BABOU 1929 1 65 bois originaux de CARLEGLE. Paris, Henry Babou Editeur, 1929, in-4, broché, couverture rose rempliée, sous chemise demi-toile Parme et étui marbrés, 188 pages.
Reference : 24235
Tirage limité à 450 exemplaires numérotés. Un des 50 exemplaires numérotés sur vélin à la forme des papeteries Johannot avec une suite en sanguine de tous les bois. Carlègle (1877-1937) dessinateur humoriste suisse, illustrateur, lithographe et graveur sur bois, agrémente avec élégance ces récits mondains. Légères usures à l'étui, infimes piqûres marginales dans la suite.
Librairie Chrétien
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Sand Conti 1987 Sand / Conti, 1987, 248 p., cartonnage éditeur sous jaquette, environ 325x245 mm. Bords de la jaquette froissé avec quelques déchirures sans manque, des traces d'adhésive sur la page de garde, bon état pour le reste.
Texte et photographies présentés par Michel Dewachter et Daniel Oster. Illustré d'après 70 calotypes originaux de Maxime Du Camp, par 20 documents d'archives et 15 aquarelles de Prisse d'Avennes. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
1925 Paris, Librairie Larousse, 1925. Trois volumes in-4°, 320 x 245 mm -388 pp - 412 pp et - 408 pp. Reliure de l'éditeur demi-chagrin brun, dos orné de motifs estampés à froid, titre doré, plats toilés, décor estampé à froid et titre doré au premier plat, tranches violettes. Abondante iconographie in ou hors texte en noir et blanc et en couleurs. Complet en trois volumes OUVRAGE EN BON ETAT
2000 éditions NORMA 2000 - format in 4 de 319 pages . ( 315 x 240mm ) jaquette illustrée ouvrage en parfait état. rare
représente un trait d'union entre la grande époque des décorateurs et les temps modernes. Fils et petit-fils d'ébénistes, il suit l'école Boulle avant d'entrer chez Jacques-Émile Ruhlmann. Ses équerres en porte-à-faux qui préfigurent les années 50, la chaise longue capitonnée du Salon des artistes décorateurs de 1936, son adaptation après-guerre aux techniques et aux matériaux nouveaux, sans déroger à une facture parfaite, illustrent l'alliance de modernité et de classicisme qui caractérise son travail et justifient le rôle de précurseur que lui reconnaît la critique dès ses débuts. Outre une prestigieuse clientèle privée, Maxime Old reçoit de nombreuses commandes du Mobilier National et du ministère des Affaires Etrangères, réalise les aménagements du siège de la Société des forges et ateliers du Creusot, de l'aérogare de Marignane ou du paquebot France, chantiers considérables qui l'amènent très tôt à réfléchir sur l'organisation de l'espace avec une recherche de simplicité et de perfection constante dans son oeuvre. 315x240mm
LES EDITIONS RIEDER. 15 AOUT 1936. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 433 à 576.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : HOMMAGES A MAXIME GORKIROMAIN ROLLAND s Une lettre de Maxime Gorki.ARAGON s Les jours de Gorki..G. ANNENKOV : Maxime Gorki vu par un artiste..LUC DURTAIN : Maxime Gorki, témoin..HEINRICH MANN : De Reinhardt à Piscator. « L'asilede nuit »..CHARLES VILDRAC : Gorki et la littérature prolétarienne ..SERGE MALYCHEV : Le témoignage d’un ouvrier..DUMESNiL DE GRAMQàT : Gorki et L'homme..VLADIMIR POZNER : Souvenirs. ALFRED KANTOROWICZ s Une voix allemande. DEUX INÉDITS DE MAXIME GORKIAurore ..Le grand travail des petites gens..COMMENTAIRES JEAN-RICHARD BLOCH : Espagne! Espagne!LA VIE DU MOIS JEAN CASSOU : Tolstoï et Gorki. LE ROMANROBERT HONNERT : Madame Étienne Mettraz (III).CHRONIQUESRENÉ daumal : Sur le scientisme et la révolution. JEAN ROSTAND : Une albumine qui se propage. PIERRE MOLLARD : A propos du « péril japonais » Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Victor Lecou | Paris 1853 | 13.6 x 21.5 cm | Relié
Edition originale, un des 20 exemplaires de tête sur Hollande, seul grand papier, réimposé au format in-8 (l'édition commune se présentant au format in-12). Cf. Vicaire III, 305-306. Carteret I, 222. Reliure en plein vélin ivoire rigide, dos lisse, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque. Bel exemplaire. Les bibliographes donnent 25 exemplaires, ce qui ne s'explique guère, la justification étant précisée au verso du faux-titre. Le procédé était habituel pour l'auteur (Les Six aventures, de 1857, connaîtront le même type de deux tirages). Précieux envoi autographe signé de Maxime Du Camp au célèbre critique Jules Janin (1804-1874), qui a fait ensuite apposer sa vignette ex-libris sur les premières gardes. * Le premier roman de Maxime Du Camp, et son troisième livre. Pour ce récit, l'auteur a abondamment puisé dans les souvenirs de son voyage en Orient effectué en compagnie de Gustave Flaubert : cette fiction est en quelque sorte un écho et un prolongement romanesque des Souvenirs et paysages d'Orient, premier livre de Du Camp publié en 1848, suivi en 1852 de son célèbre album photographique Égypte, Nubie, Palestine et Syrie. "Ouvrage fortement empreint d'autobiographie, le Livre posthume est la confession romancée de la première jeunesse de Maxime Du Camp, celle de 1848. Par une belle nuit étoilée, notre écrivain se lie avec un jeune voyageur prématurément usé par les passions et qui promène dans le désert d'Égypte un incurable ennui et une hantise désespérée de la mort. Quelque temps plus tard, Jean-Marc (c'est son nom) se suicide non sans avoir écrit ces mémoires que Maxime Du Camp est censé publier. On ne peut manquer d'évoquer le Livre posthume sans rappeler l'importance du lien qui unissait Maxime Du Camp et Gustave Flaubert dans leur jeunesse. On sait qu'ils se rencontrèrent et devinrent de grands amis en 1843, qu'ils voyagèrent ensemble en Bretagne, à l'été 1847, puis en Orient, de novembre 1849 à mai 1851, et enfin, qu'ils commencèrent à s'éloigner l'un de l'autre à leur retour de voyage. Intimement lié au souvenir de cette longue aventure, à l'Orient qui domine alors la pensée de Du Camp et fascine son imagination, le Livre posthume n'est pas l'oeuvre qu'il dédia à son compagnon de voyage mais celle où le souvenir, l'influence et même l'imitation de Flaubert furent les plus manifestes. Tel est le point de vue d'Edmond Maynial qui, en 1927, à partir des Souvenirs littéraires, des Notes de voyage et de la correspondance de Flaubert, démontra que toute la partie orientale du récit de Du Camp était conforme à la réalité () Plus révélatrice, la comparaison avec Novembre de Flaubert, alors inédit, mais que Du Camp connaissait () Au milieu des déceptions que ne leur ménage point la réalité, le héros de Novembre comme celui du Livre posthume éprouvent de périodiques aspirations vers les terres de lumière, vers le mirage des antiques et pittoresques civilisations : Égypte, Inde, Chine" - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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