Paris, Félix Juven, éditeur, [1901], in-8, VIII-318 pp, Demi-toile bleue à la bradel, dos long orné de filets et d'un fleuron doré, pièce de titre rouge, tête mouchetée, couverture conservée, Édition originale du premier ouvrage de l'auteur. Petits frottements et taches au cartonnage. Bon état intérieur. Ex-libris héraldique de la famille Autier de La Villemontée. Couverture rigide
Reference : 100049
Bon VIII-318 pp.
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Paris. Félix Juven. S. d. (1901). Edition originale. In-12 (120 x 185mm) broché couverture bleue illustrée d'un semis d'ancres de marine blanches, VIII, 318 pages. Couverture un peu fatiguée, dos réparé au scotch dans sa partie inférieure, des rousseurs exemplaire en état moyen.
Olivier Diraison, naît à Plouescat, place des Halles en 1873. Entré à l'École Navale sur le Borda en 1891, il y devient aspirant en 1893. Affecté à Toulon en 1896, puis à Madagascar, il apprend en 1898, le naufrage du croiseur Lapérouse, dû à l'impéritie de son commandant. La désillusion et l'indignation lui inspirent, sous le pseudonyme de Seylor, Les Maritimes, qui connaissent un grand succès en librairie, mais provoquent un scandale dans la marine (car les noms des protagonistes étaient à peine camouflés). Diraison est jugé à la préfecture maritime de Brest pour faute grave contre la discipline; il est réformé en 1901 et retourne à la vie civile. Il se consacre à une carrière littéraire, publiant une douzaine d'ouvrages... Lorsque la guerre éclate il refuse sa réintégration dans la marine et s'engage dans l'infanterie. Promu lieutenant; il meurt de ses blessures au combat en 1916. (Tiré de Topic Topos).
Paris. Félix Juven. S. d. (1901). Edition originale. In-12 (123 x 186mm) dos chagrin rouge à 5 nerfs, plats et gardes jaspés, tête dorée, VIII, 318 pages. Bords de feuilles un peu insolés sinon assez bel exemplaire, bien relié.
Olivier Diraison, naît à Plouescat, place des Halles en 1873. Entré à l'École Navale sur le Borda en 1891, il y devient aspirant en 1893. Affecté à Toulon en 1896, puis à Madagascar, il apprend en 1898, le naufrage du croiseur Lapérouse, dû à l'impéritie de son commandant. La désillusion et l'indignation lui inspirent, sous le pseudonyme de Seylor, Les Maritimes, qui connaissent un grand succès en librairie, mais provoquent un scandale dans la marine (car les noms des protagonistes étaient à peine camouflés). Diraison est jugé à la préfecture maritime de Brest pour faute grave contre la discipline; il est réformé en 1901 et retourne à la vie civile. Il se consacre à une carrière littéraire, publiant une douzaine d'ouvrages... Lorsque la guerre éclate il refuse sa réintégration dans la marine et s'engage dans l'infanterie. Promu lieutenant; il meurt de ses blessures au combat en 1916. (Tiré de Topic Topos).
Couverture souple. Broché. 17 x 24 cm. 136 pages. Papier bruni.
Livre. Illustrations de R. Perrette. Editions Albin Michel (Collection : Le Roman-Succès N° 49), 1917.
Albin Michel. Non daté. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Papier jauni. 136 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Plats passés, 1er plat déchiré.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Illust. R. Perrette. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Paris Félix Juven 1901 1 vol. relié in-12, demi-basane verte, dos à nerfs orné de fleurons dorés, VIII + 318 pp. (dos insolé, avec de petites épidermures). Edition originale de ce roman d'apprentissage paru sous pseudonyme, par un élève de l'École navale, témoin en 1898 du naufrage du croiseur Lapérouse à Madagascar. Il s'agit du premier livre d'Olivier Diraison (né à Plouescat en 1873), qui lui valut d'être jugé à la préfecture maritime de Brest pour faute grave et réformé en 1901. Tombé au front en 1916, le nom de l'auteur est inscrit au Panthéon parmi la liste des écrivains morts pour la France. Préface de Paul Adam. Bon exemplaire.