Paris, Arthaud, 1969, in-8, broché, 263p. Accrocs en marque de la couverture. Bon exemplaire.
Narbonne Cahiers d'études cathares 1969 16 x 25 cm broché 327 pp
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Paris Fourbis, septembre 1988, 14x18,5cm, broché, 25p. Très bon état. isbn: 2907374036
Toulouse Institut d'études occitanes 1947 in-12 broché 206p. Bon état.
Paris, Aux Editions du Seuil, Collection Tel Quel, 1966, in-8, broché, 164p. Exemplaire du Service de Presse. Envoi de l'auteur à Bernard Pingaud. Rousseurs au dos.
Paris, Editions Berger-Levrault, 1930, in-12, broché, 387p. Bon état. Texte frais.
Paris, Editions Paul Dupont, 1945, in-4 à l'italienne, cartonnage éditeur, Couverture à l'état d'usage. Intérieur frais. Charmante publication agrémentées de lettrines imagées et d'illustrations en couleurs.
Paris, Aux Editions du seuil. Collection Tel Quel, 1975, in-8, broché, 111p. Accrocs en marge de la jaquette. 5 coins pliés. Bon exemplaire.
Paris, Arthaud, 1950, in-8, broché sous couverture rempliée, 302 pages. Bel exemplaire.
Grenoble, Artaud, 1948, in-8, broché, 300 pages. Petits frottements en tête, sinon bon état.
Paris, Arthaud , 1966, cartonnage éditeur toilé sous rodhoïd, 285 pages 47 photographies et 2 cartes. Photographies de Pierre Tairraz. Bon état.
Lyon, Éditions du Chalet , 1951, in-8, broché, 396 pages. Bon état. Jaquette éditeur. Nombreuses illustrations N/B et 2 cartes Afique du Sud.
Bauret, Roche, Guibert, Rouille, Claas, Mora, Naggar, Nori, Fleig
Reference : 12258
(1981)
Paris, 1981, in-8°., Broché, 64 pages. Qq. passages pointés au stylo.
Paris, Seuil. Coll. Pierres Vives., 1977, in-8, broché, 314 pages. Bon état.
Grenoble, Artaud, 1948, in-8, broché, 300 pages. Plis et manques de papier au dos. Ex. fragilisé. Envoi de l'auteur.
Paris, Albin Michel, 2016, in-8, broché, 301 pages. Pli sur la couverture et les dix premières pages, sinon très bon état. Envoi de l'auteur.
Paris, Arthaud, 1960, in-8, broché, couverture rempliée, sous rodhoïd., 273 pages. Très bon état. Complet de la carte des Sept Vallées du Mont Blanc.
NP C1930 Aquarelle sur dessin à la mine de plomb, signée en bas à gauche. Bien qu'il ne soit pas daté, ce dessin est très similaire aux uvres datées de 1930-1935. Surface visible 45,5 cm x 30 cm. Sous passe partout et sous verre dans un cadre en bois avec quelques manipulations seulement. L'aquarelle est en très bon état et clairement signée. Il y a un reste de peinture sur le bord supérieur droit. Il s'agit d'un beau portrait d'un nu dansant. Le cadre mesure 67 cm x 51 cm. Odilon Roche (1868-1947) était un artiste français réputé pour son travail d'aquarelliste, de dessinateur et de peintre. L'uvre de Roche comprend des aquarelles, des peintures au lavis et des dessins, souvent caractérisés par une exécution délicate et détaillée. En plus de ses activités artistiques, Roche a eu une carrière aux multiples facettes. Il a travaillé comme dégustateur de vin, marchand de couleurs et antiquaire spécialisé dans l'art du XVIIIe siècle et l'art persan. Ses uvres comprennent des lithographies et des pièces signées telles que "Musiciennes antiques" et "Port Issol", qui témoignent de sa maîtrise des techniques du crayon et de l'aquarelle, qu'il a toutes deux utilisées dans cette uvre.
Water colour over graphite drawing, signed lower left. Although undated, this is very similar to works dated 1930-1935. Visible area 45.5cm x 30cm. Under passe partout (sealed into this from behind) and under glass in a wooden frame with a little handling only. The water colour is in very good condition, and clearly signed. There is a touch of paint remnant to the top right edge. An attractive portrait of a dancing nude. The frame is 67cm x 51cm. Odilon Roche (18681947) was a French artist renowned for his work as a watercolourist, draftsman, and painter. Roche's work included water colours, wash paintings, and drawings, often characterised by delicate and detailed execution. In addition to his artistic pursuits, Roche had a multifaceted career. He worked as a wine taster, colour merchant, and antiquarian specialising in 18th-century and Persian art. His works include lithographs and signed pieces such as "Musiciennes antiques" and "Port Issol," which reflect his mastery of both pencil and watercolour techniques, both of which he utilised in this piece. .
Paris, Sous l'Enseigne du Pavillon dans un Parc & chez Henri Baguenier Desormeaux, s.d. (1913), in-4, bradel de papier marbré couverture cons., non rogné (reliure de l’époque non signé mais due certainement à D.F. Thiéraut), (16 p.). Edition originale de ce tiré-à-part à 99 ex. tous num. sur papier de Hollande à la forme, de la revue Ariane ou Le Pavillon dans un Parc, numéro d'été 1913. Cette revue était financé et dirigée par René Chalupt. Envoi a.s. de Roché : “à René Chalupt, je ne le dirai point ici, Henri Pierre Roché”. Très rare premier livre du futur auteur de Jules et Jim et avec la meilleure provenance possible. Nous recopions un passage des mémoires de Georges Auric, “Quand j'étais là”, Grasset 1979, pp. 34-35. "Connaissez-vous Roché, savez-vous qui est Henri-Pierre Roché, puis-je apercevoir ce M. Roché?" A peine arrivé à Paris, je questionnais ainsi chaque infortuné que je rencontrais. Jusqu'au beau jour où, enfin!, quelqu'un me répondit: "Mais oui, je le connais très bien..." Mon sauveur était un garçon charmant qui, d'ailleurs, allait s'empresser de nous réunir. (...) Il s'appelait René Chalupt, travaillait chaque jour dans une célèbre maison de pianos dont son père était, je crois, un des dirigeants importants. Le soir venu, il allait, passionné de musique, écouter un concert ou, plus simplement, traversait la rue La Boétie pour retrouver le bel appartement où il écrivait les vers un peu précieux, petits enfants de Levet ou de Toulet, qu'il publia ensuite, sans se hâter, dans des plaquettes devenues introuvables. Avec quelques amis, il éditait une revue d'une sorte assez rare, tout aussi épuisée j'imagine : Ariane ou le Pavillon dans le Parc (sic). Chaque numéro était tiré à quatre-vingt-dix-neuf exemplaires, réunissant à des textes, par exemple de Paul Valéry ou de Léon-Paul Fargue, quelques pages de ce mystérieux Henri-Pierre Roché que Chalupt, pour finir, allait me faire rencontrer".
Phone number : 33 01 48 04 82 15
Exemplaire de tête.Reliure de Louise Bescond. Paris, Gallimard, (mars) 1953. 1 vol. (125 x 190 mm) de 252 p., [1] et 1 f. Reliure souple en veau naturel teinté gris perle et estampé, tranches dorées sur témoins, couvertures et dos conservés (reliure signée de Louise Bescond, 2018). Édition originale. Un des 55 premiers exemplaires sur vélin pur fil (n° 6).
Exemple étonnant de premier roman écrit à l'âge de soixante-quatorze ans, Jules et Jim a inspiré un film célèbre à François Truffaut, qui adaptera également Les Deux Anglaises et le continent. « Je peux dire que la lecture, en 1953, de Jules et Jim, premier roman d'un vieillard de 74 ans, a déterminé ma vocation de cinéaste. J'avais 21 ans et j'étais critique de cinéma. J'ai eu le coup de foudre pour ce livre et j'ai pensé : si un jour je réussis à faire des films, je tournerai Jules et Jim. J'ai peu après rencontré l'auteur du livre que l'idée d'un contact avec le cinéma enchantait. Au début 61, j'ai pensé que le moment était venu de concrétiser ce vieux rêve. J'ai essayé de transposer fidèlement ce beau livre que l'éditeur Gallimard présentait ainsi : “ Un pur amour à trois”. » Avant d'être élevé au Panthéon du Cinéma français, le film échappe de peu à l'interdiction totale, pour sa prétendue immoralité. Il sort en France avec une interdiction aux moins de 18 ans. Jules et Jim est la célèbre histoire d'un amour à trois : Jules, un poète juif allemand séjournant à Paris avant la première guerre mondiale, rencontre Jim, poète français qui devient son inséparable ami. Ils font de concert quelques conquêtes féminines, jusqu'à ce que Jules épouse Kathe, allemande elle aussi, en visite culturelle en France également... l'amour de Jules pour Kathe ne fonctionnant vraiment que s'il est complété par celui de Jim... Monument fondateur du polyamour, il est largement autobiographique : Jules et Jim se sont rencontrés à Paris, alors qu'ils étudiaient ensemble. Henri-Pierre Roché va raconter l'histoire de leur amitié et de leurs amours entre la France et l'Allemagne à 10 000 lieues des soubresauts de la Grande Guerre. Jim, c'est lui, ou presque ; et Jules et Kathe sont directement inspirés par l'écrivain autrichien Franz Hessel et par Helen Grund (Berlinoise, fille d'un banquier prussien protestant) : ils sont les parents de Stéphane Hessel. Mais l'histoire remonte aussi à un peu plus loin : Henri-Pierre Roché fut un bourreau des coeurs, peintre, écrivain et marchand d'art qui rencontre en 1916 Marcel Duchamp. À Paris, Roché se faisait le mécène des femmes artistes qu'il séduit, fréquente le Montmartre du Bateau-Lavoir avant d'être missioné aux États-Unis par le Haut-commissariat de la République française chargé d'encourager l'entrée en guerre des États-Unis. C'est là qu'a lieu la rencontre avec Marcel Duchamp, alors la coqueluche des élites à New York. Duchamp vient de rencontrer Beatrice Wood, le 27 septembre 1916, pour laquelle il éprouve, tout de suite, un fort penchant... ce qui ne l'empêche pas de la présenter à Roché qui devient le premier amant - l'initiateur - de la jeune femme, tout en restant officiellement avec Marcel Duchamp. Cet étrange trio franco-américain, Roché s'en souviendra vraisemblablement aussi au moment de rédiger son roman, comme beaucoup d'autres histoires de sa prime jeunesse où, pendant ses études à Paris, entre 1898 et 1900, «Hachep», comme l'appelle Duchamp, mène «une double vie au cours de laquelle il enterre sa vie de garçon avec une rouerie systématique en abusant d'annonces matrimoniales [...] et diverses manipulations sentimentales qui resteront une constante de sa vie [...)]. L'expérience est assez déstabilisante pour qu'en mars sa mère l'envoie quelques semaines en cure hydrothérapeutique à l'institut Sonnenberg de Carspach en Alsace ».