1968, Gallimard, in 8 broché, couverture rempliée. | Etat : Bon état général. (Ref.: Ref98702)
Gallimard
1932, nrf Gallimard, in-12 broché de 218 pages. Au sommaire : portraire la bourgeoisie !, famille des Rugissants combatifs, famille des Rugissants succulents, familles humiliées bavardes, ardentes, cruelles, familles sérieuses, laborieuses, ramasseuses, honorables, famille gracieuses, conclusion et morale de l'ouvrage. | Etat : Bon état général, couverture un peu défraichie (Ref.: J3735)
nrf Gallimard
Paris Librairie d'éducation nationale, Collection Picard, " Bibliothèque d'éducation récréative ", 11e série 1909 In-4 Cartonnage polychrome Edition originale
Nouveau tirage du premier livre de Max Jacob, illustré de 6 hors-texte de Louis Saint. L'artiste semble avoir également composé la page de titre. Cartonnage manipulé et nom d'enfant en titre et en garde, décorée d'une décalcomanie. €€€€€€ Max Jacob rentra dans le monde des lettres en 1898, en devenant critique d'art au Moniteur sous le pseudonyme de Léon David. Trois ans plus tard, il rencontre Picasso avec qui il partagera une chambre Boulevard Voltaire, avant de fréquenter André Salmon et Guillaume Apollinaire. Vivant alors d'expédients - il sera successivement clerc d'avoué, magasinier à l'Entrepôt Voltaire, précepteur - il écrit fin 1903 deux contes, L'HISTOIRE DU ROI KABOUL 1ER et LE GEANT DU SOLEIL. " ... Je réfléchis que j'aimais conter des histoires aux enfants. J'écrivis donc dans ma petite chambre boulevard Barbès 33 (au coin de la rue Poulet), sans feu, sans tabac, sans pétrole et nourri par le crédit d'une boulangère charitable, le roi Kaboul et le marmiton Gauwain... ". Le second texte ne fut pas édité, mais le premier parut en mars 1904 comme livre de prix pour les écoles : c'est sur les conseils de son ami Gaston Courtillier qui travaillait chez Picard et Kahn que Max Jacob proposa son manuscrit. Les éditeurs qui cherchaient un conte pour enfant l'acceptèrent, moyennant quelques minimes retouches dont le changement des mots paroisses, églises ou calvaires qui devinrent pour l'école laïque Hôtel de ville, mairie ou commune. Ce premier livre lui rapportera une petite fortune : " J'ai touché 30 francs pour le Roi Kaboul. J'en ai profité pour aller dans un restaurant. Tous les plats étaient à 0 fr. 25. J'en ai eu pour 2 fr. 50. Tu imagines tout ce que j'ai mangé pour arriver à cette somme ! " confiera-t-il des années plus tard à Marcel Béalu. Le livre ayant eut du succès auprès des écoliers studieux, deux autres éditions verront le jour en mars 1906 avec à nouveau quelques variantes sur le cartonnage, et ce nouveau tirage en septembre 1909 avec une nouvelle reliure. Bon exemplaire 0
" Cahiers Max Jacob ", n° 1. 1951. 59 pages. Réédition du très rare premier livre de Max Jacob (E.O. en 1904 chez Picard & Kahn, éditeur de livres de prix pour les écoles). Autoportrait de Max Jacob en frontispice. 1/1.000 sur vélin bouffant alfa.
Quelques piqûres peu virulentes sur la couverture ; bon exemplaire.
Paris Librairie d'éducation nationale, Collection Picard, " Bibliothèque d'éducation récréative ", 11e série 1904 In-4 Cartonnage polychrome Edition originale
EDITION ORIGINALE du premier livre de Max Jacob, illustré de 6 hors-texte de Louis Saint. L'artiste semble avoir également composé la page de titre. €€€€€€ Max Jacob rentra dans le monde des lettres en 1898, en devenant critique d'art au Moniteur sous le pseudonyme de Léon David. Trois ans plus tard, il rencontre Picasso avec qui il partagera une chambre Boulevard Voltaire, avant de fréquenter André Salmon et Guillaume Apollinaire. Vivant alors d'expédients - il sera successivement clerc d'avoué, magasinier à l'Entrepôt Voltaire, précepteur - il écrit fin 1903 deux contes, L'HISTOIRE DU ROI KABOUL 1ER et LE GEANT DU SOLEIL. " ... Je réfléchis que j'aimais conter des histoires aux enfants. J'écrivis donc dans ma petite chambre boulevard Barbès 33 (au coin de la rue Poulet), sans feu, sans tabac, sans pétrole et nourri par le crédit d'une boulangère charitable, le roi Kaboul et le marmiton Gauwain... ". Le second texte ne fut pas édité, mais le premier parut en mars 1904 comme livre de prix pour les écoles : c'est sur les conseils de son ami Gaston Courtillier qui travaillait chez Picard et Kahn que Max Jacob proposa son manuscrit. Les éditeurs qui cherchaient un conte pour enfant l'acceptèrent, moyennant quelques minimes retouches dont le changement des mots paroisses, églises ou calvaires qui devinrent pour l'école laïque Hôtel de ville, mairie ou commune. Ce premier livre lui rapportera une petite fortune : " J'ai touché 30 francs pour le Roi Kaboul. J'en ai profité pour aller dans un restaurant. Tous les plats étaient à 0 fr. 25. J'en ai eu pour 2 fr. 50. Tu imagines tout ce que j'ai mangé pour arriver à cette somme ! " confiera-t-il des années plus tard à Marcel Béalu. Le livre ayant eut du succès auprès des écoliers studieux, deux autres éditions verront le jour en mars 1906 avec à nouveau quelques variantes sur le cartonnage, et en septembre 1909 avec une nouvelle reliure à motif de gui et de houx. Bon exemplaire 0
Paris, éd. du Layeur, 2001, in-8 étroit, cartonnage souple à rabats, couv. ill. coul. sur fond jaune éd., 96 pp., papier glacé, texte d'introduction de Pierre Jakez Hélias, très nb. aquarelles coul. de Max Jacob, sommaire, "La Côte, recueil de chants celtiques, est une énigme. Lorsqu'il paraît en 1911, la bataille cubiste fait rage et on aurait pu penser que Max Jacob, engagé avec ses amis du bateau-lavoir, avait quelque peu oublié les bords de l'Odet de Quimper au profit de ceux de la Seine. Le recueil présente des poèmes et des contes que Max Jacob prétend avoir collectés auprès d'ouvriers brodeurs de son père, dans leur langue, le breton dont il reproduit les textes dans la première édition. Cannular, pastiche, l'affaire est loin d'être évidente si l'on tient compte de l'importance qu'accordait Max Jacob à ces textes dans sa correspondance avec Jean Grenier. " J'ai écrit La Côte au plus fort de la crise cubiste, alors qu'on attendait de moi que j'écrivisse Le Cornet à dés... La Côte est l'expression la plus pure de ma vérité intérieure... " Parodie, certainement, charge contre une prétendue érudition dans la présentation de la littérature populaire, sans aucun doute ; mais dans le même temps La Côte montre la grande connaissance qu'avait l'auteur de la littérature poétique bretonne, acquise par la fréquentation assidue des œuvres de Luzel et de la Villemarqué à la Bibliothèque de Quimper. Aujourd'hui il ne fait plus de doute que ces textes, loin d'un canular de jeunesse, sont de la meilleure veine Jacobienne, jouant de toutes les sources d'inspiration et de référence, révélant l'infinie complexité de l'auteur, le "Masque Jacob" selon l'expression de Charles le Roux. Ils révèlent aussi combien l'inspiration et l'imaginaire du poète devaient aux grands textes de la poésie orale bretonne et à sa Cornouaille natale". Très bon état, comme neuf
Paris La Table Ronde 1946 in 8 (28,5x23) 1 volume broché en faux-feuillets sous couverture rempliée, 168 pages [2], avec13 illustrations de l'auteur, dont 5 planches hors-texte en couleurs et un portrait en frontispice, chemise et étui (étui défraichi), trace d'adhésif sur la marge des pages 61-62. Max Jacob, Quimper 1876 - Drancy 1944, poète français. Edition originale. Tirage limité à 320 exemplaires numérotés, celui-ci un des 300 exemplaires numérotés sur vélin crèvecoeur des papeteries du Marais. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché
En réponse à Auguste Dupouy, Jacob explique : ...Ta carte a déjà vécu dans des valises, des malles, en chemin de fer, en auto, et dans ce portefeuille où je mets les nouvelles des amis auxquelles on tient. Tous les jours jai dû técrire, tous les jours ont été emplis de départs darrivées, dinstallations provisoires. Il me semble quil y a mille ans que je ne me suis assis devant une table à écrire ou à peindre. Je profite dun stade de huit jours près dun ami docteur - qui te lit (entre parenthèses) pour te donner mon adresse provisoire. Je ne puis ten donner une autre car je ne sais plus où jhabite (sic). St Benoît est loin dans mon cœur (je ne dis pas de mon cœur) Paris est grand : on moffre plusieurs asiles et jy connais plusieurs hotels. Je demanderai moi-même Horace à Grasset qui me montre de lamitié. Lamitié dun éditeur pourrait être un bienfait des Dieux mais il ny a quun seul Dieu, et ce Dieu ne soccupe pas des éditeurs lesquels sont ou des francs-macons (sic) ou des Tartufes (sic)...En 1921, Max Jacob, sur les conseils dun ami prêtre, sinstalle à Saint-Benoît-sur-Loire où il est hébergé dans un presbytère proche de labbaye.Le docteur Benoiste-Pilloire, ami de Max Jacob, dirigeait le sanatorium de Kerpape.On joint le catalogue de lexposition Hommage à Max Jacob, Quimper. Musée des Beaux-Arts. 17 juin-15 août 1961. 16 pp. petit in-4. La couverture est illustrée par la reproduction d'un dessin de J. Cocteau.
S.l. s.é. [Firmin Didot et Cie] 1949 1 vol. broché plaquette in-4, brochée, sous couverture imprimée, 16 pp., reproduction photographique en frontispice, 3 reproductions in texte de lettres et dessins, bibliographie. Tiré à part hors commerce limité à 50 exemplaires numérotés présentant un texte introductif de Georges Auric ("Max Jacob retrouvé") suivi de deux nouvelles inédites de Max Jacob : "Mendiantes professionnelles" et "Jalousie". En bonne condition.
Bray-en-Val : Association des Amis de Max Jacob. Direction : Antonio Rodriguez et patricia Sustrac. Actes du colloque du 26 et 27 novembre 2010 à Orléans. Un volume broché (17x24 cm), 325 pages. Bon état.
Paris, La Sirène, 1919 In-12 carré de 1 f. bl., (2)ff., Xpp., (2)ff., 72pp., (1)f., 1 f.bl., broché, entièrement non rogné.
"La préface par Max Jacob est comme le livre en édition originale. Exemplaire sur beau papier bouffant, comme il se doit marqué du monogramme C.M.; n°149. Converti au catholicisme en 1915 par une série de visions, Max Jacob essaie dans sa préface d'opérer un difficile syncrétisme entre la croyance au libre arbitre, constitutive de sa foi, la part de déterminisme que suppose l'astrologie et, si nous avons bien suivi, le progrès des études sur les rayonnements que poursuit alors Marie Curie dans le cadre de l'Institut du Radium. Quand à l'astrologue charismatique Conrad Moricand -également connu comme dessinateur, illustrateur de Salmon et de Cendrars-, il continuera pour le meilleur et pour le pire d'inspirer les écrivains, ainsi qu'en témoigne son portrait au vitriol dans Un diable au paradis (1956) de Henry Miller qui l'avait hébergé à Big Sûr. Miller sera sommé de remplacer le nom de Moricand, de fait le personnage principal du récit avec le narrateur et son épouse, par le transparent pseudonyme de Téricand. Il a récemment été avancé que Max Jacob aurait en réalité tenu la plume sur la totalité de l'ouvrage, ce qui aurait aidé Conrad Moricand à se faire la place qu'il allait continuer d'occuper au catalogue d'éditeurs plus habitués à publier de la littérature moderne. Exemplaire à l'état de neuf."
Les Amis de Max Jacob Paris, 1951 - 61, in-4to, brochures originales. Non rogné. Bel ensemble.
image disp.
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" Cahiers Max Jacob ", n° 2. 1952. 48 pages. Autoportrait et deux dessins de Max Jacob hors texte.
Bon état.
Les Cahiers Max Jacob Les Cahiers Max Jacob Broché 1956 Broché grand in-8 (19,5 x 28 cm), couverture rempliée, 61 pages, édition originale en volume, portrait photographique de Max Jacob en frontispice, quatrième des 'Cahiers Max jacob', ouvrage présenté par François Mauriac ; couverture un peu insolé, très bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris Les Amis de Max Jacob 1952 Grand In-8 Broché Ed. originale
Présentation de Jean Cocteau. Les Cahiers Max Jacob 2. Exemplaire numéroté. Portrait de l'auteur par lui-même. en frontispice. (quelques rousseurs) Très bon 0
P. Seghers, 1946. In-12 carré br. Coll. " Poètes d'aujourd'hui ". Etude d'André Billy. Fac-similé d'une lettre de Max Jacob en frontispice. Choix de poèmes, dont plusieurs inédits, lettre inédite de M. Jacob à G. Apollinaire, dessins, photos, bibliographie, etc. E.O. ex. num. sur vélin blanc, seul grand papier.
S.l.n.d. [Saint-Benoît-sur-Loire, vers 1936-1937]. Manuscrit autographe à l'encre noire de 70 feuillets in-4, numérotés 23-92 [avec un f. 74 bis, f. 70 manquant], montés sur onglets. Maroquin bordeaux, dos lisse, double encadrement de filets à froid sur les plats, encadrement intérieur de même maroquin orné de filets à froid, tranches dorées (Semet et Plumelle). Important manuscrit autographe de travail, avec corrections, ratures, ainsi que variantes et passages inédits, et ayant appartenu à Louis Broder, premier éditeur du texte. Monté en tête : portrait photographique de Max Jacob, le montrant dans sa chambre de la rue Gabrielle en 1917, selon la légende manuscrite au dos (tirage argentique, 239 x 180 mm). Il a servi à l’établissement du texte pour la version publiée en 1956.
Ce témoignage capital et de première main sur le cubisme devait initialement introduire les mémoires du marchand d’art Paul Guillaume, disparu en 1934. Max Jacob y travailla plusieurs années, mais n’en publia qu’un fragment en janvier 1937 dans la revue Les Feux de Paris sous le titre « Le Tiers transporté ». Pour le quatre-vingtième anniversaire de la naissance de l’auteur en 1956, Louis Broder en publia la version intégrale, avec des illustrations de Picasso, l’ami historique de Max Jacob. Les pages 36-38 offrent plusieurs passages raturés, restés inédits. Par ailleurs, le manuscrit diffère légèrement de l’édition dans l’emplacement des titres et sous-titres. C’est à partir de ce jeu que Broder publia ces Chronique des temps héroïques, en y ajoutant la partie publiée dans Les Feux de Paris, en 1937, dont le manuscrit lui manquait à l’époque (p. 1-33, feuillets 1-22). Propriété du libraire Bernard Loliée, il fut vendu lors de la vente de la bibliothèque (22 mai 2019, n° 27.) À l’issue de la publication du volume, Broder fit relier l’ensemble de ses manuscrits à l’identique de l’exemplaire unique sur papier japon qu’il s’était dessiné : un décor de filets à froid, composé par Plumelle sur une reliure de maroquin bordeaux établie par Semet. Dans l’idée d’y adjoindre un jour les 22 feuillets du début du texte, Broder demanda à son relieur de réserver la place nécessaire en tête de volume, ou figurent autant de feuillets vierges, prêts à les recevoir. Le manuscrit Broder commence donc à la page 33 du texte publié et offre toute la suite des Temps héroïques – à l’exception du chapitre VI, qui est ici remplacé par trois pages inédites intitulées « Voyage en Suisse » (p. 71-73), acquises chez un libraire parisien en 1966 : « Ils sont inédits et doivent prendre place avant la page 99 de la Chronique des temps héroïques, en début de chapitre » et du folio 70 « page de titre de la seconde partie ? ». Le catalogue de la vente Loliée mentionne deux chapitres des Temps héroïques conservés dans des collections publiques : « Mouvement moderne » à la bibliothèque d’Orléans, et « Art nègre » au fonds Gompel-Netter de la BnF. Après consultation, ils ne constituent pas à proprement parler des parties originales du manuscrit, mais des notes et des articles préparatoires.
Paris, s.n. (imprimerie Paul Biraut), 1911. In-12, 139 pp., demi-maroquin paille, filet à froid sur les plats, dos lisse, pièce de titre noire, tête mouchetée, couverture conservée (dos terni, défauts au papier de la reliure, 2 petits manques, couverture empoussiérée, petits manques et déchirures dans les marges du papier).
Édition originale tirée sur vergé, sans numérotation. Elle est ornée de la reproduction d'un dessin de Max Jacob. Elle est composée de poèmes en breton avec leur traduction française en regard en première partie, des petits contes et des poèmes en prose soi-disant bretons dans la seconde. Max Jacob rend ici hommage, non sans un certain humour, à sa Bretagne natale dont il prétend avoir recueilli la tradition orale. Cet exemplaire est enrichi d'un envoi autographe signé de l'auteur à Henry Lapauze, critique et directeur de la revue La Renaissance des arts français et des industries de luxe. Il fut collectionneur des oeuvres de Max Jacob. Exemplaire partiellement coupé. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Cinquième livre de Max Jacob édité chez Daniel-Henry Kahnweiler, après Saint Matorel (1911), Frère Matorel (1912), Le Siège de Jérusalem (1914), Ne coupez-pas mademoiselle (1921). Très bon état. Paris, Éditions de la Galerie Simon, (27 décembre) 1923. 1 vol. (195 x 250 mm) de 14 f. (y compris les illustrations). Broché. Édition originale. Illustré de 3 lithographies en couleurs de Suzanne Roger. Tirage à 112 exemplaires, un des 100 exemplaires sur vergé d'Arches, signé par l'auteur et l'illustratrice (n° 43).
Suzanne Roger est l’épouse du peintre André Beaudin, ami de Juan Gris, et c’est sa première – et seule – apparition chez Daniel-Henry Kahnweiler. Lorsque ce dernier lui confie l’illustration du texte de Max Jacob, elle n’a que vingt-quatre ans : « elle n’a jamais illustré de livre et n’a pas beaucoup d’expérience de la gravure. Elle choisit la lithographie dont elle apprécie la spontanéité d’expression et transpose dans son propre univers poétique, l’atmosphère fantastique du texte du poète » (Alexandre Illi & Eliott Cardet, DHK, éditeur, n° 22). C’est le cinquième Max Jacob publié chez Kahnweiler, après Saint Matorel (1911), Frère Matorel (1912), Le Siège de Jérusalem (1914), Ne coupez pas mademoiselle (1921).
Paris, les éditions G. Crès et Cie, 1927. In-8, 110 pp. 15 pl., en feuilles, couverture originale rehaussée de gouache en couleurs (petits frottements, quelques petites taches éparses).
Première édition illustrée et comportant des remaniements par rapport à l'édition originale de 1911. Premier exemplaire sur Japon impérial (sur 10), imprimé spécialement pour Max Jacob, tirage de tête. Il est illustré de 15 planches, 1 vignette à la couverture, 1 au titre, toutes rehaussées en couleurs à la gouache. Cet exemplaire a été enrichi de plusieurs documents : un manuscrit autographe de méditation religieuse orné de 4 têtes humaines dessinées à l'encre (2 pp. in-8), et 5 dessins à la plume dont un signé par Max Jacob représentant des scènes bibliques ou des personnages. Exemplaire unique. Carteret, V, 109 : "Intéressante publication"; Linarès, "La Côte. Un livre pâle ?" in Les Cahiers Max Jacob, 20210, 20-21, p. 157-180. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Editions de La Sirène, 1919. In-12 br. Couverture et page de titre ornés de la Sirène dessinée par Raoul Dufy. Préface de Max Jacob. Un des exemplaires réservés à l'auteur. E.O. ex. sur beau papier bouffant avec une sorte de monogramme de Moricand. Très bel envoi autographe de Conrad Moricand au préfacier du livre, Max Jacob.
Texte complet en deux livraisons de la " Nouvelle Revue Française ", n° 250 & 251, août et juillet 1936. Les deux numéros font partie du rare tirage de luxe sur vélin pur fil.
Très bon état. Le n° 250 contient aussi les poèmes d' " Actualités éternelles ", de Max Jacob.
Paris Les Cahiers Max Jacob n° 13-14 2013 1 vol. broché in-8, broché, 325 pp. Numéro spécial sous la direction de Antonio Rodriguez et Patricia Sustrac. Textes de Anne Kimball, Géraldi Leroy, Bernard Baillaud, Jean de Palacio, etc. Très bon état.
Paris, Editions Baudinière, 1944. In-8, broché, grandes marges conservées, 187 pp.
Édition originale. Un des 200 exemplaires numérotés sur papier d'Alfa. En parfait état. Photos sur demande.
Paris, La Table Ronde, 1945. In-4 ; 147 pp-[3] ff n., paginés. (table, justification du tirage), en feuilles, sous chemise en couleurs imprimée et rempliée, chemise et étui de la même couleur (orange) de l'éditeur.
Édition originale tirée à 325 exemplaires, tous numérotés sur vélin. Impression en deux tons par Kapp à Vanves. Les dessins de Max Jacob ont été reproduits en phototypie par les Ateliers d'Art Jean Brunissen. Les planches hors-texte et le frontispice ont été rehaussés de pochoir (en couleurs) par l'Atelier le Coloris. Très bel exemplaire N° 88. Photos sur demande.