Rouen, Société Normande des Amis du Livre, 1974 ; in-folio en feuilles sous emboîtage d'éditeur recouvert de toile bleue. 40ff. n.ch. - 16 lithographies originales en couleurs de Gustave SINGIER, sur doubles-pages. Parfait état.
Edition originale, tirée à 125 exemplaires sur vélin d'Arches numérotés, un des 100 nominatifs, revâtus des signatures de l'auteur et de l'artiste. Jean Lescure s'est dabord illustré aux côtés de Jean Giono lors des rencontres du Cantadour, dont il va diriger la rédaction des premiers "Cahiers". Il fonde ensuite la revue de poésie "Messages" qu'il associera à la résistence littéraire durant la Seconde Guerre Mondiale, dans cette période il participe aussi aux Editions de Minuit et d'autres publications clandestines. On le retrouve ensuite das le groupe de l'Oulipo dont il est l'un des membres fondateurs et l'inventeur de la méthode S+7. Il a consacré plusieurs articles et préfaces à l'oeuvres d'artistes peintres comme son ami Gustave Singier, et a rédigé la première histoire de l'Oulipo. Mais son oeuvre est essentiellement poétique. Singier est un des grands peintres français du XXe siècle qui a également réalisé des costumes de scènes et des décors (TNP, Opéra de Paris...), des cartons de tapisseries, des vitraux, des mosaïques, et a illustré plusieurs livres (Gracq, Lescure, Bourniquet...).
P., Plon, 1864 ; in-82ff.-480pp. - Portrait en frontispice - 1 planches et 4 fac-simile hors-texte. Demi-percaline verte, dos lisse, pièce de titre en maroquin brun. Rousseurs sur le portrait et la planche hors-texte. Si non bon exemplaire.
Première édition. C'est G. Oberlé qui consacre la meilleure notice biographique à Mathurin de Lescure dans son catalogue "Poulet-Malassis", (fiches 635 et suivantes). La vue de la prison de la Force à Paris (gravée à l'eau forte) rappelle la mort ignoble qui fut infilgée à l'amie de la reine.
LESCURE (Mathurin-François Adolphe de) - LA GRANGE-CHANCEL
Reference : 46403170
(1858)
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; in-12, demi-maroquin bleu, à coins, filets dorés aux bords, dos à nerfs et ornements dorés, tête dorée, non rogné (Ruban) 2 ff., 426 pp., 1 f. - [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir.Tirage à 1200 exemplaires, plus quelques exemplaires sur papier fort. Remarquable éditon critique “Voici certainement la plus intéressante des éditions des fameuses Philippiques...” dit G. Mouravit sur la garde de cet exemplaire.Launay 61 - Vicaire IV 937Précieux exemplaire avec un ENVOI AUTOGRAPHE de Lescure “à monsieur Honoré Bonhomme, hommage d’estime et d’amitié”. H. Bonhomme, auteur Malassis, publiera chez celui-ci les oeuvres de Piron. L’exemplaire appartint ensuite au grand bibliophile G. Mouravit qui le fit luxueusement relier. Outre la note citée plus haut, on trouve encore dans cet exemplaire un portrait de La Grange-Chancel gravé par Barrois et, in-fine, 65 pages manuscrites de Mouravit sur beau papier Hollande. Ce sont des copies d’un manuscrit inédit que le collectionneur découvrit chez le libraire Roy, avec des Philippiques (variantes) et des notes.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1860 ; in-12, broché, couverture verte imprimée. 2 ff., 137 pp., [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir. Toutes les pp. encadrées.EDITION ORIGINALE tirée à 600 exemplaires.Dissertation sur trois ouvrages qui avaient paru en 1859 : Elle et lui de G. Sand; Lui et Elle de P. de Musset; Lui de Louise Colet. “Elle et lui est un calomnie vis-à-vis d’un mort... Lui et elle est une violence vis-à-vis d’une femme. Lui est une coquetterie en un volume...” . Dans une lettre de Lescure du 30 novembre 1859 on lit : “Il m’en a coûté de rompre avec une fois les plus vives de ma première jeunesse. Mais George Sand, avec laquelle à la suite d’une déclaration d’admiration j’ai eu une longue correspondance, m’a paru odieuse dans ce livre (Elle et lui) provocateur vis-à-vis d’une tombe. Après l’avoir vue une fois à Paris, je n’ai plus voulu la revoir. Après avoir lu Elle et lui, je ne l’admire plus. C’est une religion tombée, je crois cependant avoir esquivé les difficultés et être demeuré critique sans être devenu pamphlétaire”.Le volume connut un succès que Malassis n’espèrait pas. Un mois plus tard il put sortir une seconde édition.La Revue anecdotique X, 148 salue ainsi cette publication : “Eux et elle peut passer pour un bon travail d’anatomie littéraire. C’est finement senti, impitoyablement analysé, très sage d’appréciation. Il n’y a rien de trop dans ce charmant petit volume qui vaut bien à son auteur un brevet de premier président au parlement de la critique. On ne saurait résumer plus impartialement des débats qui ont fait cet hiver les délices des curieux. L’occasion nous paraît trop belle pour ne pas placer ici un calembour tout neuf et très juste sur le même sujet:- Il paraît que tout çà, c’est des eux brouillés.Le mot passe pour être de la cuisinière du docteur Véron; elle est comme on sait littéraire à ses heures”.Launay 102 - Vicaire V, 251.Le second plat de la couverture est une publicité pour Les Philippiques de Lescure. Dos abîmé.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; in-12, broché, couverture beige imprimée. 2 ff., 426 pp., 1 f. - [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir.Tirage à 1200 exemplaires, plus quelques exemplaires sur papier fort.Launay 61 - Vicaire IV 937Exemplaire broché, qui contient à la fin le Catalogue Poulet-Malassis Septembre 1858; 4 pp.Petites rousseurs. Couverture légèrement abimée.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; in-12, demi-chagrin citron, nerfs, caissons dorés, non rogné (Reliure de l’époque) 2 ff., 426 pp., 1 f. - [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir.Tirage à 1200 exemplaires, plus quelques exemplaires sur papier fort.Launay 61 - Vicaire IV 937Exemplaire très frais, sans rousseurs, non rogné, en reliure de l’époque.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1860 ; in-12, demi-chagrin brun, nerfs, caissons à froid, tranches jaspées. (Reliure de l’époque) 2 ff., 137 pp., [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir. Toutes les pp. encadrées.EDITION ORIGINALE tirée à 600 exemplaires.Dissertation sur trois ouvrages qui avaient paru en 1859 : Elle et lui de G. Sand; Lui et Elle de P. de Musset; Lui de Louise Colet. “Elle et lui est un calomnie vis-à-vis d’un mort... Lui et elle est une violence vis-à-vis d’une femme. Lui est une coquetterie en un volume...” . Dans une lettre de Lescure du 30 novembre 1859 on lit : “Il m’en a coûté de rompre avec une fois les plus vives de ma première jeunesse. Mais George Sand, avec laquelle à la suite d’une déclaration d’admiration j’ai eu une longue correspondance, m’a paru odieuse dans ce livre (Elle et lui) provocateur vis-à-vis d’une tombe. Après l’avoir vue une fois à Paris, je n’ai plus voulu la revoir. Après avoir lu Elle et lui, je ne l’admire plus. C’est une religion tombée, je crois cependant avoir esquivé les difficultés et être demeuré critique sans être devenu pamphlétaire”.Le volume connut un succès que Malassis n’espèrait pas. Un mois plus tard il put sortir une seconde édition.La Revue anecdotique X, 148 salue ainsi cette publication : “Eux et elle peut passer pour un bon travail d’anatomie littéraire. C’est finement senti, impitoyablement analysé, très sage d’appréciation. Il n’y a rien de trop dans ce charmant petit volume qui vaut bien à son auteur un brevet de premier président au parlement de la critique. On ne saurait résumer plus impartialement des débats qui ont fait cet hiver les délices des curieux. L’occasion nous paraît trop belle pour ne pas placer ici un calembour tout neuf et très juste sur le même sujet:- Il paraît que tout çà, c’est des eux brouillés.Le mot passe pour être de la cuisinière du docteur Véron; elle est comme on sait littéraire à ses heures”.Launay 102 - Vicaire V, 251.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1860 ; in-12, pleine percaline brune, décor à froid (Reliure de l’époque) 2 ff., 137 pp., [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir. Toutes les pp. encadrées.EDITION ORIGINALE tirée à 600 exemplaires.Dissertation sur trois ouvrages qui avaient paru en 1859 : Elle et lui de G. Sand; Lui et Elle de P. de Musset; Lui de Louise Colet. “Elle et lui est un calomnie vis-à-vis d’un mort... Lui et elle est une violence vis-à-vis d’une femme. Lui est une coquetterie en un volume...” . Dans une lettre de Lescure du 30 novembre 1859 on lit : “Il m’en a coûté de rompre avec une fois les plus vives de ma première jeunesse. Mais George Sand, avec laquelle à la suite d’une déclaration d’admiration j’ai eu une longue correspondance, m’a paru odieuse dans ce livre (Elle et lui) provocateur vis-à-vis d’une tombe. Après l’avoir vue une fois à Paris, je n’ai plus voulu la revoir. Après avoir lu Elle et lui, je ne l’admire plus. C’est une religion tombée, je crois cependant avoir esquivé les difficultés et être demeuré critique sans être devenu pamphlétaire”.Le volume connut un succès que Malassis n’espèrait pas. Un mois plus tard il put sortir une seconde édition.La Revue anecdotique X, 148 salue ainsi cette publication : “Eux et elle peut passer pour un bon travail d’anatomie littéraire. C’est finement senti, impitoyablement analysé, très sage d’appréciation. Il n’y a rien de trop dans ce charmant petit volume qui vaut bien à son auteur un brevet de premier président au parlement de la critique. On ne saurait résumer plus impartialement des débats qui ont fait cet hiver les délices des curieux. L’occasion nous paraît trop belle pour ne pas placer ici un calembour tout neuf et très juste sur le même sujet:- Il paraît que tout çà, c’est des eux brouillés.Le mot passe pour être de la cuisinière du docteur Véron; elle est comme on sait littéraire à ses heures”.Launay 102 - Vicaire V, 251.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Firmin-Didot, Paris, Firmin-Didot1863 ; in-8, demi-chagrin rouge, nerfs, fleurons dorés, tranches jaspées. (Reliure de l’époque) 2 ff., 102 pp.EDITION ORIGINALE - Pas dans Vicaire.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Ducrocq, Paris, Ducrocq1866 ; grand in-8, demi-chagrin brun, plats de percaline avec chiffre doré couronné, tranche doré (Reliure de l’époque) VIII pp., 648 pp. - 10 planches hors-texteVicaire V, 254. Bien relié, quelques rousseurs.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
[BELLMER Hans], - [UBAC (Raoul)].] - COLLECTIF. ARAGON (Louis). - BACHELARD (Gaston). - BATAILLE (Georges). - CHAR (René). - ÉLUARD (Paul). - LEIRIS (Michel). - LESCURE (Jean). - MICHAUX (Henri). - PONGE (Francis). - SARTRE (Jean-Paul). - QUENEAU (Raymond). - etc.
Reference : 30686
(1939)
Paris, Jean Flory, 1939-1946. Ensemble de 13 vol in-16, in-8 ou in-4° (19 x 27 cm) Reliure uniforme en demi-maroquin rouge à coins de très belle qualité. 1939: 2 vol.: Tome 1 première année : William Blake, Sommaire : Présentation de Jean Lescure - Panorama de Jean Vagne - Blake et la Révolution par Jean Audard - Blake et la pensée moderne par Denis Saurat. Poèmes Jean Wahl - L'Imagination chez Blake par Geoffrey Stutfield. - Le Poète graphique par Herbert Read. Edition bilingue. Deux hors-texte : Tome 1 première année. Deuxième cahier : Métaphysique et Poésie. Sommaire : Poésie et Métaphysique de Jean Wahl. - Propositions non métaphysiques sur la poésie par Pierre Petitbon. - De l'inquiétude par Jules Prussen. - Etre et Poésie de Raymond Balmes. - Instant poétique et instant métaphysique par Gaston Bachelard - Jeux vagues [La Poupée]. Et en encart imprimé sur papier couché vert d'eau. Quatorze poèmes de Paul ELUARD. Deux photos de HANS BELLMER. (8 pages). ÉDITION PRÉ-ORIGINALE DES POÈMES D'-ÉLUARD avec deux photos par Bellmer, première version des célèbres Jeux de la poupée, annoncés " à paraître aux Éditions d'art " alors qu'ils ne seront édités qu'en 1949. Et Textes de O. V. Milosz, Jean Audard, Houang-Kia-Tcheng, T. S. Eliot, Albert-Marie Schmidt, Georges Blin, Daniel Simond, Herbert Read.1942: 4 vol.: I: Elements (ex. n°66/513), II: Dramatique de l'espoir (ex. n°366/513), III: Exercice du silence (ex. n°773/1200), IV: Exercice de la pureté (ex. n°12/258), avec signatures autographes de Raoul Ubac et Jean Lescure. 1943: 1 vol.: Domaine français (ex. non numéroté).1944: 4 vol.: I: Volonté d'impuissance (ex. n°303/520), II: Sources de la poésie (ex. n°440/1526), III: G. BATAILLE :L'Archangélique (ex. n°15/113), IV: Risques, travaux et modes (ex. n°1369/1513), 1946: 2 vol.: I: R.QUENEAU : Chêne et chien Très rare édition composée par Lescure à partir des invendus de l'édition Denoël de 37. La couverture a été entièrement recomposée ainsi que la page de titre et celle de dédicace. Un papillon collé sur l'ancienne justification annonce : " Cent exemplaires de Chêne et Chien numérotés de 1 à 100 ont été réservés aux Amis de Messages, le 31 janvier 1946 ". Notre exemplaire est le n° 13. (ex. n°13/100), 1946. Iet II: Les Mots et les Signes (ex. n°1080/2013). Poèmes de René Char " L'Extravagant ".Queneau Chêne et Chien et Georges Bataille L'Archangélique sont des tirés à part de la revue " Messages "..
Très bel état. Exceptionnel ensemble complet des années 1939-1946 de cette revue de la " Résistance lyrique " dirigée par Jean Lescure, en édition originale, dont le nom a été modifié au cours des années pour déjouer la censure (" Exercice du silence " en déc. 1942, " Domaine français " en 1943,...), publiée une année (1943) à Genève pour exister, et qui n'éditait et publiait que des poètes refusant les idées nazies et de l'Occupation. La revue est avant tout poétique, valorisant une rhétorique qui " échappe " ou " transcende " les événements historiques, et qui par conséquent soit synonyme de " liberté ". Y sont présents les plus grands auteurs du XXe siècle.En 1938 3 numéros sont parus à l'enseigne : Les Presses du Hibou chez Jean Flory. Photos sur demande.
1946 Neuchâtel et Paris, Ides et Calendes, coll. Idées poétiques, 1946. Petit in-4, 49 pp., broché, couverture imprimée. Edition originale. Exemplaire numéroté sur vélin ivoire. Impression soignée. Très bon état.
Paris, Librairie Ducrocq, 1889, in-4, cartonnage éditeur illustré. Plat historié. Toutes tranches dorées, 553 pages. 120 gravures sur bois par F. Méaulle. Bel état du plat historié. Dos légèrement insolé. Second plat très frais.
Paris, Librairie Ducrocq, 1889, in-4, demi-reliure chagrin, dos orné de filets d'encadrement et titre à l'or, plats en percaline rouge, toutes tranches dorées, 557p. Ouvrage orné de 120 gravures sur bois par F. Méaulle. Bon état. Texte de toute fraîcheur.
Paris, NRF. Bibliothèque de la Pléiade., 1986, in-12, relié, 364 pages. Bon état.
Paris, Librairie Ducrocq, in-4, demi-reliure chagrin, dos orné de deux triples filets d'encadrement, monogramme sur le plat, toutes tranches dorées, 648 pages. Percaline défraîchie. 10 gravures sur acier par Stahl. Quelques rousseurs. Garde et contre-garde défraichies. Bon exemplaire d'étude. Solide.
Paris, Flammarion, 1956, in-4, relié-jaquette éditeur, 160 pages. Bel exemplaire. Reproductions couleurs et N/B tirées en héliogravure. Jaquette en lithographie de Lapicque.
BONCHAMPS (Marie-Marguerite-Renée de Scépeaux, Marquise de) et LA ROCHEJAQUELEIN (Marie-Louise-Victorine de Donnissan, Marquise de Lescure, puis de).
Reference : 24580
(1823)
Paris Baudouin Frères 1823 -in-8 plein-veau deux Mémoires reliés en un volume, reliure plein-veau marbré havane in-octavo (binding full calfskin in-8) (21,2 x 13,8 cm), RELIURE D'EPOQUE, dos à nerfs (spine with raised band), décoration "or" (gilt decoration), Titre Général et Auteurs frappés "or" (gilt title), pièces de Titre et d'Auteur sur fond rouge avec 1 filet "or" en encadrement, roulette "or" en place des nerfs avec un filet "or" de part et d'autre des nerfs, entre-nerfs à fleuron "or" dans un encadrement d'un filet "or", roulette "or" avec un filet "or" de part et d'autre en tête et en pied, coiffes et mors avec restaurations anciennes mais proprement faites, dos frotté avec léger manque de dorure, plats décorés "or" un filet et d'une roulette "or" en encadrement avec léger manque de dorure et de légères épidermures (light scratches on the covers), roulette "or" sur les coupes (léger manque de dorure), roulette "or" sur les chasses, toutes tranches lisses peignées bleue (all smooth blue painting edges), sans illustrations (no illustration), VIII + 112 + 512 pages, 1823 Paris Baudouin Frères Editeurs,
Collection des Mémoires relatifs à la Révolution française ........... "Bonchamps fut un des héros de la Vendée militaire. Sa femme l'a suivi dans ses campagnes et a confié ses souvenirs à Mme de Genlis qui les a mis en forme." (Fierro, 175) -- "Epouse d'un des grands chefs de la Vendée, la marquise de La Rochejaquelein a laissé des mémoires traitant essentiellement de la grande insurrection royaliste dans l'Ouest entre 1792 et 1795. Ces mémoires ont soulevé de nombreuses discussions, les deux premières éditions ayant porté la mention "rédigés par M. de Barante". Il semble que Barante, alors sous-préfet à Bressuire, n'ait rédigé qu'une faible partie du texte." (Fierro, 830) ....... RARE .......... en bon état malgré les petits défauts signalés (very good condition in spite of the smalls defects indicated). bon état
Charles LAPICQUE. Texte de François Lapicque et Jean Lescure
Reference : 79363
(1989)
Paris, Galerie Messine / Thomas le Guillou, mai 1989, 105x150mm, broché sous couverture rempliée, 38p. 46 reproductions en noir. Petite marque sur la couverture. Galerie Messine du 25 mai au 13 juillet 1989.
Michel Moy. Préface de P.-R. Chaineau. Textes de Bernard Noël, Jean Lescure
Reference : 78854
(1977)
Nantes, Proposte - Arte Internationale di A. Pratolongo, 1977, in-8 carré, broché, np, 36 pages. Bon état. Catalogue enrichi d'un beau tirage de presse argentique sur papier mat "Pierre -Nuage" n°22 du cat., de 3 reproductions d'oeuvres sur papier brillant et de deux lettres manuscrites de M .Moy.
Paris DUCROCQ 1875 -in-8 demi-chagrin un volume, reliure demi-chagrin vert foncé grand in-octavo Editeur (binding half shagreen in-octavo editor (27 x 18 cm), dos 4 nerfs (spine with 5 raised bands), décoration "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre et auteur frappés "or", entre-nerfs à caissons formés de 3 au fer évidé (filets fin "or" au centre en encadrement , encadrés d'un filet large à froid, lui même encadré de 2 filets fins "or" et d'un filet large "or" en encadrement (plaques spéciales Editeur), doubles filets "or" en tête et en pied, filet à froid de part et d'autre des nerfs, percale vert foncé décorée à froid sur les plats (blind-stamping percale on the cover) avec un blason doré au centre du premier plat, toutes tranches lisses (all smooth edges) dorées, pages de garde moirées blanches, orné de douze gravures sur acier hors-texte en noir sous serpentes par Léopold FLAMENG, fines et trés légères rousseurs, XIX + 600 pages, sans date (no date) (1875) à Paris PAUL DUCROCQ Editeur,
Bel Exemplaire.... Vicaire V, 255....Superbement relié.......RARE........en bon état (good condition). bon état
1864 d. rel. in-4 soleil, d. lis. et titre frappé or - mq. coiff. de tête, pl. défr., tr. jasp., front.-portr., qq. piq., 353 p., 1864 dupray de la mahérie libraire-éd.,
- bon état -
1900 rel. pl. chagr. gd. in-8, d. déc. à froid - titre frappé or -, tr. jasp., front.-portr., superbes gr. / acier par staal, 668 p., fin 19ème ducrocq libraire-éd.,
- rare - bon état -
1880 reliure demi chagrin rouge in-quarto carré, dos 4 nerfs - titre frappé or, 42 pages, 1880 à Paris Typographie de Firmin - Didot et Compagnie,
Discours qui a obtenu le "Prix d'Eloquence" décerné par l'Académie française dans sa séance publique annuelle du 5 Août 1880 - bon état
[Limoges] Rougerie 1949 In-4°, (285 x 230 mm), [19] ff., broché, couverture illustrée.
POÈME EN FAC-SIMILÉ AUTOGRAPHE ILLUSTRÉ PAR RAOUL UBAC.Édition originale de ce poème illustré de par Raoul Ubac de 3 hors-texte (dont un en double-page) et d'une composition en couleurs sur les deux plats de couverture. Le texte est reproduit en fac-similé autographe. Exemplaire non-numéroté avec les hors-texte en noir. Tirage limité à 200 exemplaires, dont 10 avec des à-plats passés à la main par l'artiste. Cet ouvrage est issu de la collection « Poésie et critique » (dirigée par Georges-Emmanuel Clancier) reproduisant en fac-similé l'écriture des poètes. « Les Falaises de Taormina » reparaîtra dans le recueil Treize poèmes (1960). Agent de diffusion de la presse clandestine sous l'Occupation, Jean Lescure dirigea notamment la revue Messages au positionnement anti-NRF. Proche de Giono, Bachelard, Char, Éluard ou Malraux, Lescure participa aux réunions de l'Oulipo (dont il fut le premier historien), au Collège de Pataphysique, et se lia avec les peintres de la nouvelle École de Paris, dont Raoul Ubac. Il avait rencontré ce-dernier en 1938 alors que, proche du groupe surréaliste, Ubac pratiquait encore la photographie. Il abandonna cet art dans l'après-guerre pour se consacrer à la peinture et à la gravure. Lescure contribua à orienter ses recherches dans ce domaine, l'introduisant notamment à l'oeuvre de Jean Bazaine. Quelques feuillets roussis. Légères rousseurs à la couverture.