En Avant ! Salonique, Éditions du Cocorico, 1916. Broché, 16 cm x 22 cm, 12 pages., Poème de Emile Thomas, adaptation théâtrale de Jean de Nayerhoffen représentée au Cinéma-Pathé de Salonique le 9 mars 1916. Très bon état
Reference : 22265
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1799 Paris, Didot jeune, an septième [1799]. Sept volumes in-8 (140 X 220 mm) et un atlas in-folio (272 X 440 mm) maroquin bleu-vert à grain long, encadrement de large dentelle dorée et roulette à froid sur les plats, dos cinq nerfs plats ornés et sertis de filets dorés, fleurons à froid et dorés dans les compartiments, guirlandes en queue et tête, coupes et coiffes ornées, bordure intérieure à froid dans un encadrement de filets dorés, tranches dorées (Simier, relieur du roi). Tome I : VIII pages, portrait frontispice, CLII pages, 367 pages - Tome II : (1) f. blanc et (2) ff. de titre et table des chapitres, 517 pages - Tome III : (1) f. blanc et (2) ff. de titre et table des chapitres, 496 pages - Tome IV : VIII pages, 507 pages, (1) f. blanc - Tome V : VIII pages, 495 pages, (1) f. blanc - Tome VI : VIII pages, 454 pages, (1) f. blanc - Tome VII : VIII pages, 552 pages, (1) f. blanc - ATLAS : portrait, 56 pages, IV pages, (1) f. d'explication des médailles, 1 planche de médaille au format grand in-octavo (206 X 280 mm), 36 planches. Ex-libris non identifié : cachet héraldique encré sur les faux-titre des volumes de texte et de l'atlas. Décolorations et quelques frottements et défauts d'usage aux reliures, coiffes de l'atlas habilement restaurées et ses gardes renouvelées, les tomes II et III ont été reliés sans les faux-titre, le tome I sans le premier feuillet blanc.
QUATRIÈME ÉDITION, la dernière revue et augmentée par l'auteur, la plus complète et l'une des plus belles de ce récit de voyage imaginaire servant de prétexte à une excellente histoire de la Grèce antique. Elle a été réalisée sur les presses de DIDOT jeune. UN DES CINQUANTE EXEMPLAIRES NUMÉROTÉS ET IMPRIMÉS SUR PAPIER VERGÉ DE HOLLANDE (n°31), seul tirage de luxe. L'atlas contient 36 PLANCHES de cartes et vues gravées sur cuivre, les délimitations de 9 cartes ayant été coloriées. Ce tirage de luxe est enrichi dans l'atlas de DEUX PORTRAITS de l'abbé Barthélemy : un en frontispice par Langlois d'après le buste d'Houdon et l'autre dans une planche hors-texte au format grand in-octavo insérée avant le feuillet d'explication des médailles dessiné et gravé par A. Saint-Aubin d'après la médaille de Duvivier. L'atlas comporte également 50 pages d'analyse critique des cartes de J. D. Barbié du Bocage, deux pages d'une note relative à la planche représentant les deux frontons du Parthénon, quatre pages d'une pièce en vers adressée par Fontanes à l'abbé Barthélemy et une page de description des médailles. La table annonce 40 planches numérotées, mais la "Carte générale de la Grèce avec ses colonies", qui forme le n°1 de l'atlas, n'a été publiée qu'en 1811, et manque conséquemment aux exemplaires reliés avant cette date. Notre exemplaire a également été relié sans la planche n°2 intitulée "Carte particulière de la Grèce et de ses Iles", et les planches 30 et 31 qui représentent respectivement la "Carte de la Messénie" et la "Carte de la Laconie et de l'île de Cythère". Le premier volume de texte contient en frontispice un PORTRAIT de Barthélemy dessiné d'après nature et gravé par Aug. Saint Aubin. Jean-Jacques BARTHÉLÉMY (1716-1795), savant littérateur de l'Académie française, archéologue et numismate, mit près de trente années à préparer son ouvrage à la prodigieuse érudition sur l'ancienne civilisation grecque. Cet ouvrage, publié une première fois en 1788, lui fut inspiré par un voyage qu'il fit en Italie en 1755, au cours duquel les souvenirs de l'antiquité classique, ravivée par le vif intérêt archéologique des fouilles de Pompéï, s'imposèrent à son esprit jusqu'à faire revivre pour lui en une résurrection idéale ce monde lointain. Le succès du "Voyage du jeune Anacharsis", véritable somme des connaissances du XVIIIe siècle sur la Grèce antique, contribua à développer le goût de l'Antique en France et en Europe et à diffuser le goût néoclassique. Gérard Oberlé souligne dans sa notice de la "Bibliothèque bachique" que cet ouvrage contient notamment de nombreuses informations très précieuses concernant les moeurs et la vie civile des athéniens, les fêtes, les grandes Dionysiaques, le culte de Bacchus, les repas, les moeurs de table, les plats, les boissons, de longues listes de nourritures avec leurs provenances, les cuisiniers, les recettes, des informations sur divers vins de Grèce et des îles, les fêtes des Spartiates, les fêtes et mystères d'Eleusis, l'agriculture, etc. (Brunet, I, 674 - Oberlé, "Une Bibliothèque bachique", 10 - Laffont-Bompiani, "Dictionnaire des oeuvres", IV, 720 - Fléty, 162). SPLENDIDE EXEMPLAIRE en grand papier, au corps d'ouvrage sans rousseurs, dans une reliure uniforme en maroquin décorée de René Simier, dit «Simier Père », qui fut «relieur du roi » sous la Restauration, CONDITION RARE. NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
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Epoque : 17ème siècle Dimension feuille : 245*335mm Dimension gravure (i.e. de la plaque) : 198*287mm Etat : Bel état Origine : Ouvrage publié avant 1675. La planche était pliée en deux dans l'ouvrage et montée sur onglet (reste la trace de l'onglet)"
1816 Paris, Firmin Didot, 1816. In-8 (237 X 160 mm) demi-maroquin marron foncé, dos à nerfs, titre doré (Reliure postérieure) ; (2) ff. de faux-titre et titre, IV-105 pages, (1) f. blanc. Mouillure claire en marge latérale des 6 premiers feuillets et des 3 derniers feuillets, rousseurs.
ÉDITION ORIGINALE de cet ouvrage TRÈS RARE dans lequel François RAYNOUARD (1761-1836) soutient qu'une langue néo-latine commune aurait été parlée dans l'ensemble de l'aire romane, la « romanie », avant les idiomes romans existants. Cette thèse repose sur le fait qu'en n'étudiant qu'une seule langue romane, Raynouard n'a pas appliqué la méthode comparative inhérente à la philologie romane. Les travaux de la philologie moderne ont, depuis, confirmé les théories de l'abbé de La Rue sur les origines et la formation de la langue française, montrant que la théorie « romaniste » de Raynouard était fausse. C'est après avoir renoncé à sa carrière de dramaturge, l'une de ses pièces ayant eu un vif succès à la Comédie-Française, que François-Just-Marie RAYNOUARD (1761-1836) se consacre essentiellement à des études historiques et philologiques. C'est dans ce domaine qu'il acquiert la renommée la plus durable par ses recherches sur les TROUBADOURS et les cours d'amour. Robert Lafont le présente, avec Honnorat, comme un des deux grands précurseurs du Félibrige : « Il serait fastidieux d'énumérer ce que l'école félibréenne, en ses premières propositions théoriques, doit à Raynouard et Honnorat, aux deux savants qui ont posé de l'entreprise, les bases idéologiques. En un mot, elle leur doit les raisons de son existence ; le souvenir de l'ancienne splendeur et le sentiment de la dignité retrouvée ». (Quérard, "La France littéraire", VII, 477 - Calamel et Javel, "La langue d'oc pour étendard, les Félibres (1854-2002)", page 34 - Iorgu Iordan et John Orr (révisé par Rebecca Posner), "An Introduction to Romance Linguistics : Its Schools and Scholars", 1970). AGRÉABLE EXEMPLAIRE, bien relié, probablement à la fin du XIXe siècle. PLEASANT COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST.
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Marie-Louis Auguste de Martin du Tyrac, comte de Marcellus, 4 ouvrages en 1 volume : Odes sacrées tirées des psaumes I, LXXIII, LXXVIII et LXXIX, en forme de paraphrases, appliquées aux malheurs de la révolution [suivi de] Discours prononcé par M. Le comte de Marcellus, à la société des bonnes lettres, à Paris, dans la séance du 16 mars 1821, avant d'y lire son ode sacrée, tirée du psaume II [suivi de] traduction paraphrasée du cantique du Saint vieillard Siméon, appliquée à la naissance de son altesse royale Mgr le duc de Bordeaux [suivi de] Traduction paraphrase?e, en forme d'ode sacre?e, du cantique Benedictus, applique?e au bapteme de Son Altesse Royale. Mgr le duc de Bordeaux. Paris, Le Clere, 1820-1821. In-8, 22p, 13p, 14p & 8p. Ensemble de très rares plaquettes du comte de Marcellus, provenant de sa bibliothèque personnelle (château de Marcellus), réunissant 4 oeuvres publiées en 1820 et 1821 par Le Clere. La troisième, bien que publiée sans titre (juste un faux-titre), est clairement publiée par Le Clere aussi. Demi-basane d'époque, dos lisse, fleurons. Mors supérieur fendu sur la moitié de la hauteur. Plaquettes rares.
[Napoléon, Campagne de Russie, 1812], Vingt-et-unième bulletin de la Grande Armée : arrestation des incendiaires de Moscou, bulletins et proclamations russes (dont Rostopchine) optimistes avant l'arrivée de Napoléon. [Paris], imprimerie de Chaignieau aîné, [1812]. 4p in-4. Célèbre périodique, ici dans sa 4e série qui connut 29 numéros, soit en livraison comme ici, soit en placard. Les nouvelles données étaient évidemment enjolivées et l'expression « menteur comme un bulletin » s'est développée au sein des grognards. Nous vendons plusieurs numéros de cette rare série. [40-2]