‎Encyclopédie Par l' Image‎
‎La T.S.F.‎

‎ Librairie Hachette broché Couverture Illustrée 1924 64 pages en format 16.5 - 24 cm - nombreuses photos en N/B ‎

Reference : 012669


‎Bon État ‎

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‎[Samivel] - ‎ ‎Samivel ‎

Reference : yam0590

(1938)

‎Canard‎

‎in-4 relié cartonnage illustré éditeur en bon état Rousseurs éparses 40 pages Dédicace anonyme en page de garde Delagrave‎


La Yamouna - Vannes

Phone number : 02 97 54 17 30

EUR250.00 (€250.00 )

‎[Manuscrit autographe, au crayon, signé et daté « Georges Simenon, Shadow Rock Farm, Lakeville, 31 octobre 1950 ». Il se présente en deux blocs de correspondance, chacun numéroté en marge supérieure droite de la couverture « 1 » et « 2 ». Le premier contient les chapitres I à V, les 30 pages sont numérotées en marge supérieure droite ; le second contient la fin du chapitre V jusqu'au dernier chapitre (IX). ] - ‎ ‎SIMENON (Georges)‎

Reference : 26611

(1950)

‎« L'auberge d'Ingrannes » [Le temps d'Anaïs]‎

‎ Lakeville, 31 octobre 1950. 51 pages en 2 parties (204 x 255 mm) sur papier « R-B Big 10-Special Tablet » + 1 enveloppe de la marque « The American Paper Goods Company » (165 x 240 mm) avec notes à l’encre noire, au crayon de couleur rouge et à la mine de plomb. Manuscrit autographe, au crayon, signé et daté "Georges Simenon, Shadow Rock Farm, Lakeville, 31 octobre 1950". Il se présente en deux bloc de correspondance, chacun numéroté en marge supérieure droite de la couverture "1" et "2". Le premier contient les chapitres I à V, les 30 pages sont numérotées en marge supérieure droite ; le second contient la fin du chapitre V jusqu'au dernier chapitre (IX).‎


‎Juillet 1950 : Georges Simenon s’installe, avec sa femme Denyse et leur fils John, à « Shadow rock Farm », un ranch situé à Lakeville, dans le Connecticut. Il y restera cinq années, pendant lesquelles il va écrire certains de ses grands « romans durs » (outre Le Temps d’Anaïs, citons Une vie comme neuve, La Mort de Belle, Les Frères Rico, L’Escalier de fer, Feux rouges, L’Horloger d’Everton, Le Grand Bob, Les Témoins), ainsi que quelques-uns des meilleurs Maigret : Maigret au Picratt’s, Maigret et la Grande Perche, Maigret et l’Homme du banc, Maigret se trompe ou Maigret et la Jeune Morte. Le premier livre qu’il y rédige, savourant la douceur de son nouveau mariage avec Denyse et les joies de la paternité, est Le Temps d’Anaïs, trois mois après leur installation ; et ce n’est pas un hasard s’il situe ce roman à Ingrannes – pensant même nommer le roman L’Auberge d’Ingrannes –, un lieu où Simenon avait emménagé, presque jour pour jour, quinze ans auparavant : nous sommes fin 1934 et Tigy et Georges Simenon veulent quitter le château de Marsilly. Ils parcourent la France à la recherche de la perle rare, en vain, mais repèrent bientôt une abbaye attenant à un petit château, la Cour-Dieu, au cœur de la forêt. Ils logent pendant ce séjour à l’auberge toute proche du village d’Ingrannes. Simenon ne restera à la Cour-Dieu que le temps d’écrire trois romans (Faubourg, Quartier nègre et Les Demoiselles de Concarneau) et des nouvelles. Trois années dans l’Orléanais, où il arpente le territoire, rencontre ses habitants et épouse la géographie locale, afin de chercher la matière de son œuvre. Il sera également séduit par ses balades en bord de Loire et notamment par la ville de Meung-sur-Loire, où il installera la résidence secondaire de Maigret : le commissaire aimera venir s’y reposer et pêcher. La forêt d’Orléans et l’auberge d’Ingrannes lui reviennent en mémoire quinze plus tard, quand il rédige son premier roman dans la nouvelle maison de Lakeville. Le manuscrit autographe, complet, est rédigé entièrement au crayon, d’une écriture fine, nerveuse et sûre, rapide et très serrée, sans marge, occupant toute la page, au recto de 51 feuillets de deux blocs de papier vélin, avec son feuillet de papier ligné. Les manuscrits entièrement autographes de Georges Simenon, adepte de la machine à écrire, sont rares. Celui-ci a été rédigé en quelques jours, du 24 octobre au 1er novembre, presque d’une seule traite, et presque sans corrections, qui confirment et démontrent sa grande maîtrise. Un dactylogramme de 172 feuillets a été composé dans la foulée – Simenon avait pour habitude de dactylographier le chapitre du jour, chaque lendemain matin, avec beaucoup de changements, laissant ses manuscrits fort peu corrigés et de premier jet. Une enveloppe cachetée jaune (165 x 244 mm) lui a servi comme à l’accoutumée de conducteur où figure la liste des personnages du roman en cours de rédaction. Elle est ici exceptionnellement conservée. Seulement une vingtaine d’enveloppes de ce type sont conservées au Fonds Simenon de Liège, principalement pour des manuscrits d’ouvrages parus chez Fayard et Gallimard : La Veuve Couderc, Les Demoiselles de Concarneau, Touriste de bananes, Le Suspect, Malempin, Le Haut Mal, Les Rescapés du Télémaque, Le Relais d’Alsace, Quartier nègre, Le Passager du Polarlys, L’Outlaw, Oncle Charles s’est enfermé, La Marie du port, Le Locataire, Il pleut, bergère… Seules deux enveloppes sont connues pour la période américaine : celle-ci et une autre pour le manuscrit de La Mort de Belle, strictement identique, sur le même papier. Les autres romans, directement dactylographiés, ne les ont pas. Pendant plus de trente ans, l’enveloppe jaune sera rituelle dans le travail de l’écrivain lorsqu’il débute un roman : première trace de son travail, il y inscrit les premiers éléments concrets qui l’aident à appréhender ses personnages et à guider son intrigue. Elle est ici titrée L’Auberge d’Ingrannes (Le Temps d’Anaïs) qui prouve bien que Simenon hésitait depuis le début entre ces deux titres. Elle porte également les mentions d’Orléans, Vitry-aux-Loges – commune de la forêt d’Orléans, non loin d’Ingrannes. Suivent, au recto, quelques personnages, leurs âges et adresses « romanesques », et d’abord le « héros » du roman, « Albert Bauche, 28 ans, [27 dans le livre], quai d’Auteuil, marié à Fernande (…) », « Serge Nicolas [la victime dans le roman, directeur de la] C.I.F. (Compagnie internationale du Film), Champs-Élysées (…) Raoul et Antoinette Bauche ([les parents d’Albert], droguerie en gros à Montpellier. Meurt à 52 ans. 1928, 52 ans, 19 ans pour Albert (…) etc.] ». Au verso, une longue liste d’autres personnages - une trentaine -, avec quelques autres notes sur leurs filiations. Ils ne seront pas tous caractérisés dans le roman. Le texte de L’Auberge d’Ingrannes - sous ce titre - sera d’abord publié en feuilleton dans Le Populaire de Paris, du 19 février au 4 avril 1951, puis, la même année aux Presses de la Cité, sous le titre Le temps d’Anaïs. ‎

Librairie Walden - Orléans
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Phone number : 09 54 22 34 75

EUR20,000.00 (€20,000.00 )

‎[Précieux manuscrit, complet et unique, d'un des plus beaux recueils poétiques de René Char, offert à Anne Reinbold.Reliure souple en veau estampé de Louis Bescond. ] - ‎ ‎CHAR (René)‎

Reference : 26614

(1968)

‎Le Chien de coeur‎

‎ Les Busclats, 8 octobre 1968. 1 vol. (170 x 215 mm) 2 f., 38 p. et 3 f. Reliure souple à la Vernier en veau naturel teinté violet estampé d'une eau-forte originale composée à partir des pages manuscrites de l'auteur, tranches dorées sur témoins à l'or blanc par Jean-Luc Bongrain, gardes de chèvre velours violet, chemise et étui entièrement bordé assortis, titre à la chinoise sur la chemise au film crème, par Claude Ribal (reliure signée de Louise Bescond, 2022). Précieux manuscrit offert à Anne Reinbold, et daté « Les Busclats 8 octobre 1968 – Pour Anne, Anne ma présente. René Char ». Les poèmes occupent 18 feuillets manuscrits numérotés 1 à 14 comportant un faux-titre, un titre, « Dans la nuit… », les poèmes « Crible », « Outrage », « Encart », « Les apparitions dédaignées », « Même si… », « Le Baiser », le texte « En cette fin des Temps… » et un feuillet de date et d’envoi. À la suite, a été relié le jeu d’épreuves définitif et le bon à tirer, signé et daté par l’auteur « Épreuves. Bon à tirer. R.C. Nov. 69 », soit 20 feuillets imprimés. René Char y a apporté des corrections d’ordre typographique et deux variantes aux poèmes « Les Apparitions » et « Même si… ». Enfin les deux vers de la dernière page des épreuves : « Maintenant que nous sommes délivrés de l’espérance et que la veillée fraîchit » ont été biffés. ‎


‎Ce manuscrit autographe est le seul connu du texte : il existe du Chien de coeur un ensemble « de travail » (Artcurial, mars 2014, n° 333), en partie d'une autre main ou sur feuillets dactylographiés - Char étant encore alité au début de l'été lorsqu'il entreprend l'écriture des premiers poèmes, tous composés entre juin et août à l'exception d'« Outrages », composés par bribes entre 1944 et 1967. Notre manuscrit est à l'évidence la version mise au propre de ce jeu de travail, composite et rédigé dans l'intention de constituer les épreuves à venir. Il présente d'importantes variantes par rapport à l'édition qui sera imprimée chez Guy Levis-Mano en janvier 1969. Six mois plus tôt, en mai 1968, à l'écart des événements qui secouent la France, René Char fait une crise cardiaque, première d'une longue série d'accidents cardiovasculaires. Il évoque cette « expérience » dans le texte liminaire qui ouvre le recueil : « Dans la nuit du 3 au 4 mai 1968, la foudre que j'avais si souvent regardée avec envie dans le ciel éclata dans ma tête, m'offrant sur un fond de ténèbres propres à moi le visage aérien de l'éclair emprunté à l'orage le plus matériel qui fut. Je crus que la mort venait, mais une mort où, comblé par une compréhension sans exemple, j'aurais encore un pas à faire avant de m'endormir, d'être rendu éparpillé à l'univers pour toujours. Le chien de coeur n'avait pas geint. » Le recueil donne ensuite à lire six poèmes, tous composés pendant l'été, aux Busclats, juste avant l'arrivée de Martin Heidegger qui sera accueilli par René Char fin août. René Char et Anne Reinbold habitaient ensemble dans la propriété de 1965 à 1985. L'exemplaire contient en fin, dans les épreuves, quelques corrections, principalement d'ordre typo¬graphiques, et de légères variantes au texte ; un paragraphe prévu pour clore le recueil est également biffé, et qui n'apparaîtra pas dans le volume imprimé : « Maintenant que nous sommes délivrés de l'espérance et que la veillée fraîchit » : ces vers sont d'importance, puisque Char les conservera pour les intégrer dans son dernier recueil, Les Voisinages de Van Gogh (1985), enrichi d'un vers supplémentaire : « Maintenant que nous sommes délivrés de l'espérance et que la veillée fraîchit, nul champ sanglant derrière nous, tel celui que laisserait un chirurgien peu scrupuleux, au final de son ouvrage. » Ce poème viendra clore le recueil et constitue le tout dernier vers publié de Char, quelques mois avant sa mort. Vingt-cinq plus tôt, le poète avait décidé de ne pas les conserver pour clore Le Chien de coeur. L'heure n'était, en 1968, pas venue... Le tirage du Chien de coeur se limite, pour les exemplaires sans la lithographie originale de Miro, à 790 exemplaires sur offset Roberstsau. Le tirage numéroté avec une lithographie en couleurs de Joan Miró, signée, constitue le tirage de tête : 95 exemplaires sur vélin d'Arches et six exemplaires sur vélin gris (I à VI) ; il existe en outre 15 exemplaires hors commerce sur divers papiers colorés : 7 vergé rose (A à G) et 8 sur vélin vert (H à O). Magnifique manuscrit préservé dans une délicate reliure de Louise Bescond, en veau teinté et estampé d'après les poèmes autographes du poète. ‎

Librairie Walden - Orléans
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Phone number : 09 54 22 34 75

EUR15,000.00 (€15,000.00 )

‎[Édition originale. Un des 20 premiers exemplaires sur Arches.Envoi signé à Roger Bonon. Délicate reliure de Pierre-Lucien Martin. ] - ‎ ‎CHAR (René)‎

Reference : 26619

(1936)

‎Moulin premier‎

‎ Paris, G.L.M., (31 décembre) 1936. 1 vol. (125 x 165 mm) non paginé. Box gris, décor mosaïqué en relief aux plats et sur le dos, doublures et gardes chèvre velours, titre doré, tranches dorées sur témoins, chemise et étui bordés (reliure signée de P.-L. Martin, 1985). Édition originale. Un des 20 premiers exemplaires sur Arches, celui-ci hors commerce. Envoi signé : « à Roger Bonon avec les sentiments amicaux de René Char ». ‎


‎Belle provenance typographique que celle de Roger Bonon : il fut l'assistant de Guy Lévis Mano, lorsque ce dernier, en 1934, prit la gérance de la « Librairie 79 », avenue de Ségur. Lévis Mano y disposait d'un local suffisamment vaste pour y installer une presse plus importante que dans sa propre chambre, où il réalisait jusque-là toutes ses impressions. Il fit l'acquisition l'année suivante d'une Minerve à pédale, rachetée à Nancy Cunard, qui avait cessé ses activités avec The Hours Press depuis 1931. Avec ce nouveau matériel, il réalise l'impression d'éditions plus soignées, dont celle de Moulin premier, publié grâce à l'appui financier de Paul Éluard, et avec l'aide de Roger Bonon. En septembre 1939, les deux typographes furent mobilisés et on ferma l'atelier. Bonon n'y reviendra jamais, puisqu'il disparut en mer à la bataille de Dunkerque ; René Char lui dédiera « Éléments », un des poèmes de Seuls demeurent. Très bel exemplaire. De la bibliothèque du docteur genevois Christos Karagevrekis, par ailleurs commanditaire de cette reliure. ‎

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EUR7,000.00 (€7,000.00 )

‎[Édition originale. Tirage unique à 50 exemplaires sur Arches. Exemplaire offert à Pablo Picasso.] - ‎ ‎CHAR (René) [PICASSO]‎

Reference : 26670

(1960)

‎Les Dentelles de Montmirail‎

‎ Lisle-sur-Sorgue et Alès, PAB, été 1960. 1 vol. (210 x 260 mm) de 23 p. et 5 planches. En feuilles, couverture imprimée. Édition originale. Illustré de 5 empreintes naturelles composée par Picasso. Tirage unique à 50 exemplaires sur Arches, celui-ci justifié à l’encre par l’auteur : « Exemplaire de Picasso R.C. »‎


‎Les pierres et le fer qui ont servis aux empreintes ont été trouvés dans les monts du Vaucluse par René Char, PAB et Jacques Polge, sur le site du massif des « Dentelles de Montmirail » (du latin « mons mirabilis » signifiant « mont ou montagne admirable »). Le lieu tient son nom de l'érosion qui a façonné la forme de ces montagnes de telle façon que la roche, taillée par le temps, semble ciselée comme un ruban dentelé à la silhouette unique. Elles se situent aux premiers abords du Mont Ventoux, dans le Vaucluse, à une trentaine de kilomètres de Lisle-sur-la-Sorgue, où Char résidait. Les Dentelles de Montmirail sont publiées au même moment, pendant l'été 1960 ; Picasso séjourne alors à Cannes, en compagnie de Jacqueline Roque, qu'il allait épouser l'année suivante. Cette dédicace est l'une des premières marques d'une amitié et d'une association naissante que la mort de Braque, en 1963, renforceront. Si les premiers échanges datent d'avant-guerre, par l'intermédiaire d'Eluard, ce n'est qu'à partir de 1958 que Char et Picasso collaboreront. Eluard disparu, c'est essentiellement grâce à la persévérance de Pierre André Benoit que les contacts se renouent et que Picasso accepte, en marge des grands illustrés qu'il donne chez Broder, de collaborer aux minuscules de PAB, grâce au procédé des celluloïds : " lorsque PAB rencontre Picasso en 1956, il a 35 ans, Picasso en a 75. En mai 1956, pour illustrer un texte de jeunesse de René Crevel, compagnon de route des surréalistes, que Picasso répond à PAB, lui retournant par la poste, sans un mot, la minuscule plaque de celluloïd gravée d'un visage. Ce sera Nuit. Picasso, lui si célèbre et si sollicité, pourquoi répond-il finalement à ce jeune éditeur cévenol ? Peut-être parce que PAB propose des textes de personnes proches de Picasso, ou de personnes qui l'ont été : Crevel, Tzara, René Char... Mais PAB sait aussi le séduire en l'invitant à jouer avec des techniques nouvelles : le celluloïd puis la cartalégraphie. Il interpelle Picasso qui a le goût du défi technique, insistant toujours dans ses courriers sur l'aspect ludique, « amusant » de ses propositions : « voyez si mon projet vous chante » lui écrit-il le 7 mai 1958, en lui adressant le poème L'Escalier de Flore de René Char. " (Picasso et le livre d'artiste, Exposition 2018, préface). Char préfacera en 1973 le catalogue de l'exposition Picasso à Avignon, qui paraîtra juste après la mort du peintre, le 8 avril 1973. C'est au total dix-sept livres que PAB réalise avec Picasso entre 1956 et 1974, ce qui fait de lui l'éditeur avec qui l'artiste a le plus collaboré. ‎

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