Montpellier, Fata Morgana, 1981. In-8 de [72] pages, en feuilles, couverture à rabats, imprimée en rose.
Illustré par Christian Gabrielle Guez Ricord de dessins hors-texte et d'un dessin original signé. Édition originale tirée à 333 exemplaires, celui-ci un des 33 sur Johannot (15), premier papier et seul comportant un dessin original de l'auteur.
Montpellier, Fata Morgana, 1981. In-8 de [72] pages, en feuilles, couverture à rabats, imprimée en rose.
Illustré par Christian Gabrielle Guez Ricord de dessins hors-texte et d'un dessin original signé. Edition originale tirée à 333 exemplaires, celui-ci un des 33 sur Johannot (16), premier papier et seul comportant un dessin original de l'auteur.
Véritables créations littéraires, dans un style très personnel, ces contes sont remarquables par leur ironie et l’absence des morales traditionnelles. Copenhague, Bianco & Schneider for C.A. Reitzel, 1842-1844-1837.3 parties en 1 volume in-16 de : VIII pp. avec le titre général, la table générale et la préface (« Til de aeldre Laesere »), (2) ff., 61 pp., (1) f. de table, pp. 3 à 76 (sans le faux titre de cette partie), (1) f., 60 pp. et (1) f. Relié en chagrin rouge, dos lisse. Quelques feuillets roussis.126 x 77 mm.
L’un des rares exemplaires du recueil réunissant pour la premiere fois 9 des principaux contes d’Andersen.Le premier opuscule regroupe 4 contes en second tirage (1842) : « Fyrtoiet »(Le Briquet), « Lille Claus og store Claus » (Grand Claus et petit Claus), « Prindsessen paa Aerten » (La Princesse au petit pois) et « Den lille Idas Blomster » (Les fleurs de la petite Ida).La seconde partie présente 3 contes également dans le deuxième tirage (1844) : « Tommelise » (La petite Poucette), « Den uartige Dreng » (Le vilain garçon) et « Reisekammeraten » (Le compagnon de route). Le troisième recueil comporte l’édition originale de deux des contes les plus celebres d’Andersen : « La petite sirène » et « Les habits neufs de l’empereur » (« Den lille Havfrue » et « Kejserens nye Klaeder »). Les premiers contes d’Andersen furent seulement publiés à 200 exemplaires, ce qui explique leur grande rareté sur le marché. Les quelques exemplaires qui sont parvenus jusqu’à nous présentent presque tous une compilation des différents tirages de ces contes ; d’autre part, ils sont rarement complets de tous les feuillets de titre, de faux titre et de table.Le collectionneur Jean Hersholt écrivait d’ailleurs en 1954 que « no copy with all its title-pages and tables of contents has ever been offered for sale by any dealer or at any auction sale”. « The tales of Hans Christian Andersen are unique. Unlike Perrault’s and Grimm’s, his stories were original inventions […] The “Eventyr” are fairy tales of supernatural creatures and fantastic happenings. […] Over and above their intrinsic merit Andersen’s stories signalized a new and fundamentally different approach to the writing of books for children. Mawkishness, didacticism, and moral proselytizing were totally abjured and he was the harbinger of a new era in this genre” (Printing and the Mind of Man, n°299). Hans Christian Andersen (1805-1875) est un écrivain danois qui, grâce à ses nouvelles et à ses Contes, incarne le génie populaire nordique. C’est à trente ans, après le traditionnel voyage en Italie que se doit d’accomplir tout jeune écrivain romantique, qu’il publie un court recueil de « Contes pour les enfants » (Eventyr fortalte for Born). D'autres parties, complétant le premier volume, apparurent en 1837.Après un départ hésitant, le succès fut foudroyant et, en quelques années, le petit vagabond d’Odense allait devenir l’un des écrivains les plus fêtés du monde. Véritables créations littéraires, dans un style très personnel, ces contes sont remarquables par leur ironie et l’absence des morales traditionnelles. Bon exemplaire de ce recueil rare et recherché qui comporte la première impression de deux des contes les plus importants d’Andersen : « La petite sirène » et « Les habits neufs de l’empereur ».
Noël Marsault Éditeur. 1985. Maquette de l'auteur. Couverture cartonnée illustrée, ouvrage imprimé sur papier gris. Dim de l'ouvrage : 85 x 84 mm. Dim de la boite: 116 x 122 mm. 16 pages. Tiré à 30 exemplaires.
Ouvrage réalisé partir de la poésie d'Arthur Rimbaud "VOYELLES", un jeu de compositions typographiques, pour chaque lettre une couleur. Christian Soulignac est le pseudonyme de l'éditeur Christian Laucou pour tous ses travaux littéraires.
Noël Marsault Éditeur. 1985. Maquette de l'auteur. Couverture cartonnée illustrée, ouvrage imprimé sur papier gris. Dim de l'ouvrage : 85 x 84 mm. Dim de la boite: 116 x 122 mm. 16 pages. Tiré à 30 exemplaires. Un des 5 exemplaires de tête, marqué U. Présenté dans une boite de Pierre Mercier.
Ouvrage qui rend hommage à la poésie d'Arthur Rimbaud "VOYELLES", un jeu de compositions typographiques, pour chaque lettre une couleur. Christian Soulignac est le pseudonyme de l'éditeur Christian Laucou pour tous ses travaux littéraires.
Ed. Moulin de Valbois . 1992. Couverture à rabats, imprimée. En feuilles. Sous emboitage recouvert d'un papier moderne à motifs géometrique. Ouvrage illustré de 5 linogravures originales de CHRISTIAN LHOPITAL. Texte d'Alain Jouffroy. Tiré à 66 exemplaires sur un papier perforé de Michel Guet selon sa maquette. Dim: 33,5 x 22,5 cm. Non paginé. Parfait état.
Exemplaire signé par CHRISTIAN LHOPITAL, Alain Jouffroy et Michel Guet.
Argol, 2009, 250 pp., illustrations, broché, passages signalés au stylo page 92, état général très correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Bâle, J.G. Neukirch, 1830, in-8, II-70 pp, 1 pl, Demi-basane cerise de l'époque, dos orné de filets doré et à froid, pièce de titre fauve, Première et unique édition de cette monographie par le médecin et botaniste Johannes August Christian Ro?per (1801-1885). Exemplaire bien complet de la planche "Positio relativa florum in impatiente, balsamina hydroceraque", qui manque souvent. L'auteur avait fait l'acquisition en 1824 de l'herbier de Lamarck, sur les conseils d'Alexander von Humboldt Cachets de l'Institut catholique de Paris et étiquette en pied du dos. Dos usé, manque à la coiffe supérieure. Rousseurs. Couverture rigide
Bon II-70 pp., 1 pl.
Paris, Éditions A.G.E.M.P, 1963, in-8, [9]-60 ff, 9 pl, Demi-box noir à coins, dos à faux nerfs, couverture conservée, Thèse de doctorat en médecine de la Faculté de Paris, présidée par G. Laurence. Christian Chatelain (1931-2023) fut chirurgien urologue, ancien président des l'Académies nationales de médecine et de chirurgie. Bon exemplaire. Couverture rigide
Bon [9]-60 ff., 9 pl.
Paris, Jean-Thomas Herissant, 1759, in-12, XXIV-278-[2] pp, Basane tabac de l'époque, dos à nerfs, tranches rouges, Première édition française. Il s'agit de la traduction de Metallische Probierkunst (Dresde, 1697) de Christian Carl Schindler (né vers 1665), ouvrage très rare publié à l'origine à Dresde en 1697. L'auteur y offrait une description claire des méthodes d'analyse alors pratiquées à Freiberg. Pour l'édition française, le médecin et chimiste Étienne François Geoffroy (1672-1731) ne s'est pas contenté de transposer le texte; en effet, pendant deux ans, il a pris le soin de vérifier tous les essais. Son manuscrit est demeuré inédit à sa mort; il fut révisé 28 ans plus tard et publié par l'Académie royale des sciences. Étiquettes ex-libris au contreplat : du Dr Doumerc et de J[oseph] Laissus (1900-1969), directeur-fondateur de l'École technique supérieure du Laboratoire. Épidermures, coiffe supérieure arasée; coins et coupes usés. Rousseurs claires. Bon état intérieur. Cole, n° 1179. Schuh [en ligne : The Mineralogical Record]. Couverture rigide
Bon XXIV-278-[2] pp.
Paris, Masson, 1975, in-8, 156 pp, Demi-basane brune à coins moderne, dos lisse, titre doré en long, tête dorée, couvertures conservées [Laurenchet], Tableaux et quelques figures dans le texte. Édition originale. Rapport présenté au 77e congrès français de chirurgie, à Paris le 22 septembre 1975, publié dans la collection des Monographies de l'Association française de chirurgie. Christian Chatelain (1932-2023), médecin et chirurgien urologue, était membre de l'Association française d'urologie (Paris). De la bibliothèque de l'auteur, avec son ex-libris au stylo sur une garde blanche (C. Chatelain). Bel exemplaire. Couverture rigide
Bon 156 pp.
Paris, Artheme Fayard & Cie Editeurs, 1929, in-4, 62-[2] pp, broché, couverture illustrée en couleurs, Édition originale de ce récit publié sous le pseudonyme de Christian Brulls, pseudonyme apparemment réservé aux publications de qualité, l'auteur sous l'un de ses 27 pseudonymes met en scène ici le drame d'un couple au pôle sud. Couverture illustrée par Gino Starace. Plutôt rare, pas de grands papiers ni de tirage limité. Bords de la couverture dentelés, avec petits manques et salissures mais bon exemplaire. Couverture rigide
Bon 62-[2] pp.
Paris, éditions Cahiers d'Art, 1926, in-4, [40 pp] paginé de 227 à 259, Broché, couverture imprimée, 9è numéro de la première année de cette revue Cahiers d'Art, créée en 1926 par Christian Zervos. Sa passion et son ambition de produire une revue d'art savante l'ont amené à commander des oeuvres d'art originales et des essais de recherche à certains des esprits les plus brillants et des artistes d'avant-garde de sa génération. Les oeuvres de Pablo Picasso, Alexander Calder, Joan Miró et Henri Matisse étaient régulièrement présentées, ainsi que les poèmes de Paul Eluard et René Char et les photographies de Dora Maar et Man Ray. Les 97 numéros publiés entre 1926 et 1960 deviennent rapidement des références pour les chercheurs. La Revue permet à ses fidèles abonnés d'accéder à l'effervescence historique de l'art, de la littérature et du design de l'époque. Ces publications sont désormais très recherchées. Depuis sa relance en 2012 par Staffan Ahrenberg, les coéditeurs Sam Keller et Hans Ulrich Obrist, La Revue Cahiers d'Art continue de respecter sa volonté de rester un espace éditorial expérimental. Les 12 numéros existants sont le résultat d'étroites collaborations avec des artistes stimulants tels que Ellsworth Kelly, Rosemarie Trockel, William Kentridge, Gabriel Orozco, John Giorno, Anne Imhof, Arthur Jafa, Christo et Cildo Meireles. Plus qu'une simple revue d'art, La Revue Cahiers d'Art est souvent conçue comme une « carte blanche » éditoriale. L'artiste partage des oeuvres rarement vues auparavant, des photographies, des extraits littéraires, accompagnés d'entretiens francs révélant le point de vue singulier de chaque artiste. Deux bons de commande vierge encore attachés. Accrocs, ensollé Couverture rigide
Bon [40 pp] paginé de 227 à 259
Louvain, Imprimerie Durbecq, 1947. In-18 broché de 127 pages, premier plat de couverture illustré.
Édition originale. Un des 450 exemplaires sur papier satiné (424). C'est dans cet ultime numéro que Christian Dotremont annonce la naissance du surréalisme révolutionnaire. Destribats, 473.
Paris, éditions Cahiers d'Art, 1929, in-4, 52 pp; XVI pp, Broché, couverture imprimée, 1er numéro de la 3e année, année 1929 de cette revue Cahiers d'Art, créée en 1926 par Christian Zervos. Sa passion et son ambition de produire une revue d'art savante l'ont amené à commander des oeuvres d'art originales et des essais de recherche à certains des esprits les plus brillants et des artistes d'avant-garde de sa génération. Les oeuvres de Pablo Picasso, Alexander Calder, Joan Miró et Henri Matisse étaient régulièrement présentées, ainsi que les poèmes de Paul Eluard et René Char et les photographies de Dora Maar et Man Ray. Les 97 numéros publiés entre 1926 et 1960 deviennent rapidement des références pour les chercheurs. La Revue permet à ses fidèles abonnés d'accéder à l'effervescence historique de l'art, de la littérature et du design de l'époque. Ces publications sont désormais très recherchées. Depuis sa relance en 2012 par Staffan Ahrenberg, les coéditeurs Sam Keller et Hans Ulrich Obrist, La Revue Cahiers d'Art continue de respecter sa volonté de rester un espace éditorial expérimental. Les 12 numéros existants sont le résultat d'étroites collaborations avec des artistes stimulants tels que Ellsworth Kelly, Rosemarie Trockel, William Kentridge, Gabriel Orozco, John Giorno, Anne Imhof, Arthur Jafa, Christo et Cildo Meireles. Plus qu'une simple revue d'art, La Revue Cahiers d'Art est souvent conçue comme une « carte blanche » éditoriale. L'artiste partage des oeuvres rarement vues auparavant, des photographies, des extraits littéraires, accompagnés d'entretiens francs révélant le point de vue singulier de chaque artiste. Bon état. Couverture rigide
Bon 52 pp; XVI pp
Paris, éditions Cahiers d'Art, 1929, in-4, 124 pp; XIII-XIX pp, Broché, couverture imprimée, 2e et 3e numéro en un volume de la 3e année, année 1929 de cette revue Cahiers d'Art, créée en 1926 par Christian Zervos. Sa passion et son ambition de produire une revue d'art savante l'ont amené à commander des oeuvres d'art originales et des essais de recherche à certains des esprits les plus brillants et des artistes d'avant-garde de sa génération. Les oeuvres de Pablo Picasso, Alexander Calder, Joan Miró et Henri Matisse étaient régulièrement présentées, ainsi que les poèmes de Paul Eluard et René Char et les photographies de Dora Maar et Man Ray. Les 97 numéros publiés entre 1926 et 1960 deviennent rapidement des références pour les chercheurs. La Revue permet à ses fidèles abonnés d'accéder à l'effervescence historique de l'art, de la littérature et du design de l'époque. Ces publications sont désormais très recherchées. Depuis sa relance en 2012 par Staffan Ahrenberg, les coéditeurs Sam Keller et Hans Ulrich Obrist, La Revue Cahiers d'Art continue de respecter sa volonté de rester un espace éditorial expérimental. Les 12 numéros existants sont le résultat d'étroites collaborations avec des artistes stimulants tels que Ellsworth Kelly, Rosemarie Trockel, William Kentridge, Gabriel Orozco, John Giorno, Anne Imhof, Arthur Jafa, Christo et Cildo Meireles. Plus qu'une simple revue d'art, La Revue Cahiers d'Art est souvent conçue comme une « carte blanche » éditoriale. L'artiste partage des oeuvres rarement vues auparavant, des photographies, des extraits littéraires, accompagnés d'entretiens francs révélant le point de vue singulier de chaque artiste. Taches de soleil et accrocs, légère déchirure. Couverture rigide
Bon 124 pp; XIII-XIX pp
À Leipzig, Chez Voss et Compagnie, 1802, in-8, VIII-124 pp, 28 pl. gravées sur cuivre, demi-basane havane de l'époque, dos fileté orné de fleurons à froid et d'un chiffre couronné en pied, Première édition française du Gemählde von Gärten im neuern Geschmacke de Christian Ludwig Stieglitz (1756-1836), publié à l'origine à Leipzig en 1796. Réflexion lyrique sur l'aménagement des jardins, ornée de planches gravées d'après les dessins de Karl August Benjamin Siegel (1757-1832), professeur d'architecture à Leipzig et à Drese, par Johann Adolf Darnstedt (1769-1844), Gottlieb Wilhelm Hüllmann (1765-1828) et Schumann : 1 plan "I" et 7 planches correspondantes numérotés I-A à I-G, 1 plan "II" et 8 planches II-A à II-H, puis 11 planches figurant des pavillons et mobiliers de jardins. Une charnière fendue sur 3 cm, petit trou de ver en pied du dos, dos passé. Petites rousseurs aux planches. Couverture rigide
Bon VIII-124 pp., 28 pl. gravées
Extrait des Archives de neurologie (n°41), Publication du Progrès Médical, s.d, in-8, 30 pp, Broché, couverture d'attente, Tiré à part. Étude des causes et des facteurs de la paralysie, extraite des Archives de Neurologie n°41, par Christian Jules (1840-1907), médecin-chef de la section des hommes à Charenton, et chargé du cours de clinique des maladies mentales à l'Université de Nancy. Ex-libris docteur Carrier. Couverture rigide
Bon 30 pp.
Amsterdam, Chez Pierre Mortier, 1745, in-12, [8]-339-[1] pp, Pleine basane, dos à nerfs orné, pièce de titre fauve, tranches jaspées. Reliure de l'époque, Première édition de la traduction française, après l'originale allemande parue en 1732 sous le titre Psychologia empirica. Disciple de Leibniz, Christian Wolff, auteur d'une oeuvre allemande et latine couvrant la presque totalité de la culture de son temps a joué un rôle central dans le développement de la psychologie en Allemagne au XVIIIe siècle. La distinction qu'il établit entre la psychologie empirique et la psychologie rationnelle constitue le premier acte significatif de fondation d'une science indépendante des questions de philosophie métaphysique. Coins légèrement usés, petites piques de vers à un mors supérieur mais bon exemplaire. Couverture rigide
Bon [8]-339-[1] pp.
Précieux exemplaire sur papier vélin, très grand de marges car non rogné, conservé dans son cartonnage d’origine. Stuttgart, Paris, imprimerie et librairie de Firmin Didot, 1822-1827. In-plano de viii pp., 20 pp., 13 ff. d’explication des planches, 64 planches numérotées à pleine page dont 5 en couleurs, 29 pp. de texte, 14 planches à pleine page. Cartonnage vert d’éditeur, dos lisse avec une pièce de titre en maroquin rouge, non rogné. Reliure de l’époque. 710 x 517 mm.
Première et unique édition de cet « ouvrage de référence sur l’art, la culture et l’architecture antiques de la vallée du Nil » selon le catalogue du Royal Institute of British Architects. Graesse, Trésor de livres rares, 34 ; Blackmer 656 (avec 4 planches en couleurs seulement). Cet ouvrage aux dimensions impressionnantes, proposant « le relevé le plus complet de son temps des antiquités nubiennes », parut en treize livraisons entre 1822 et 1827. « Ce bel ouvrage a été publié en 13 livrais., dont la dernière est double : chaque livrais. coûtait 18 fr. – Pap. vél. 36 fr. » (Brunet, II, 1501). « The standard work on the ancient art, culture and architecture of the Nile Valley, and the most complete pictorial record of Nubian antiquities of its day'; 'most of the engravers whose work is seen here also worked on Description de l'Egypte, to which the present work was intended to be an informal adjunct” (RIBA 1180). « Le principal mérite de cet ouvrage - la suite de la ‘Description de l’Egypte’ – c’est d’être le complément nécessaire de toutes les études sur les anciens habitants de la vallée du Nil ; le second, c’est d’indiquer, avec une précision toute nouvelle, le lien qui unit les évolutions du goût en architecture et la marche de la civilisation chez un peuple ; joignez à cela la reproduction de dessins fidèles, accompagnés d’un texte rédigé par deux grands érudits, Letronne et Niebuhr. Né à Cologne le 14 juin 1790, Francisque-Christian Gau vint à Paris en 1809, pour y étudier l’architecture. Ses maîtres furent Debret et Lebas. En 1817, il saisit l’occasion qui lui était offerte d’aller en Egypte, et, grâce à la protection d’un médecin allemand et de notre consul Drovetti, il trouva moyen de pénétrer en Nubie ; là, il put mettre à exécution le projet, conçu depuis longtemps, de donner une continuation aux travaux archéologiques de la commission d’Egypte, en dessinant les monuments qui bordent le Nil au-dessus de la seconde cataracte. De retour en France, et après avoir terminé les deux derniers volumes du grand ouvrage de Mazois sur Pompéi, il abandonna la théorie et l’histoire pour la pratique, et, s’étant fait naturaliser, il obtint de la ville de Paris d’importants travaux,. Nous ne citerons que l’église Sainte-Clotilde, dans le faubourg Saint-Germain... Gau est mort à Paris en 1853. » (Vinet, 215). « Prix de la livraison : 16 fr. papier fin, et 36 fr. papier vélin. L’existence de monumens égyptiens dans la Nubie était connue depuis longtemps : quelques relations de voyages, principalement celle de Norden, n’avaient laissé aucun doute à cet égard. Lors de l’expédition d’Egypte, des circonstances impérieuses empêchèrent les savans français de s’avancer au-delà de Philé, et de compléter ainsi leur belle et inestimable collection des monumens égyptiens, en fournissant des moyens précieux de comparaison entre ceux de l’Egypte et ceux de la Nubie. Depuis, quelques voyageurs se sont avancés plus ou moins dans la vallée supérieure du Nil ; mais ils se sont contentés de décrire les monumens sans les reproduire par le dessin ; or, un monument qui n’est que décrit est connu bien imparfaitement... M. Gau, architecte habile, élève de l’école française, plein d’ardeur et de courage, conçut le projet de remplir l’importante lacune que la commission d’Egypte avait été contrainte de laisser dans son travail. Après s’être bien familiarisé, par l’étude des monumens de la haute Egypte, avec le caractère de l’architecture égyptienne, il remonta le Nil jusqu’à la seconde cataracte ; et c’est en descendant ce fleuve qu’il dessina et mesura vingt-un monumens du plus haut intérêt. Les trois premières livraisons de cet ouvrage ont paru, et justifient pleinement l’opinion qu’en avaient conçue tous ceux auxquels M. Gau avait montré ses beaux dessins, faits avec un choix, un goût remarquables, touchés avec une finesse singulière, et, par-dessus tout, offrant ce caractère de naïveté qui garantit une fidélité parfaite. Il était facile de voir que l’auteur, habitué à rendre exactement ce qu’il a sous les yeux, n’avait point mis des formes de convention à la place de celles des figures originales. Sous son crayon, les sculptures égyptiennes ne ressemblaient point à des sculptures grecques ; c’étaient bien là ces profils, souvent hardis, presque toujours incorrects, cette roideur, cette uniformité constante, cette absence totale de formes justes et gracieuses, caractères auxquels on reconnait sur-le-champ les découpures monotones qu’on appelle ‘bas-reliefs égyptiens’. La perfection des dessins de M. Gau a passé dans les gravures que contiennent les trois premières livraisons de son ouvrage ; les artistes distingués auxquels il en a confié l’exécution, ont répondu à son attente. Les planches ombrées sont d’un effet harmonieux ; le burin en est ferme et sûr : les vues pittoresques, si bien choisies par M. Gau, sont rendues avec goût et esprit ; et les dessins d’architecture et de sculpture offrent une précision et un fini qu’on ne saurait trop louer. Voilà pour la partie matérielle ; si le reste de l’ouvrage se continue comme il est commencé, ce sera un des mieux exécutés qui existent en ce genre... M. Gau a pris Philé pour point de départ, et il remonte le Nil du nord au sud ; ainsi les derniers dessins de son ouvrage seront des vues de la seconde cataracte... Le texte de cet ouvrage sera en grande partie rédigé par M. Niebuhr, qui doit donner l’explication des inscriptions nombreuses que M. Gau a recueillies dans son voyage. L’échantillon que ce savant distingué a donné de son travail dans ses ‘Inscriptions nubienses’, fait désirer vivement d’en voir la totalité. D’après un prospectus récemment publié, M. Gau annonce qu’il développera dans son texte plusieurs propositions importantes pour l’histoire de la philosophie des arts ; il croit pouvoir établir que toute l’architecture d’Egypte a ses types dans les monumens de la Nubie, depuis les premières ébauches grossièrement taillées dans le roc, jusqu’aux derniers édifices construits sous les Ptolémées... M. Gau annonce son ouvrage comme ‘pouvant faire suite’ à la grande description de l’Egypte : nous ne craignons pas d’affirmer qu’il en est une ‘suite indispensable’. Sans prétendre établir aucun parallèle entre deux ouvrages, dont l’un a été publié avec tous les moyens et toute la magnificence qu’un gouvernement seul pouvait déployer, l’autre entrepris par un seul homme, et avec les simples ressources de particuliers amis des arts, nous pouvons assurer que celui de M. Gau, parfaitement bien conçu, disposé dans des proportions plus petites et commodes, réduit aux objets essentiels et d’un intérêt véritable, présente, avec plus d’unité dans le plan, une exécution non moins parfaite et jusqu’ici beaucoup plus égale ». (Letronne, Journal des Savans, Janvier 1822, pp. 285 à 293). Le présent ouvrage renferme 64 planches à pleine page montrant plus de 180 vues, plans, coupes, élévations, détails architecturaux, dont 5 coloriées, ainsi que 14 planches d'inscriptions accompagnées d'une étude épigraphique de Niebuhr complétée par Letronne, et 13 belles vignettes placées en tête de l'explication des planches, dont 2 en couleurs. La plupart des artistes qui gravèrent ces dessins, réputés très fideles, participèrent également à l'illustration de la Description de l'Egypte, dont le présent volume constitue une suite officieuse. Précieux exemplaire sur papier vélin, très grand de marges car non rogné, conservé dans son cartonnage d’origine.
Genève, Slatkine, 1999. In-4 relié d'éditeur.
Bel album illustré par les photographies de Gérard Chardonnens, accompagnées de textes bien instructif de Christian Vellas.
Vence, galerie Alphonse Chave, 1993. In-8, non paginé, broché, couverture originale imprimée (dos décollé).
Édition originale et unique de cet ouvrage composé de 102 reproductions en noir des oeuvres de Christian Degaine. La préface est de Marc Le Bot. On joint une invitation au vernissage de l'exposition Les Cendres d'Éros à la galerie Chave en 1993. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Organe du bureau International du Surréalisme Révolutionnaire. Édité à Bruxelles, janvier 1948. Impression noir sur papier orangé. Pliure d'origine. Restauration ancienne. Dim : 273 x 365 mm. 12 pages.
Premier numéro dirigé par Christian Dotremont, daté de janvier 1948, de cette revue révolutionnaire publiée à Bruxelles.
Collection Génération Plus, 1975. Couverture à rabat sur papier fort, étui. Composé à la main par Alain Sanchez et achevé d'imprimer en son atelier artisanal de Libos. Tiré à 160 ex, un des trente exemplaires sur chiffon à la main du Moulin de Larroque trempées par Christian Jaccard dans un bain de teinture bleue , numérotés de 1 à 30, cet exemplaire est le n° 27. En feuilles. Dim : 345 x 275 mm. 30 p + 4 p non chiffrées. Signé par l'artiste et l'auteur à la mine de plomb.
Bruxelles, Gay et Doucé, 1877. In-12, 86 pp., bradel de papier à la colle gris, vert et rouge, dos lisse, pièce de titre rouge, couverture conservée (décharge du frontispice, quelques petites taches).
Seconde édition revue et augmentée de la traduction française. Elle est illustrée d'un frontispice gravé en taille douce par Mabboux daté de 1877 et orné de bandeaux, lettrines et culs-de-lampe également gravés. L'un des 500 exemplaires numérotés, seul tirage. Dans sa préface, le traducteur (Gustave Brunet) attribue cet ouvrage à Freidrich Christian Fischer, un conseiller prussien, qui l'aurait fait paraître en 1780 et dédié au baron de Zeidlitz alors ministre de la Justice et directeur général de l'Instruction publique. Pia, Les Livres de l'Enfer, 996-997. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.