Paris, Calmann-Lévy, 1880. 480 g In-8, demi maroquin bleue nuit à coins, tête dorée, [2] ff., 256 pp., [1] ff.. Illustré de 12 vignettes de Henry Maigrot. Mention de onzième édition. Petits frottements, dos légèrement passé. . (Catégories : Littérature, )
P., Calmann-Lévy, 1935, 2 vol. in-12, 230 et 224 pp, reliures bradel papier crème, dos lisses, pièces de titre basane vermillon, couv. illustrées conservées (un portrait de L. Halévy d'après un dessin de Paul Renouard au tome I, une vignette d'Edmond Morin au tome II), bel état. Edition originale, le tome I est un des 320 exemplaires numérotés sur vélin du Marais (seul grand papier), enrichi d'un envoi a.s. de Daniel Halévy, le tome II est sur papier courant
"Ludovic Halévy est un homme séduisant, il écrit avec agrément, il approche de grands personnages : Morny, Gambetta, il connaît les coulisses du théâtre et moins bien celles de la politique, il fréquente le grand monde mais il est plus qu'un homme du monde ; son fils Daniel l'a fait revivre en publiant presque intégralement ses Carnets. Ludovic Halévy était le demi-frère de Prévost-Paradol et la carrière tragique de Prévost-Paradol tient une place considérable dans le second des Carnets. Vraisemblablement le suicide de Prévost-Paradol a contribué à éloigner Ludovic des prises de position politiques. De là sa faiblesse et aussi son charme : il n'a voulu être qu'un témoin de son temps. La politique était un jeu trop cruel." (Pierre Guiral) — "Rédigés sous la forme d'un journal, ces carnets concernent essentiellement la société littéraire et artistique de l'époque. Excellent témoignage." (Bourachot, 201)
Paris, Michel Lévy et divers éditeur, 1872-1873. "11 x 18, 30 + 16 + 25 + 52 + 102 + 83 + 103 + 84 + 110 pages, reliure dos cuir ornée de filets dorés, bon état (reliure état d'usage; peu de rousseurs)."
"MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Les sonnettes, comédie en un acte en prose, Paris, Michel Lévy, 1873; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Madame attend Monsieur, comédie, en un acte, Paris, Michel Lévy, 1872; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic, Toto chez Tata, comédie en un acte, Paris, Michel Lévy, 1873; MEILHAC H. et HALEVY Ludovic,Le Roi Candaule, comédie en un acte en prose, Paris, Michel Lévy, 1873; LABICHE Eugène et DURU Alfred, Doit-on le dire ?, comédie en trois actes, Paris, E. Dentu, 1873; DURU Alfred, Les deux noces de Boisjoli, vaudeville en trois actes, Paris, Dentu, 1872; CLAIRVILLE, SIRAUDIN , La fille de Madame Angot, opéra-comique en trois actes (musique de Ch. Lecoq), Paris, Tresse, 1873; JAIME Ad. et NORIAC Jules, La timbale d'argent, opéra-bouffe en trois actes (musique de L. Vasseur), Paris, Michel Lévy, 1872; CLAIRVILLE, CHIVOT et DURU, Les cent vierges, opéra-bouffe en trois actes (musique de Charles Lecoq), Paris, E. Lachaud, 1872."
Edition Grasset "Les Amis des Cahiers verts", 1929. In-8 broché (19 x 14 cm), couverture rempliée vert-pâle, 104 pages. Illustré de 2 dessins in texte (dont Portrait de Ludovic Halévy, reproduction d'un monotype de DEGAS) et 2 portraits photographiques hors texte (Gambetta et le Marquis du Lau). Plaquette tirée à 3882, celui-ci le n°756 sur Alfa Navarre.- Quelques rousseurs dans les marges, non coupé. Bon exemplaire.
Grasset, 1943, in-12, 393 pp, broché, bon état, envoi a.s.
"Ce livre offre un grand intérêt au regard de l'histoire de la IIIe République. (...) Ce qui parait le plus extraordinaire dans la vie de Péguy, c'est précisément l'effort tenté par tant de cénacles de la bourgeoisie de s'annexer, en quelque sorte, le fils de la rempailleuse de chaises du faubourg orléanais, l'homme que je revois toujours, à travers tant d'années, le corps enveloppé dans sa longue cape, les lourds souliers aux pieds, la tête osseuse, avec la barbe frisottante et des yeux magnifiques d'audace et de candeur maligne. C'est à travers cet homme, – cet homme petit par la taille, dont le talent est peut-être plus discutable que ne pense M. Daniel Halévy, mais dont la force de volonté fut extraordinaire, – c'est à travers lui que nous pouvons apercevoir, grâce à M. Daniel Halévy, tout un pan de l'histoire de la IIIe République. A coup sûr, M. Daniel Halévy n'est pas tendre à l'égard de celle-ci, mais peu nous importe, et il nous suffit qu'il introduise honnêtement le témoignage de Péguy lui-même pour que nous lui sachions gré de son effort, en vue de faire revivre les milieux humains où a vécu son héros. La politicaillerie dont Péguy s'est dégagé et qui l'a fait souffrir dans son âme et dans son corps, les milieux universitaires, l'école, – si l'on peut dire, – de Georges Sorel, les mouvements littéraires personnifiés par MM. P. Claudel et Romain Rolland, l'École normale du temps de Perrot et de Lucien Herr, la Sorbonne historique et sociologique, et, avant encore, le collège Sainte-Barbe et les milieux populaires d'Orléans, – comme, au terme du livre, et de la vie de Péguy, – Ï'attente de la guerre de 1914 et ses premières réalités, – jusqu'à la mort de Péguy, le 5 septembre 1914, tout cela défile dans le livre de M. Daniel Halévy, avec les précisions, les références, les discussions utiles. Ainsi ce livre, qui est l'hommage d'un admirateur et d'un ami, est aussi une contribution historique de premier ordre." (Georges Bourgin, Revue Historique, 1943) — "La jeune floraison des Cahiers dura dix ans. De 1910 à 1914, il y aura Péguy et sa grandeur solitaire portée par les Cahiers, mais dressée plus haut qu’eux. De 1900 à 1910, il y eut les Cahiers, c’est-à-dire Péguy dans un entourage, en plein travail et entrain de jeunesse fraternelle. Après avoir quelques mois campé dans la chambre de Jérôme Tharaud, il transporta ses dossiers rue de la Sorbonne, dans une École de Journalisme qu’une agitée du dreyfusisme, Mme Dick May, avait installée là. Les Cahiers eurent une table, un espace réservé au premier étage. À côté des paperasses de Péguy, il y avait celles de Guieysse et de ses Pages libres. L’École de Dick May commença un voisinage qui dura longtemps. En octobre 1901, les Cahiers et les Pages libres, se déplaçant ensemble, s’installèrent, à vingt pas de l’École, dans une boutique dont une inscription rappelle aujourd’hui l’ancien emploi. La boutique, étroite et longue, fut divisée et cloisonnée. On ouvrait la porte : un couloir (plutôt un boyau) menait vers l’arrière boutique, où se tenait Guieysse : à gauche, une porte, et, franchie cette porte, il restait un petit espace qui était le domaine de Péguy. Sa boutique." (p. 102-103)
DURANDEAU (Joachim) - (Jean-Jacques Weiss) - HALEVY (Daniel et Ludovic) -
Reference : 31707
Paris : Fourneau, sd (ca1891) - pleine percaline à la bradel ( 23 x14cm) avec pièce de titre, reliure signée Paul Vié, avec l'ex-libris de Ludovic Halévy, 56pp. - envoi autographe signé de l'auteur à Ludovic Halévy et lettre autographe signé relié avec le volume - commentaires autographe in-fine par Daniel Halévy fils de Ludovic - bon état -
Lettre autographe dans laquelle l'auteur s'explique sur l'anonymat qu'il a choisi pour ce livre et demande à l'académicien s'il peut en écrire quelque chose dans Le Figaro et Le Temps. Jean-Jacques Weiss (1827-1891), homme de lettre, ministre, proche des milieux bonapartistes.
Grasset 14,5 x 19 Paris 1929 Broché, couverture rempliée recouverte de papier cristal, 105 pp., Edition originale. Exemplaire numéroté XXXI sur alfa Navarre. Reproductions d'un monotype d'un portrait de Ludovic Halévy par Degas et d'un croquis d'un portrait de Ludovic Halévy par Paul Renouard. Couverture avec bandes de rousseurs et rousseurs internes.(ALDeb4)
Grasset, 1941, in-12, 393 pp, broché, bon état
"Ce livre offre un grand intérêt. (...) C'est à travers la vie de Péguy que nous pouvons apercevoir, grâce à M. Daniel Halévy, tout un pan de l'histoire de la IIIe République. A coup sûr, M. Daniel Halévy n'est pas tendre à l'égard de celle-ci, mais peu nous importe, et il nous suffit qu'il introduise honnêtement le témoignage de Péguy lui-même pour que nous lui sachions gré de son effort, en vue de faire revivre les milieux humains où a vécu son héros. La politicaillerie dont Péguy s'est dégagé et qui l'a fait souffrir dans son âme et dans son corps, les milieux universitaires, l'école de Georges Sorel, les mouvements littéraires personnifiés par Claudel et Romain Rolland, l'École normale du temps de Perrot et de Lucien Herr, la Sorbonne historique et sociologique, et, avant encore, le collège Sainte-Barbe et les milieux populaires d'Orléans, – comme, au terme du livre, et de la vie de Péguy, – l'attente de la guerre de 1914 et ses premières réalités, – jusqu'à la mort de Péguy, le 5 septembre 1914, tout cela défile dans le livre de M. Daniel Halévy, avec les précisions, les références, les discussions utiles. Ainsi ce livre, qui est l'hommage d'un admirateur et d'un ami, est aussi une contribution historique de premier ordre." (Georges Bourgin, Revue Historique, 1943) — "La jeune floraison des Cahiers dura dix ans. De 1910 à 1914, il y aura Péguy et sa grandeur solitaire portée par les Cahiers, mais dressée plus haut qu’eux. De 1900 à 1910, il y eut les Cahiers, c’est-à-dire Péguy dans un entourage, en plein travail et entrain de jeunesse fraternelle. Après avoir quelques mois campé dans la chambre de Jérôme Tharaud, il transporta ses dossiers rue de la Sorbonne, dans une École de Journalisme qu’une agitée du dreyfusisme, Mme Dick May, avait installée là. Les Cahiers eurent une table, un espace réservé au premier étage. À côté des paperasses de Péguy, il y avait celles de Guieysse et de ses Pages libres. L’École de Dick May commença un voisinage qui dura longtemps. En octobre 1901, les Cahiers et les Pages libres, se déplaçant ensemble, s’installèrent, à vingt pas de l’École, dans une boutique dont une inscription rappelle aujourd’hui l’ancien emploi. La boutique, étroite et longue, fut divisée et cloisonnée. On ouvrait la porte : un couloir (plutôt un boyau) menait vers l’arrière boutique, où se tenait Guieysse : à gauche, une porte, et, franchie cette porte, il restait un petit espace qui était le domaine de Péguy. Sa boutique." (p. 102-103)
P.-Genève, La Palatine, 1960, in-12, 187 pp, broché, couv. illustrée, bon état. Edition originale (il n'est pas mentionné de grands papiers)
Intime de la famille Breguet durant son adolescence, Degas devint ensuite intime de la famille Halévy: Ludovic, sa femme, Louise Breguet, et leurs deux fils Élie et Daniel. Celui-ci, dès sa quinzième année, voit en Degas son maître en noblesse de caractère, et note tous ses propos. Daniel Halévy n’a jamais cessé de s’interroger sur la tristesse de Degas, sur l’évolution de son œuvre, sur les raisons de sa rupture avec les Halévy au moment de l’Affaire Dreyfus. Il n’a jamais cessé de penser à Degas comme celui qui lui avait appris la grandeur. À la fin de sa vie, en 1960, alors qu’il a près de 88 ans, il compose, à partir des extraits de son Journal, son dernier livre: “Degas parle...” témoignage émouvant et capital, utilisé par tous les spécialistes du peintre.
recueillies & annotées par Daniel Halévy et Emile Pillias. 587 lettres + supplément. Joint une lettre autographe de Ludovic Halévy " Mon cher ami, reçois mes biens sincères et bien affectueuses félicitations. Si tu continues à (..?..), tu en seras bientôt en grande situation, et ce sera justice, et j'en serai bien heureux (?). Ludovic Halévy Fort volume broché, 210x130, bon état général, non paginé, environ 700pp. Grasset, Paris, 1938 Ludovic Halévy, né le 1er janvier 1834 à Paris où il est mort le 7 mai 1908, est un dramaturge, librettiste d'opérettes et d'opéras, et romancier français ref/201
[Calmann Lévy, Ancienne Maison Michel Lévy Frères] - MEILHAC, H. [ Meilhac, Henri (1831-1897) ] ; HALEVY, Lud. [ Halévy, Ludovic (1834-1908) ]
Reference : 30071
(1880)
1 vol. in-12 br., Calmann Lévy, Ancienne Maison Michel Lévy Frères, Paris, 1880, 2 ff. , 149 pp.
Edition originale. Etat satisfaisant (fente en dos) pour ce titre rare. De 1860 à 1881, le duo Henri Meilhac et Ludovic Halévy fut très prolifique, tant en matière de vaudevilles et de comédies, que de livrets d'opérettes ou d'opéras. Ils collaborèrent ainsi à des oeuvres aussi célèbres que celles d'Offenbach (de "La Belle Hélène" à "La Périchole") ou de Bizet ("Carmen").
In-8,format:14x19cm,broché,chez Grasset,Paris:"les amis des cahiers verts",1929,ex. numéroté:1070/3650,sur papier Alphax Navarre,tirage justifié avec un portrait de Ludovic Halévy et en frontipice,un portrait pleine page de Gambetta.Préface de Halévy+105 pages+table. - très bel état,
Ray I1*
Paris : E. Heu, [1866?],(291 p.) ; 28 cm.broche,couverture imprimée conservée,sous chemise factice,quelques pages mal coupées,texte assez frais,pages 83/84 manquantes,E.H.742
rare,dans l’etat
Couverture rigide Berlin, Schlesinger , sd ,( début XXè ) in4 percaline rouge , plat joliment décoré , 382 pp Paroles bilingue, cachet Langue: Français
Générique Broché D'occasion état correct 01/01/1944 150 pages
Paris : Ladvocat, Delaforest, Août 1828. In-8, 200 x 125 : (1 f.), X, 328 pp. Basane porphyre, roulette dorée en encadrement sur les plats, dos lisse orné, tranches marbrées (reliure de l’époque).
Édition en partie originale de ce recueil poétique singulier du poète et auteur dramatique Léon Halévy (1802-1883).L’ambition première de l’auteur était de « présenter comme un panorama du génie poétique chez les diverses nations de l’Europe ». Il ne put amener ce projet aussi loin qu’il le souhaitait mais réussit à proposer dans une première partie une trentaine d’imitations ou de traductions en vers de poètes étrangers, la plupart contemporains. Une seconde partie réunit trois traductions de fragments de pièces de théâtre, à savoir le premier acte de Don Carlos de Schiller, le quatrième acte de Macbeth de Shakespeare et le cinquième acte de Brutus Ier d’Alfiéri.L’ouvrage fut publié en quatre livraisons. La première parut le 5 septembre 1827 et les trois autres sortirent en même temps le 16 août 1828 (voir Bibliographie de la France). Les exemplaires à la date de 1827 sont donc composés de ces quatre livraisons. Ceux datés d’août 1828 comprennent les trois dernières livraisons en édition originale de 1828, la première ayant été réimprimée avec une nouvelle préface de l’auteur.Précieux exemplaire offert par Halévy à l’éditeur et homme de lettres Charles Louis Fleury Panckoucke (1780-1844) et à son épouse la peintre et illustratrice, élève de Redouté, Ernestine Panckoucke (1784-1860). Il porte cet envoi autographe signé de l’auteur sur le premier feuillet blanc : A Monsieur et à Madame // Panckoucke hommage de // l’auteur // Léon HalevyHalévy publiera des traductions notamment d’Horace chez Panckoucke.Bel exemplaire en reliure de l’époque, très bien conservé.Provenance : Monsieur et madame Panckoucke, avec envoi de l’auteur. – L. Laverny, avec signature au verso de la première garde (XXe siècle).Bibliographie : Escoffier, 689. – Vicaire, IV, 4.
Paris, Félix Alcan, 1901 - 1904 3 vol. in-8, [2] ff. n. ch., XV pp., 447 pp. ; [2] ff. n. ch., IV pp., 385 pp. ; [2] ff. n. ch., V pp., 512 pp., demi-chagrin havane, dos à nerfs ornés de pointillés et filets dorés, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Coiffes frottées ou abîmées, une charnière supérieure frottée, coupes usées.
Edition originale : les trois volumes traduisent le sujet de thèse d'Elie Halévy (1870-1937) sur Bentham et l'utilitarisme ; elles manifestent l'intérêt que l'auteur entretint toute sa vie pour les formes élaborées du libéralisme à la fois philosophique et économique, dont Bentham fut l'initiateur le plus méthodique.Edition originale : les trois volumes traduisent le sujet de thèse d'Elie Halévy (1870-1937) sur Bentham et l'utilitarisme ; elles manifestent l'intérêt que l'auteur entretint toute sa vie pour les formes élaborées du libéralisme à la fois philosophique et économique, dont Bentham fut l'initiateur le plus méthodique. - - LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Meilhac Henri Halévy Ludovic . Clairville, Siraudin, konig Halevy, offenbach
Reference : 10107
(1875)
1875 Paris Librairie illustrée;F .Polo 1875 Grand in-8, demi basane rouge, 228 pages chacun+ gravures hors texte.éditions illustrées de costumes coloriés dessinés par Draner et A.Grévin de vignettes de P.Hadol des portraits des auteurs de la musique et des pièces accompagnées de la musique gravée des principaux airs et de notices des pièces
bon état interieur mais la reliure est un peu fatiguée, les coiffes sont émoussées,
Editions de Fallois, 1998. In-8 br. Préface de J.-P. Halévy. Texte établi et annoté par Sébastien Laurent. Notes, cartes, etc. E.O.
lévy éditeurs 1918 1918. Ludovic Halévy: L'Abbé Constantin/ Calmann-Lévy éditeurs 1918 . Ludovic Halévy: L'Abbé Constantin/ Calmann-Lévy éditeurs 1918
Auxerre Typographie Ch. Gallot s.d. [1859] prospectus in-8 en feuille
2 pp.n.ch., impression sur papier citron.Les Mousquetaires de la reine est un opéra comique en trois actes que Fromental Halévy composa sur un livret de Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges. La première eut lieu dans la salle Favart de l'Opéra-Comique, à Paris, le 3 février 1846, et l'oeuvre trouva très vite son public
Paris, Arts et métiers graphiques 1885 In-4 32,5 x 24,5 cm. Reliure demi-maroquin rouge à coins, dos à nerfs, tête dorée, 136 pp., 36 illustrations sous serpentes légendées par Madeleine Lemaire, table des illustrations. Reliure légèrement frottée en coins, rousseurs marginales soutenues sur certaines marges.
Bon état d’occasion
Paris, Grasset, 1929. in-12, 104pp.-4ff. - 2 portraits in texte. Broché, couverture verte rempliée. (Collection Les Amis des Cahiers Verts).
- Exemplaire du tirage d'édition, sur alfa. Frais.
1895 Paris. Calmann Lévy.1895. 1 volume in-12 réimposé, plein maroquin aubergine, dos à nerfs, titre doré, coq chantant d'Arthur Mayer en queue, tranches dorées, roulette dorée en encadrement sur les doublures, gardes de soie beige, couvertures conservées, étui. Reliure signée Chambolle-Duru. (2) ff. ; 124 pp. ;
Exemplaire unique enrichi de :- en début d'ouvrage, 2 dessins originaux en couleurs, montés sur onglets, avec mention en dessous "Dessin de A. Grévin".- en fin d'ouvrage, 17 dessins à l’encre de Chine de A. Grévin représentant les personnages de la pièce avec une de leur réplique en légende.- Lettre manuscrite in-12, signée Meilhac où il remercie un ami de l’avoir invité à partager une loge avec Halévy lorsqu’il était plus jeune.- 2 lettres manuscrites, dont signée Halévy, et une autre évoquant la mise en scène d'une pièce. Ex-libris « Robert Nossam » et « Arthur Meyer », directeur du journal Le Gaulois, qui sera absorbé par le Figaro, et grand bibliophile ayant pour habitude de truffer ses exemplaires, et avec qui A.Grévin va créer le musée éponyme.L'exemplaire a été entièrement réemargé pour être au format des dessins. Cette pièce de théâtre de boulevard burlesque permet à Alfred Grévin d’exprimer tout son talent d’illustrateur, de caricaturiste et de créateur de costumes à travers ces 19 dessins.