Album grand in-4 carré, plats cartonnés, titre imprimé en rouge, pendentif tressé noir.Véritable chef-d'?uvre de Georges LEPAPE (1887-1971), comprenant 12 planches montées sur onglets et coloriées au pochoir avec rehauts d'or et d'argent par Saudé, sur une note orienta- lisante totalement novatrice pour la mode fémi- nine de l'époque. Paul Poiret lance, selon son expression, des coupes et des couleurs « comme des loups dans une bergerie ».Cet album est considéré par beaucoup comme le plus beau livre sur la mode de l'époque.
Paris Chez Paul Poiret 1911 Non paginé. In-4. Cartonné. Exemplaire parfaitement conservé, malgré les habituelles décharges des planches. 1 volume. TIRAGE LIMITÉ À 1 000 EXEMPLAIRES, CELUI-CI ÉTANT L'UN DES 700 COMPRENANT LES PLANCHES SUR JAPON SANS REMARQUES.EXEMPLAIRE DE GEORGES LEPAPE, complet de la pochette de protection comprenant une vignette contrecolle?e repre?sentant la ce?le?bre «Femme au Turban», tire?e sur chine.On y trouve e?galement ajoute?es dans l?exemplaire, les pie?ces suivantes:- Vignette de la pochette monte?e en te?te,- 4 CROQUIS ORIGINAUX SUR PAPIER CALQUE DE LEPAPE, non signe?s, dont deux monte?s en te?te et deux place?s a? la fin, l?un monte? l?autre volant,- invitation de Paul Poiret a? la dernie?re soire?e qu?il donna dans son ho?tel du faubourg Saint-Honore? le 24 de?cembre 1924, «a? l?occasion de son prochain changement d?adresse et pour fe?ter sa nomination dans l?ordre de la le?gion d?honneur». En bas du carton figure l?indication manuscrite: «Coll. Georges Lepape»,- invitation a? la fe?te donne?e par Paul Poiret chez lui le samedi 24 Juin 1911, intitule?e «La Mille & deuxie?me nuit», adresse?e a? M. et Mme Georges Lepape, colle?e sur papier ve?lin,- 2 photographies originales et deux autres photographies de?coupe?es, de la soire?e «La Mille & deuxie?me nuit», la premie?re repre?sentant une vue d?ensemble de la soire?e et la seconde montrant Monsieur et Madame Paul Poiret. Cette dernie?re comporte la signature au crayon de Guy Arnoux. Ces photos sont colle?es sur papier ve?lin,- reproduction sur papier couche? d?une illustration en couleurs de Lepape, colle?e,- 3 factures originales vierges volantes de la maison de couture Paul Poiret, chacune illustre?e d?une composition diffe?rente de Georges Lepape.
Album grand in-4 carré, plats cartonnés, titre imprimé en rouge, pendentif tressé noir.Véritable chef-d'?uvre de Georges LEPAPE (1887-1971), comprenant 12 planches montées sur onglets et coloriées au pochoir avec rehauts d'or et d'argent par Saudé, sur une note orienta- lisante totalement novatrice pour la mode fémi- nine de l'époque. Paul Poiret lance, selon son expression, des coupes et des couleurs « comme des loups dans une bergerie ».Cet album est considéré par beaucoup comme le plus beau livre sur la mode de l'époque.
Paris Chez Paul Poiret 1911 Non paginé. In-4. Cartonné. Exemplaire parfaitement conservé, malgré les habituelles décharges des planches. 1 volume. TIRAGE LIMITÉ À 1 000 EXEMPLAIRES, CELUI-CI ÉTANT L'UN DES 700 COMPRENANT LES PLANCHES SUR JAPON SANS REMARQUES.Un ouvrage iconique, celui de la silhouette parisienne libérée du corsage grâce à l'inspiration de Paul Poiret. Le chef-d'?uvre de Georges Lepape !Rare dans un si bel état de fraîcheur.
1930 Paris, Grasset, 1930, in-8, broché, couverture imprimée titrée, 312 pages et table des illustrations.
Edition originale des mémoires de Paul Poiret (Paris 1879-1944), le célèbre couturier. Tirage limité à 580 exemplaires, un des exemplaires sur papier Alpha satiné. L'auteur séquence ses mémoires en chapitres qui évoquent les maisons où il est passé et les artistes qu'il a fréquenté et influencé (Worth, Doucet, Dufy, Lepape, Iribe, Dunoyer de Segonzac, Naudin, Forain...), les personnalités qu'il a côtoyées (Abel Truchet, la Comtesse Greffulhe, Isadora Ducan, Max Jacob, Lyautey, Raoul Dufy, Derain, Yvette Guilbert, Bruant...). Infimes Infimes piqûres et taches, infime déchirure, partièlement non coupé.
Chronique filmée du mois (Revue, la) - Paul POIRET - Paul LEAUTAUD
Reference : 33473
(1934)
Ensemble de numéros de la revue filmée du Mois, qui parut à partir de 1934 jusqu'en 1937. Six numéros au format in-8 broché, de 40 à 50 pages, nombreuses illustrations, dessins, photographies, pages publicitaires. On y trouve des dessins de Chas-Laborde (n° 19, 30, 41), des textes de Lucien Descaves, Jean CassouMac Orlan, Paul Morand, SennepAndré Rousseaux, Paul Léautaud, Jean Le Timbrey. Egalement dans le N° 43, un grand teste par Paul POIRET : "Ils n'ont pas voulu de moi : Ce qu'on a pas vu à l'exposition" (1937), le texte est accompagné de ses dessins. Très bon état.
noir et blanc - Format: 32 x 24,5 cm- texte au dos
Estampe publicitaire-encart, illustrée double face, titrée, (1921)paru dans la revue Feuillets d’Art. Paul Poiret fut le premier couturier à concilier couture et parfumerie. Sa maison de parfumerie, crée en 1911, portera le prénom de sa fille "Rosine". Afin de valoriser ses parfums, en bon communiquant et en précurseur, Paul Poiret à l'idée de s'adjoindre les services d'artistes talentueux dont Mario Simon. Ce dernier compose une illustration raffinée dont les références exotiques correspondent à l'engouement de l'époque pour l'Orient. Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Paris 1912-1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris 1912-1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, rehaussée à l'or et au palladium, tirée sur papier vergé et signée en bas à droite en dehors du cadre de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails
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Paris Mars 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris Août 1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris 1920-1922 | 18 x 24 cm | relié
Réunion de carnets extraits de la Gazette du Bon Ton ainsi constituée : - Croquis de mode d'été par Mario Simon (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1920 n°3) pour Beer, Worth, Lanvin, Paul Poiret et Doeullet. Ensemble de quatre lithographies originales en couleur, tirées sur papier vergé. - Les modes en l'an de grâce Mil neuf cent vingt un (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3).Les modes en l'an de grâce Mil neuf cent vingt un (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3). - Pour la Riviera. Robes garnies de fleurs naturelles, dans la mesure où l'on en a et où l'on ne préfère pas d'employer, moins coûteuses, les fleurs artificielles (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1921 n°10).Ensemble de huit estampes originales en couleur, tirées sur papier vergé. Le croquis XIX est signé en bas à droite de la planche. - Costumes tailleur de fantaisie ornés de colifichets (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1922 n°4).Ensemble de huit estampes originales en couleur, tirées sur papier vergé. Le croquis XXXI est signé en bas à droite de la planche. Gravures originalesréalisées pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Douce
Phone number : 01 56 08 08 85
Gravure rehaussée au pochoir représentant trois femmes, l'une en robe violette, une deuxième en robe bleue et l'autre en robe jaune et blanche. Mouillures claires.
1908 28 x 27,5 cm En bon état. 1 feuille
Gravure rehaussée au pochoir représentant trois femmes, l'une en robe verte, une deuxième en robe jaune et blanche et la dernière en robe imprimée. Mouillures claires.
1908 31 x 28 cm En bon état. 1 feuille
Gravure dépliante rehaussée au pochoir représentant sept têtes de femme avec différentes coiffures. Mouillures claires.
1908 35 x 31,5 cm En bon état. 1 feuille
Gravure dépliante rehaussée au pochoir représentant deux femmes, l'une en robe orange et l'autre en robe bleue. Mouillures claires. Petites déchirures sur les marges.
1908 38 x 28 cm En bon état. 1 feuille
Gravure dépliante rehaussée au pochoir représentant trois femmes, l'une en manteau jaune orange, une deuxième en manteau vert et la dernière en manteau marron. Mouillures claires.
1908 38 x 28 cm En bon état. 1 feuille.
Le Crapouillot. Jean Galtier-Boissière. Henry de Monfreid, Paul Poiret, Paul Reboux. Maurice Van Moppès. Gus Bofa.
Reference : 79835
(1932)
Paris, Avril 1932, 250x325mm, broché, 48p. Ex. complet. Bon état. Ill. de Segonzac, Jean Oberlé, Dignimont, Serge; Steinlen.
Lucien Vogel éditeur | Paris 1925 | 18 x 24 cm | relié
Ensemble de douze estampes originales à l'or fin, tirées sur papier vergé. Les planches présentent des modèles de robes réalisés par quatre grands créateurs, Lanvin, Poiret, Vionney et Worth. Reliure à la bradel en plein papier à motif décoratif, dos lisse, tête dorée. Gravures originalesréalisées pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du «
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Editions Lutetia | Paris 1934 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Ouvrage orné d'illustrations. Une pliure verticale sur le premier plat, dos très légèrement insolé. Envoi autographe signé de Paul Poiret à une dame. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1932 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Dos légèrement insolé comportant des accrocs et des déchirures en tête et en pied, . Envoi autographe signé de Paul Poiret à (Gaston) Rageot. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1932 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale, un des 117 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Très légères piqûres sans gravité sur les gardes. Envoi autographe signé de Paul Poiret à Lucien Descaves. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Lucien Vogel éditeur | Paris Juillet 1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Jonquières Henri Cartonné 1927 "EDITION ORIGINALE avec envoi de Paul POIRET, POPÔLOREPÔ, morceaux choisis par un imbécile et illustrés par un autre. Suite de 35 aquarelles par Pierre Fau. Bien complet du livret de table des matières. Tirage limité à 300 exemplaires numérotés sur Rives (n°95), avec un bel envoi de l'auteur : ""Après un bon déjeuner / je n'ai / pas pu / repu / arriver / à trouver / une dédicace digne / des willing"". Premier et seul tirage, mythique et introuvable album. On joint le fac-similé en supplément de l'édition originale. In-8 (16,5 x 23 cm.) La couverture de notre exemplaire a été recollé sur un jaquette papier, qui recouvre l'exemplaire qui lui a été relié, demi toile, le travail est ancien et plutôt bien réalisé. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
Paris Maquet 1911 1 in-4 Pochoir sur papier Japon enluminé par Saudé, signé dans la planche en bas à droite sous la remarque (visage féminin) et extrait des Choses de Paul Poiret. Paris, Maquet, Saudé, 1911, 26.3 x 21.2 cm. (format à vue), 30.2 x 26.1 cm. (format de la feuille).
Robe jaune de la collection de Paul Poiret, dans le goût persan et orientalisant, inspiré par les Ballets Russes. Cette mode féminine de Paul Poiret était novatrice pour l'époque. Deux ans et demi après les Robes de Paul Poiret racontées par Paul Iribe, Georges Lepape (1887-1971), précurseur de la ligne claire, se démarque du style d'Iribe en adoptant des contours bleus, gris ou bruns dans un décor plus orientaliste (in Exposition Forney Georges Lepape ou l'élégance illustrée, Claude Lepape, Thierry Defert, Carteret, IV, 322 ; Monod 9205). Fines taches, infimes piqûres en marge.
Argenteuil Jonquières 1927 1 in-8 Broché. Argenteuil, Henri Jonquières, Saudé, 1927, in-12, broché, couverture rempliée et illustrée en couleur.
Popolôrepô est un recueil de calligrammes, écrit sous forme phonétique, de Paul Poiret, agrémenté dillustrations de Pierre Fau. La mise en couleurs des illustrations a été réalisée au pochoir par Saudé. Paul Poiret ( Paris 1879 - 1944 Paris), de son vrai nom Paul-Henri Poiret est un couturier français considéré comme un précurseur du style Art déco. Il est à lorigine de catalogues illustrés raffinés et lauteur de plusieurs ouvrages. Personnage à limagination débordante, il créa également des jouets, des marionnettes, des meubles, des parfums, ... Pierre Fau (1888 - 1960) est un dessinateur humoriste français qui a participé à de nombreuses revues telles Le Sourire, Le Tam-Tam, Le Petit Illustré Pour la Jeunesse et Ridendo. Il illustre de son trait tortueux chaque calligrammes représentant une énigme et un jeu. Cet ouvrage mêle la légèreté et la folie des années 20. (Monod-9207). Un des 300 exemplaires sur vélin blanc de rives. Légères usures et fentes au dos, jaunissures du papier. Joint sur deux feuilles recto verso, les réponses aux épigrammes, reliées à l'ouvrage par un ruban bleu.
POIRET (Paul). COCTEAU (Jean), DUFY (Raoul), FOUJITA, BOFA, DUPAS, MARTIN (Charles), DYL, DELUERMOZ, EDY-LEGRAND, GESMAR, BOUCHER (Lucien), SEM...
Reference : 22835
(1928)
DEVAMBEZ 1928 1 Annuaire du luxe à Paris, Hommage des grandes maisons françaises, Paul Poiret fondateur. Paris, Devambez, 1928, in-4, reliure toile éditeur ocre titrée noir et argent, (Magnier Relieur).
Cet important ouvrage, publié sous l'égide de Paul POIRET, décrit parfaitement le rayonnement de l'industrie du luxe à Paris dans les années 1925 et peut être présenté comme l'ancêtre du Comité COLBERT par le nombre de Maisons prestigieuses réunies dont nombre d'entre elles sont toujours présentes aujourd'hui. 115 planches de créations publicitaires (plus un frontispice) d'artistes tels que MARTIN, LIBIS, WURCI, SEM, BOUCHER, DUPAS, DYL, EDY- LEGRAND, BOFA, MOURGUE, FAU, BONNOTTE, GESMAR, VAN MOPPES, DELUERMOZ, OBERLE, de VALERIO... On y retrouve aussi COCTEAU, DUFY, FOUJITA. Exemplaire monté sur onglets relié par MAGNIER Frères (étiquette). Photographie de Paul Poiret présentant le livre, en frontispice, par LIPNITZKI. Paul Poiret est l'instigateur de cet ouvrage. Infimes usures, salissures et légers plis à la serpente.