‎"Félicien Rops Eugène Demolder Etienne Morannes"‎
‎Quatuor‎

‎PROGRAMME DE DEUX PAGES : SOCIETE DE MUSIQUE DE CHAMBRE DE BORDEAUX - PROGRAMME DU CONCERT DONNE EN SOIREE A 8H45 A LA SALLE FRANKLIN 21,RUE VAUBAN LE 11 DECEMBRE 1929 AVEC LE CONCOURS DU WIENER STREICHQUARTET QUATUOR KOLISCH : RUDOLF KOLISCH EUGEN LEHNER‎

‎SOCIETE DE MUSIQUE DE CHAMBRE DE BORDEAUX. 1929. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. PROGRAMME DE DEUX PAGES : SOCIETE DE MUSIQUE DE CHAMBRE DE BORDEAUX - PROGRAMME DU CONCERT DONNE EN SOIREE A 8H45 A LA SALLE FRANKLIN 21,RUE VAUBAN LE 11 DECEMBRE 1929 AVEC LE CONCOURS DU WIENER STREICHQUARTET QUATUOR KOLISCH : RUDOLF KOLISCH EUGEN LEHNER FELIX KHUNER BENAR HEIFETZ.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎

‎Programme : Quatuor (Do majeur) W.Mozart - Quatuor (la mineur op.132) L.Van Beethoven - Quatuor (la mineur op.29) Schubert. Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎

‎Ars Quatuor Coronatorum Transactions of Quatuor Coronati Lodge No 2076, London (32 Tomes)‎

‎Quatuor Coronati Lodge 1932 Livre en anglais. In-4 26 cm sur 18. 32 volumes : n45 XLV année 1932 - n46 XLVI année 1933 - n47 XLVII année 1934 - n48 XLVIII année 1935 - n49 XLIX année 1936 - n52 LII année 1939- n55 LV année 1942- n56 LVI année 1943 - n64 LXIV année 1951- n73 LXXIII année 1961 - n74 LXXIV année 1961 - n79 année 1966 - n80 année 1967 - n81 année 1968 - n82 année 1969 - n83 année 1970 - n84 année 1971 - n85 année 1972 - n86 année 1973 - n87 année 1974 - n88 année 1976 - n89 année 1976- n90 année 1977 - n92 année 1979 - n96 année 1983- n98 année 1985 - n99 année 1986 - n100 année 1987 - n104 année 1991- n105 année 1992 - n106 année 1993- n108 année 1995. Exemplaires n73, 79, 80, 81, 82, 83, 86 et 87 brochés. Les 25 autres exemplaires sont reliés pleine toile bleu-marine avec titre doré sur le dos. Volume 81 avec année et tomaison manuscrite au dos. Volume 73 avec dos effrangé en tête. Bon état d’occasion.‎

‎Published annually since 1886, Ars Quatuor Coronaturum is the longest continuously running Masonic Research Journal in the world. Collectively, AQC’s volumes form a repository of Masonic history and research, and are regarded as one of the most important sources available. Bon état d’occasion ‎

‎LE MONDE DE LA MUSIQUE N° 104 - Marilyn Horne a réinventé la vocalise rossinienne comme Callas la cantilène romantique, Le quatuor Amadeus, après quarante ans de gloire, l'altiste Peter Schidlof emporte dans le tombe le plus célèbre quatuor‎

‎LOFT-MUSIQUE. OCTOBRE 1987. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 142 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 780-Musique‎

‎Sommaire : Marilyn Horne a réinventé la vocalise rossinienne comme Callas la cantilène romantique, Le quatuor Amadeus, après quarante ans de gloire, l'altiste Peter Schidlof emporte dans le tombe le plus célèbre quatuor de l'après guerre Classification Dewey : 780-Musique‎

‎Né à La Ferté-Alais. 1898-1962. Compositeur et critique musical français. Manuscrit autographe : Le Poirier de Misère, 4 pages in-8. Manuscrit autographe : Fou de la Dame, 3 pages in-8. Manuscrit autographe : le Quatuor en mi majeur, 3 pages in-8. Manuscrit autographe : 2 pages in-8.‎

‎ Cest à la troisième personne que Marcel Delannoy rédige ces pages sans doute pour aider un critique qui la sollicité pour un article. Le Poirier de Misère fut composé le 21 février 1827 sous la direction dAlbert Wolff. Cest sa première œuvre musicale. Il parle de ses débuts de compositeur et souligne quelques traits de son caractère : … Marcel Delannoy navait composé que quelques melodies et « 4 mouvements pour le piano » quand il aborda la composition du Poirier de Misère dont une légende fort connue avait inspiré le thème à Jean Simonin et André de la Tourrasse. [...] [Parmi] Les camarades [et ses chefs, Galimard], Seignot, Petit (qui ont fait leur chemin depuis comme ensembliers, se rappellent un garçon inquiet qui tirait parfois de son tiroir une clarinette ancienne en acajou, et en tirait maladroitement quelques avis. Congédié après lincendie du « Printemps » Delannoy alla jusquà professer la « peinture de lettres » dans une école de Reeducation de Mutilés, rue dAlligre.Il conserve de cette periode un triste souvenir…A la suite du Poirier de Misère, il présente son Fou de la Dame et évoque son inquiétude devant le problème du théâtre lyrique : …Aussitôt que le Poirier Marcel Delannoy eprouva de linquietude devant le problème du théâtre lyrique Déjà le Poirier montrant cette inquietude (fin du 3)Il accueillit avec empressement lidée dAndré de la Tourrasse et de Jean Simonin où il trouvait matière plastique, [et matière] poétique (netant ni pur latin, ni pur anglo-saxon il a besoin des deux) et pretexte à musique pure (il a horreur du remplissage « théatre)…Puis il évoque son Quatuor en mi majeur : ...Une de ses exaspérations est labus du mot « musique pure ». Il pretend quon appelle neuf fois sur dix ainsi une musique qui est le pretexte de gloses fumeuses de la plus mauvaise des littératures. Pour lui, la musique pure est avant tout directe. On laime ou on ne laime pas. Voilà-tout. Il a voulu ecrire un quatuor direct.Le premier temps du quatuor en mi est une sorte de calme pastorale française où passe un instant quelque chose de nerveusement rustique. -Le 2e temps (rythmique) va tout droit son chemin, un peu « syncopé »Cest la replique du Scherzo classique -Le 3e temps, tout baigné demotion interieure, montre 2 thèmes rigides, [tour à tour] funèbres ou epiques un troisième thème elegiaque et souple. Les 3 finissent par se combiner et le tout retourne au [silence absolu par lelimination naturelle et successive des 4 instruments] - Le 4e temps, [plus ou moins] issu du rythme [du] vieux rigaudon, evoque les danses françaises où la sensualité même est encore joie et gaîté. -Régnant sur lensemble de lœuvre, un souci des contrastes, des proportions, des ombres et des lumières et même dans lalternance des sentiments objectifs et subjectifs.Après avoir parlé de trois de ses œuvres, Delannoy se résume ainsi : …Dans le domaine symphonique, il na pas encore dit son mot. Sa position est tellement difficile entre 2 « littératures » : a) celle qui se contente de la traduction juste des sentiments ou des choses ; b) celle dont jai parlé, la plus creuse et la plus pretentieuse qui fait appel à la metaphysique. Le « son » pour le « son » etc… Delannoy est un lyrique qui veut construire...‎

‎Orontii Finei Delphin. regii mathematicarum professoris. Arithmetica practica, libris quatuor absoluta, omnibus qui Mathematicas ipsas tractare volume perutilis, admodumque necessarias. Ex novissima authoris recognitione, amplior, ac emendatior facta. Aeditio tertia.‎

‎ In-folio (310 x 213 mm), demi-veau blond glacé, dos à cinq nerfs orné de compartiments très finement fleuronnés et cloisonnés, pièces de titre de maroquin havane et de tomaison de maroquin noir (reliure de XIXe siècle), 68 feuillets [sign. A-H8, I4], page de titre gravée dans un riche encadrement gravé emblématique, lettrines, tableaux et schémas mathématiques dans le texte. Paris, Simon de Colines, 1542.‎

‎Troisième édition ("Aeditio tertia"), qui reprend la structure des deux précédentes tout en corrigeant le texte, enrichissant la présentation et ajoutant une préface remaniée, étape importante dans lévolution éditoriale de louvrage.Tableaux, schémas mathématiques et équations dans le texte, ainsi que de nombreuses initiales bois gravées à fond criblé, décorées dacanthes, de fleurs et de vrilles.Le titre sinscrit dans le riche encadrement gravé réservé aux ouvrages dOronce Fine, peuplé de figures emblématiques des sciences et des arts ; au feuillet 2 (i.e. 3), un bandeau gravé, dessiné par Fine, porte les armes du dauphin et ses initiales.Oeuvre phare des débuts de limprimerie scientifique en France, l"Arithmetica" paraît ici chez Simon de Colines dans une exécution typographique et ornementale particulièrement soignée.Oronce Fine (14941555), mathématicien et cosmographe du roi, premier titulaire de la chaire de mathématiques du Collège royal, incarne lhumanisme scientifique de la Renaissance : nourri des sources antiques et soucieux de clarté, il associe lutilité pratique des mathématiques à leur dimension philosophique et théologique.Publiée pour la première fois en 1532, l"Arithmetica" fait partie de la "Protomathesis", vaste synthèse des savoirs scientifiques du XVIe siècle, où Fine sadresse aussi bien aux marchands et artisans quaux savants (cf. N. Z. Davis, "Sixteenth-Century French Arithmetics on the Business Life", Journal of the History of Ideas, 21/1, 1960).(BP16 110704 ; Renouard, S. de Colines, 357-35 ; Schreiber, S. de Colines, n° 188 ; D. E. Smith, Rara arithmetica, Boston & Londres, 1908, p. 163).Provenance : Séminaire de Saint-Charles de Paris (1635-1792), avec petite mention manuscrite en page de titre et mention de prix "Emptus hic liber xvß" (XVIe s.).Quelques auréoles claires marginales en page de titre et aux feuillets 25-32 et 57-65. Un petit médaillon ovale de la page de titre est recouvert dencre bleue. Quelques annotations marginales contemporaines.Très bon exemplaire, grand de marges. ‎