à Willy de dire sa vérité. L’ancienne gloire des années 1900 avait alors perdu la plupart de ses collaborations journalistiques et faisait face à d’importants problèmes d’argent, dus notamment à sa manie du jeu. De décembre 1920 à février 1921, il s’acquitte de sa tâche depuis Monte-Carlo en inscrivant sur les premières pages des quatre Claudine sa version de la genèse et des personnages. Savait-il alors que Marchand débuterait, moins de quinze jours après sa mort, la publication de ces commentaires ? Il a emporté ce secret dans la tombe. Publié du 25 janvier au 15 février sous le titre «Willyana», il n’est pas certain que ces textes aient redoré son image si on en juge par la somme de calembours d’un goût douteux et de remarques fielleuses, voire ordurières, à l’égard des personnages, telle Olympe Terrain, l’institutrice de Colette devenue Mlle Sergent: «La directrice, Mlle Terrain, forniquait assidûment avec Merlou, quoique très laide, car elle avait des économies qu’appréciait ce poisson besogneux»… Le dernier mot revint à Colette qui en publiant, en 1936, Mes apprentissages, sous-titre «Ce que Claudine n’a pas dit», enterra définitivement Willy et cette période de sa vie. Les commentaires de Willy furent repris, sans doute à l’initiative de Pierre Varenne et d’Alfred Diard qui préfacent l’ouvrage, sous le titre Indiscrétions et commentaires sur les Claudine par le librairie Auguste Blaizot qui les publia en cette petite plaquette tirée à 50 exemplaires: «Allons-nous condamner l’un et gracier l’autre, alors que les deux qui nous sont différemment aussi chers, se sont rendus coupables de perversité, de méchanceté et de mauvaise foi, pour ne pas dire plus, à l’égard l’un de l’autre? Mais ne devons-nous pas tenir compte aussi du bien qu’ils se sont fait mutuellement? Sans Willy, Colette fût-elle devenue l’incomparable styliste qui fait honneur aux lettres françaises? Sans Colette et les Claudine dont elle fut la mère si Willy en fut le père, celui-ci eut-il connu la période la plus prestigieuse de sa vie?» Plaquette très recherchée. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Sté d'éditions et de publications parisiennes | Paris s. d. [circa 1910] | 12 x 18.50 cm | relié
Edition originale de la traduction française établie par Willy dont il n'est pas fait mention de grands papiers. Couverture illustrée d'une sanguine de Garnier Salbreux. Reliure en demi chagrin marron, dos lisse décoloré et orné de cartouches dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, ex-libris gravé de Walter Furst encollé sur un contreplat. Envoi autographe daté et signé de Meg Villars, qui fut la maîtresse de Willy alors que celui-ci était marié à Colette, à Walter Furst enrichi d'un envoi autographe signé de Willy. Les deux envois sont rédigés en anglais et effectués sur la couverture illustrée. Notre exemplaire est également agrémenté d'une carte postale photographique, encollée sur une garde, représentant les auteurs sur laquelle Willy s'est fendu d'un nouvel envoi autographe daté et signé à Walter Furst : "... exilé à Bruxelles...", rédigé à Bruxelles et comportant aussi la signature manuscrite de Meg Villars. Enfin, trois cartes postales photographiques représentant Willy tout seul pour la première, puis Willy et Polaire pour la seconde et Willy et Claudine pour la dernière ont été montées sur onglets entre les pages 156-157, 264-265 et 294-295. Sur chacune des trois cartes postales photographiques, Willy s'est fendu d'un envoi autographe signé ou de quelques mots à l'adresse de Walter Furst. Unique exemplaire joliment enrichi de documents manuscrits. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Dhouailly et Cie, Paris, 2001.
Un portfolio (55 x 41 cm) de couleur noire et à rabats de couleur rouge. Avec, sur le 1er plat, la signature du photographe WILLY RONIS agrandie (en lettres blanches) ainsi que son nom en caractères d’imprimerie, en rouge. Willy RONIS (1910-2009) est considéré comme un des Maîtres de la Photographie Humaniste française, à l’égal des plus grands. Ce portfolio comprend, dans cette version, 12 héliogravures choisies par Willy RONIS parmi ses clichés originaux selon l’ordre chronologique entre 1948 et 1994. _Après avoir été choisies ces photos ont été reproduites sur plaques de cuivre par le procédé de l’héliogravure au grain (résine) et ces plaques ont ensuite été pressées par le moyen d’une presse à bras sur un papier d’une grand qualité, le Hahnemühle, avec une encre spéciale. Précisons que les héliogravures ainsi obtenues sont toutes uniques. Elles sont comparables à des estampes puisqu’elles ont été encrées et pressées une à une, contrairement à ce qui se passe pour l’héliogravure industrielle. Signalons aussi que ce procédé de l’héliogravure au grain est le plus ancien des procédés de reproduction d’images photographiques. Il a été inventé au 19ème siècle par NIÉPCE et perfectionné par William Henri-Fox TALBOT (1841), Charles NÈGRE (1855), NIEPCE de SAINT-VICTOR (1856), Edouard BALDUS (1869) et Karl KLIC (1878). Les hélios de cette version à 12 hélios sont les suivantes : Carrefour Sèvres-Babylone (1948), Avenue Simon Bolivar (1950), Quai de Conti (1956), Champigny sur Marne (1957), La Péniche aux enfants ((1959), Quai de Montebello (1964), L’Isle-sur-la-Sorgue (1979), Pluie sur Beaubourg (1981), Les Feuilles mortes (1988), La Chevelure (1790), Valmorel, 1992, Marseille (1994). Toutes sont protégées par une serpente. A côté des 12 hélios que contient ce portfolio, il faut signaler la présence de 19 feuillets de texte imprimés à l’ancienne et en version bilingue (français-anglais, recto-verso). Il s’agit en particulier d’un avant-propos de l’éditeur, d’une brève biographie de Willy RONIS, d’une Introduction écrite par celui-ci, de 12 pages de commentaires également rédigés de sa main relatant les circonstances dans lesquelles chaque photo a été prise, d’un justificatif avec la signature de Willy RONIS (avec le numéro de l’exemplaire), d’une liste des héliogravures et enfin d’une page mentionnant les noms des collaborateurs et le dépôt légal (2001). Le présent portfolio, dont les 12 hélios ont été pressées directement sur Hahnemühle, est l’un des 10 venant après les 10 du tirage de tête dont les hélios ont été pressées, elles, sur Tosawashi, papier japonais. Chacune des 12 hélios est signée par Willy RONIS.Exemplaire en PARFAIT ETAT.
Dhouailly et Cie, Paris, 2001
Un portfolio (55 x 41 cm) de couleur noire et à rabats de couleur rouge. Avec, sur le 1er plat, la signature du photographe WILLY RONIS agrandie (en lettres blanches) ainsi que son nom en caractères d’imprimerie, en rouge. Willy RONIS (1910-2009) est considéré comme un des Maîtres de la Photographie Humaniste française, à l’égal des plus grands. Ce portfolio comprend 12 héliogravures choisies par Willy RONIS parmi ses clichés originaux selon l’ordre chronologique, entre 1948 et 1994. Après avoir été choisies ces photos ont été été reproduites sur plaques de cuivre par le procédé de l’héliogravure au grain (de résine) et ces plaques ont ensuite été pressées par le moyen d’une presse à bras sur un papier de haute qualité (ici le Tosawashi encollé sur du Hahnemühle) avec une encre spéciale. Les héliogravures ainsi obtenues sont toutes uniques. Elles sont comparables à des estampes puisqu’elles ont été encrées et pressées une par une, contrairement à ce qui se passe pour l’héliogravure industrielle. (Précisons que ce procédé de l’héliogravure au grain est le plus ancien des procédés de reproduction d’images photographiques. Il a été inventé au 19ème siècle par NIÉPCE et perfectionné par William Henri-Fox TALBOT (1841), Charles NÈGRE (1855), NiÉPCE de SAINT-VICTOR (1856), Edouard BALDUS (1869) et Karl KLIC (1878)).Les hélios de cette version à 12 hélios sont les suivantes : Carrefour Sèvres-Babylone (1948), Avenue Simon Bolivar (1950), Quai de Conti (1956), Champigny sur Marne (1957), La Péniche aux enfants ((1959), Quai de Montebello (1964), L’Isle-sur-la-Sorgue (1979), Pluie sur Beaubourg (1981), Les Feuilles mortes (1988), La Chevelure (1790), Valmorel, 1992, Marseille (1994). Toutes sont protégées par une serpente.A côté des 12 hélios que contient ce portfolio, il faut signaler la présence de 19 feuillets de texte, imprimés à l’ancienne et en version bilingue (français-anglais, recto-verso). Il s’agit en particulier d’un avant-propos de l’éditeur, d’une brève biographie de Willy RONIS, d’une Introduction écrite par celui-ci, de 12 pages de commentaires également rédigés de sa main relatant les circonstances dans lesquelles chaque photo a été prise, d’un justificatif, d’une liste des héliogravures et enfin d’une page mentionnant les noms des collaborateurs et le dépôt légal (2001).Précisons que le tirage total de cette édition a été limité à 130 portfolios (après l’impression desquels les plaques de cuivre ont été détruites) et que seuls les 20 premiers contiennent 12 hélios , qui sont toutes signées par le photographe.Précisons également que, sur les 20 portfolios de tête, seuls les 10 premiers (dont le présent exemplaire) contiennent des hélios spécialement pressées sur Tosawashi, un papier japonais extrêmement fin encollé sur un support d’Hahnemühle. Le Tosawashi avait été choisi dans le but de rendre au mieux les nuances de gris les plus fines des photos de Willy RONIS.Et notre exemplaire, qui porte le N°9 présente la signature manuscrite de Willy RONIS au colophon, comme chacun d’ailleurs des 130 portfolios de cette édition. Il est en PARFAIT ETAT.