Photographie originale montrant Curnonsky (13,2 cm x 18 cm). Photographie prise à la baraque hôtelière d’Orly montrant «le prince des gastronomes» à table devant des plateaux de pâtisseries. Dédicace autographe : « au charmant confrère Gaëtan Sanvoisin de tout Cur ( sic), son vieux prince Curnonsky ( le gas d’Anjou Sailland) ».
Reference : 35601238
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TRÈS BELLE DAMITIÉ À UN CONFRÈRE, DATÉE DE 1895.Curnonsky alors âgé de 23 ans, est chroniqueur pour divers journaux et lun des « nègres » de Willy, le mari de Colette, auquel il avait été présenté par les frères Veber…...Avant de prendre une large part aux acclamations collectives dont le Gil Blas fera retentir samedi les bords de la Seine, je voudrais vous dire simplement toute la joie que ma donnée la consécration officielle de votre noble et fier talent qui mavait appris à vous aimer avant de vous connaître...Lorsque jai eu lhonneur de vous être présenté par notre charmant ami Veber, vous vous êtes montré tout de suite si aimable et si accueillant pour moi, que je suis heureux de pouvoir vous en témoigner aujourdhui toute ma gratitude… Létonnant capitaine de dragons dont je vous avais parlé, vous savez… celui qui mavait maudit pour avoir introduit lEnnemi, dans la bibliothèque des officiers de mon régiment ?… vient lui-même de samender (...) : il vous a lu ! et il a pu constater, avec une joyeuse surprise, que lEnnemi nest pas, comme il ma confessé lavoir toujours cru, un réquisitoire contre larmée. Voilà encore un brave homme dont vous avez conquis lestime !… Dautant plus quil fut propriétaire de vignobles phylloxerés jusquà la moelle... Quant à moi, qui vous connaissais davance, jai ressenti, en apprenant votre promotion dans un Ordre qui shonore dadmettre des hommes tels que vous, un très vif et très sincère enthousiasme, que partageront, jen suis sûr, tous ceux qui ont encore le droit de se dire des jeunes… Lenthousiasme nest il pas de notre âge ? Et puis vous mavez fourni, mon cher maître, le plus décisif argument en faveur de lutilité des ministres. Je sens que je commence à croire à la justice humaine… et je vous dois ainsi une sensation bien rare et bien précieuse ! Comme je vous aurais dit cela très mal à notre réunion de samedi prochain, jai tenu à vous lécrire, et jose espérer que vous ne verrez dans ma lettre quune preuve de la très respectueuse affection et de la profonde sympathie littéraire de votre jeune collaborateur... Désirant devenir journaliste, Curnonsky sinstalle à Paris à lâge de 18 ans pour préparer lÉcole normale supérieure. Commençant à rédiger des articles pour des journaux, Alphonse Allais lui conseille de sinventer un pseudonyme. Il travaille dabord au journal Gil Blas avec Tristan Bernard et les deux frères Veber, Pierre et Jean, ce dernier un peintre et illustrateur de presse.Curnonsky, connu pour ses chroniques gastronomiques fonda en 1911, l'Académie Gastronomique et en 1922 l'Académie des psychologues du goût.
La Passiflorine, PARIS Nos vieux restaurants commentés par Curnonsky , illustré et non paginé,1933, In-4, br., non coupé, couverture illustrée,
manque de texte rognures aux dernieres pages,dans l’etat, Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
2007 München, 2007, 3 vol. in 4 br. de 320 pp., 320 pp., 320 pp., ex. neuf.
Éd. orig. de cette publication des archives de Curnonsky. Tous les textes en français, illustrations en couleurs, photos, lettres et cartes de menu, brochés , abondante iconographie. Die ersten drei Bände aus dem Nachlass des berühmten Gourmets, Gastronomen und Gastrokritkers der Belle Epoque (aufgefunden von Inge Huber), viele farbige Abbildungen (Fotos, Plakaten, Briefen, Menukarten u.a.). Texte in französischer Sprache.
Sans date 1 page et demi in-12 (90 x 140)
Très intéressante carte postale manuscrite de Paul-Jean Toulet.Recto de la carte présentant le gardien du poste sémaphorique examinant l’horizon à Guéthary, ville où il s’installa avec son épouse Marie Vergon en 1916. Les deux faces de la carte postale sont couvertes de la fine écriture serrée de Paul-Jean Toulet, au crayon violet.Cette carte postale est visiblement adressée à son compère de toujours Maurice-Edmond Saillant plus connu sous le pseudonyme de Curnonsky le prince des gastronomes. Toulet lui demande de lui faire parvenir divers journaux : « On ne s’embête pas trop. J’espère que vous penserez à me mettre de côté pour me les porter ici au retour les gazettes que vous achèterez à St Jean - et qu’avant d’y partir vous m’enverrez un dernier ballot de Paris. Vous savez quel plaisir vous me faites avec ces journaux. »Il est également question d’un problème avec l’éditeur Méricant « Il ne faut pas renouveler pour la Bourse, il faut la retirer. Le bouquin ayant paru, pourquoi Méricant ne paye-t-il pas ? - Si ça vous ennui d’en faire l’envoi (de la Bourse) gardez-la jusqu’à votre passage. » Toulet et Curnonsky participèrent à l’écriture de deux ouvrages publiés chez Méricant : Demi-veuve en 1905 paru sous le nom de Curnonsky et Maugis en Ménage en 1910 paru sous le nom de Willy. Affiche librairie, Steinlen, Publicité
Reference : 20391
Paris, "Cuisine et vins de France", janvier 1952. Broché, couverture illustrée. in-4 de 31 pages, texte sur 2 ou 3 colonnes, Photos, illustrations (portrait de Curnonsky).
Le temps et la cuisine, par Curnonsky. - Janvier gastronomique, par Edouard de Pomiane, Les Etats-Généraux de la gastronomie française à Dijon, par Paul-Emile Cadilhac. - A Saulieu chez Dumaine. - Napoléon à table. - A Vouvray avec les Chevaliers de la Chantepleure. - Les vignobles de Saint-Emilion. Etc... Le gastronome Curnonsky était Président d'Honneur de cette revue.
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