Paris, Imprimerie royale, 1790.
Illustré par un tableau dépliant hors-texte de l'état de situation par département de la Contribution Patriotique du royaume au 31 décembre 1790. Relié avec: - Contribution patriotique. Tableau de la correspondance avec les départements, jusqu'au 31 décembre inclusivement. (8) pp. - Contribution patriotique. Tableau de la correspondance, avec les départements, jusqu'au 28 février 1791. (12) pp., 3 tableaux dépliants hors-texte. - Instruction publiée par ordre du Roi, relativement à la Contribution Patriotique. Paris, Imprimerie royale, 1789. In-4 de 21, (3) pp. Mouillures sans gravité. /// In-4 de 6, (2) pp., 1 tableau dépliant hors-texte. Cartonnage moderne. //// /// PLUS DE PHOTOS SUR WWW.LATUDE.NET
1790 en ff. in-4, 3pp. Grenoble Imprimerie Royale 1790
Bandeau aux armes de France.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Paris Imprimerie royale 1789 in-4 en feuille, non coupée
8 pp.Tarif officiel mis en place dans le cadre de la "contribution patriotique" d'octobre 1789 : les citoyens possédant plus de 400 livres de revenus devaient en verser le quart (déduction faite de différentes charges), ainsi que 2,5% de l'argenterie, des bijoux d'or et d'argent, et de l'or ou de l'argent qu'ils possédaient. Les ouvriers et les journaliers en furent dispensés, comme ceux dont les revenus étaient inférieurs, mais l'État ne refusait évidemment pas leur contribution volontaire ! Au plan national, cet impôt prétendument "volontaire" se révéla pourtant un échec, avec la récolte d'à peine un million de livres. Cet "emprunt" devait être remboursé par l'État lorsque la situation serait redevenue meilleure. Cela ne fut évidemment jamais le cas, comme toujours en France ...
Paris Imprimerie royale 1789 in-4 en feuille
8 pp.Tarif officiel mis en place dans le cadre de la "contribution patriotique" d'octobre 1789 : les citoyens possédant plus de 400 livres de revenus devaient en verser le quart (déduction faite de différentes charges), ainsi que 2,5% de l'argenterie, des bijoux d'or et d'argent, et de l'or ou de l'argent qu'ils possédaient. Les ouvriers et les journaliers en furent dispensés, comme ceux dont les revenus étaient inférieurs, mais l'État ne refusait évidemment pas leur contribution volontaire ! Au plan national, cet impôt prétendument "volontaire" se révéla pourtant un échec, avec la récolte d'à peine un million de livres. Cet "emprunt" devait être remboursé par l'État lorsque la situation serait redevenue meilleure. Cela ne fut évidemment jamais le cas, comme toujours en France ...
À Nevers, chez la Veuve Le Febvre, 1790 petit in-4, 4 pp., en feuille. Annotations à l'encre brune.
Le document précise la marche à suivre en cas de litiges dus au recouvrement de cet impôt : oubli de déclaration, réclamation possible, décès etc.
Aix, Imprimeries de Gibelin-David & Emeric-David, 1790 placard in-folio de 45 x 35 cm, texte sur deux colonnes, en feuille.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Alençon, Imp. de Malassis Le Jeune, 1790 in-4, 6 pp., vignette.
A Paris, De l'Imprimerie Nationale, 1792 in-4, 8-(10) pp.,
A Versailles, Chez Baudouin, s.d. (1789); in-8, 8 pp., dérelié.
Sur le paiement d'une contribution extraordinaire et patriotique, égale et proportionnelle, payable qu'une seule fois.