Monte Carlo Pastorelly 1993 Grand In 8 Reliure bleue marine avec motif floral frappé en creux repris en dos . Tranche supérieure dorée . Imprimé en grosses lettres sur papier bien blanc . Illustré des Aquarelles de Suzanne Ballivet hors-texte , douces et en couleurs ( Marseille ) . En fin d'ouvrage : Les photographies sélectionnées du film avec Raimu . ( Commandées nos autres livres du même auteur dans la même collection pour un seul prix de port ) . Théâtre .- 314 p. , 800 gr.
Reference : 021718
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Au vert paradis du livre
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1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
[Muséum d'Histoire Naturelle de Bordeaux] - Collectif ; Muséum d'Histoire Naturelle de Bordeaux ; ROCHER, Philippe ; CHAPIN-AUDINET
Reference : 62340
(1982)
10 vol. à savoir 7 vol. petit in-8 br.,Muséum d'Histoire Naturelle de Bordeaux : Quand vivaient les Dinosaures... 1982, 31 pp. - Quels étaient les Animaux de la Préhistoire ? à Pair-non-Pair, en Gironde, 1986, 101 pp. - Ver à Soir. Vers la Soie, 1990, 101 pp. - Bois et Cornes, 1991, 53 pp. - Centenaire de "Miss Fanny". Eléphant au Muséum, 1992, 59 pp. et 2 vol. in-4 br., Document pédagogique destiné aux enseignants : La Chauve-Souris ... et l'Homme, 1991 ; Animaux des Amériques 500 ans de découvertes, 1992 ; Muséum de Bordeaux, par Chapin-Audinet, L'Horizon Chimérique, 1990, 15 pp. [ Livre dédicacé par l'auteur ]
Bon ensemble, non séparable.
[Gaston Barré] - MAC ORLAN, Pierre [Pierre DUMARCHEY, pseudonyme]
Reference : AMO-584
(1951)
par Pierre Mac Orlan de l'Académie Goncourt. Pointes-sèches de Gaston Barret. Editions Vialetay, 1951 1 volume in-4 (28,5 x 19,5 cm), en feuilles, sous couverture imprimée et emboîtage de l'éditeur. Excellent état. Emboîtage légèrement passé. TIRAGE A 306 EXEMPLAIRES. 20 POINTES SÈCHES MISES EN COULEURS AU POCHOIR (dont 10 hors-texte). CELUI-CI, 1 DES 50 EXEMPLAIRES SUR PAPIER DE RIVES AVEC SUITE DES 20 POINTES SÈCHES EN SÉPIA AVEC REMARQUES. EXEMPLAIRE SIGNÉ PAR PIERRE MAC ORLAN ET GASTON BARRET A LA JUSTIFICATION DU TIRAGE.
Fanny Hill est une coquine. Elle naquit en 1790 dans un petit village de la Somme. À dix ans, ses parents étant morts de la petite vérole, elle rencontre un vagabond qui l'initie à des procédés qui ne sont pas de son âge. Bientôt, nous la retrouvons à Boulogne. Elle est la maîtresse du matelot La Carline, un joyeux drôle qui lui fait connaître Mylord Coloquinte. C'est ainsi que la fillette passe en Angleterre. Trois ans de concubinage avec Mylord Coloquinte, espion britannique, c'est beaucoup. Fanny l'empoisonne. La voilà lâchée dans Londres. Après quelques années de misère dans le sordide quartier de Whapping, elle a l'idée d'aller à King's Place, centre luxueux de la vie galante londonienne. À King's Place, les «maisons» sont accueillantes. Fanny Hill fait fortune. Elle parvient même à avoir une de ces maisons à elle. Mais ses aventures pour autant ne sont pas finies." (Quatrième de couverture, Coll. Folio Gallimard, 1986). "Si j'ai emprunté pour écrire ce récit le nom de l'héroïne d'un obscur ouvrage de John Cleland, ce n'est pas pour rendre hommage à ce livre médiocre. Fanny Hill est un joli nom pour une fille perdue, dans le genre de ces coquines qui fréquentaient chez les « abbesses » de King's Place. Moll Flanders est aussi un très joli nom pour un personnage de cette catégorie mais la jeune et la vieille Moll Flanders vivent toujours sous la protection de Marcel Schwob. Elles ne sont pas encore tombées dans le domaine public, ce domaine public dont la jeune Molly fut la servante jusqu'à un âge avancé. J'ai donc adopté Fanny et je ne dois rien à son auteur. Miss Fanny Hill n'est pas une héroïne, purement littéraire. Elle dut fréquenter Malborough Street en compagnie des Nelly Elliot, de Kitty Fredrick, de Clara Hayward. Une liste complète de ces dames serait trop longue à établir. La certitude que Miss Hill n'est pas un simple produit de la plume et de l'encrier de Cleland me permet de la faire revivre selon les lois de la vie." (extrait de la préface de Mac Orlan). L'illustration de Gaston Barret est très vivante et très sensuelle. Elle évoque parfaitement le milieu dans lequel évolue l'héroïne de ce roman. BEL EXEMPLAIRE DE CE JOLI LIVRE ILLUSTRÉ.
Phone number : 06 79 90 96 36
cartonné, 22 x 33,5 cm, 200 pages
Catalogue de l'exposition Fanny Viollet ou les métamorphoses du fil, du 4 octobre au 5 novembre 2022 à la Librairie Métamorphoses. Un livre consacré au travail inventif, insolent, bigarré, original, candide, arachnéen, malicieux et subversif de Fanny Viollet. Du fil multicolore, des ciseaux et une machine à coudre, libérée de ses carcans et comme désinhibée par l’audace de l’artiste : cela suffit à Fanny Viollet pour élaborer des compositions où textes et images, souvent mêlés ou heureusement hybridés, forment une sorte d’éloge de la créativité au quotidien ; une célébration de la noblesse de l’artisanat, des travaux de couture enfin libérés du joug patriarcal, de la poésie « involontaire » ou « intentionnelle », de la présence du temps...
23/07/1968 Répondant à la lettre de son correspondant, Fanny Robiane sexclame …Vous mécrivez « appréciant tout particulièrement votre ?uvre »… comme cest vilain de mentir !... Elle précise …Artiste dramatique je me contente dinterpréter les ?uvres des autres… Enfin …voilà tout de même un autographe…Dotée dune belle voix et dune forte présence scénique, Fanny Robiane fut tragédienne à lOdéon depuis la fin des années 1920 jusque dans les années 1970.