Paris, Grasset, 1933, 1 vol. br. in-12 315 pp. 16ème édition.
Reference : 94336-3070
Quelques usures.
A la Bonne Source
M. Jean-Dominique Baer
34, rue Chaudronnerie
21000 Dijon
France
09 83 36 48 04
Envoi ou remise dès encaissement du règlement par chèque, carte bancaire, virement ou espèces (ces dernières dans les limites légales en vigueur).
Paris : Imprimerie Nationale. 1791 In-8, 8 pages. Broché, tel que paru.
Paris emprunte à l'Etat pour financer des dépenses extraordinaire dont la destruction de la Bastille. Anne-Pierre de Montesquiou puis de Montesquiou-Fézensac, dit le « marquis de Montesquiou ». Né le 17 octobre 1739 à Paris et mort le 30 décembre 1798 à Paris, est un homme politique français qui fut lieutenant général des armées du roi, agronome, membre de l'Académie française (1784), puis député aux États généraux, général dans les armées de la Révolution et député à la Convention qu'il présida avant de régner sur la Commission des finances.
Grasset, 1933, in-12, 315 pp, broché, bon état
Le 16 novembre 1919 j'ai été élu, au scrutin de liste, député du troisième secteur de Paris (rive gauche et XVIe arrondissement). Entendons-nous bien, député royaliste, et au cri de "Vive le Roi". Ce fut, chez les républicains, une stupeur générale. On n'imaginait pas qu'un tel événement fût possible. Le pauvre cardinal Amette, respectueux serviteur des décisions de Clémenceau, alors Président du Conseil et de son entourage, avait recommandé à ses ouailles de voter "sagement", c'est-à-dire pour la liste Millerand, dite d'union nationale, mais d'où les royalistes, ces pestiférés, étaient exclus. Fidèle interprète des désirs gouvernementaux le cher Alfred Capus, alors directeur du Figaro, encore influent, nous avait laissé tomber, mes amis et moi, dans un entrefilet assez perfide qui lui valut, de ma femme, cette remarque sévère : "Capus, je vous croyais un ami, vous n'êtes qu'un convive".
Brochure in-8, Éditions du Comité Populaire de Propagande, 1937, 32 pp. Un peu frottée et jaunie, petites déchirures latérales, bon état général. Brochure rare sur les questions de politique extérieure. Poids 20 g. Frais d'envoi 1 euro sur la France, 1,80 euro UE et Suisse, 2,35 euros pour le reste du monde (tarifs de base hors envois suivis).
27/11/1784 SUPERBE LETTRE À LÉMINENT SAVANT ITALIEN PAOLO FRISIAprès avoir soutenu ardemment lélection de Paolo Frisi à lAcadémie royale des Sciences de Paris, Bailly apprend la maladie de son confrère et ami. En réalité, Paoli Frisi est déjà mort [le 22 novembre] lorsque Bailly lui écrit cette lettre : …Jai été affligé, en recevant votre lettre, dapprendre que vous avez été si longtems malade. Une vie comme la vôtre consacrée au travail devroit bien être exemte de ces souffrances ; mais la célébrité qui nous éleve, qui souvent nous expose à des maux nouveaux ne nous sauve point de ceux qui affligent lespece humaine. Les bonnes nouvelles que vous me donnez me donnent cependant lesperance que ma lettre vous trouvera rétabli... Il souhaiterait recevoir les rapports que Frisi a fait traduire en italien lui soieint envoyés par le comte de Vergenne. ...Je presenterai avec grand plaisir votre éloge de M. dAlembert à lAcadémie française... Il prévient quétant surnuméraire à lAcadémie il ne disposera que dune voix en faveur de son ami, ...cest le plus digne usage que jen puisse faire. Je me concerterai avec M. le Duc de la Rochefoucault [La Rochefoucauld duc dEnville, président de lAcadémie des Sciences] et jespère que, soit cette fois-ci, soit une autre, nous réussirons. Un de mes amis traduit les Lettres Américaines ; si nous croyons que cela puisse réussir à Paris nous pourrons les faire imprimer. Je nai point compris ce que vous dites que vous avez reduit à la solution dun triangle sphérique tout ce que M. de la Grange [le mathématicien Joseph Louis Lagrange] a dit dans les mémoires de lAcadémie. Vous ne vous êtes pas assez expliqué à cet égard…Éminent astronome des Lumières, le découvreur des satellites de Jupiter Jean Sylvain Bailly se classe incontestablement parmi les plus grands scientifiques du XVIIIe siècle. Sa monumentale Histoire de l'astronomie lui ouvrit les portes de lAcadémie française en novembre 1783. Membre de l'Académie Royale des Sciences depuis 1763, nommé par le Roi, choyé dans les salons de l'aristocratie et à la Cour, il fut autorisé à sinstaller au Palais du Louvre, siège de lAcadémie depuis sa création en 1666. À la Révolution, il choisit cependant dêtre élu député du Tiers-État, puis accède à la mairie de Paris en remplacement de Jacques de Flesselle qui venait dêtre assassiné ; il fut lun des premiers présidents de lAssemblée constituante (du 17 juin au 3 juillet 1789), avant de céder sa place au duc de La Rochefoucauld-Liancourt.
Paris, S.l.n.d. (1790) in-8, 41 pp., cousu.
Député de Paris aux Etats Généraux, l'abbé de Bonneval refusa de prêter le serment civique. La dîme n'est pas un impôt mais une perception, consacrée à la piété et établie par l'usage. Elle "ne pesait presque pas sur les peuples". Les frais de culte, la subsistance des ministres du culte, le soulagement des pauvres et l'augmentation du prix des denrées rendent la dîme incontestable.Martin & Walter, IV, 30422. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT