"1852. Paris Éditions Victor Lecou 1852 - Relié demi-basane dos à nerfs 12 cm x 18 5 cm 438 pages - Texte du Comte P. de Castellane - Rousseurs sinon très bon état"
Reference : 13722
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Hachette, 1856. In 12 relié demi-toile bise, titre doré sur pièce de titre rouge, 388 pages. Contient : La Province d'Alger - Zouaves et Spahis - le Dahra - Le Khamis des Beni-Ouragh - Une campagne d'hiver - Le Serrsous, le Sahara et le grand désert - La Province d'Oran - L'expédition de Kabylie.-460g.L. - Intérieur frais et exempt de rousseurs, bon état.
Par Antoine Alexandre Vial (1813-1892).Édition originalerare, de ce récit militaire colonialiste, en Afrique.Paris, Charlieu frères et Huillery - 1865 - 283 pp.Reliure demi veau fauve de l'époque. Dos à nerfs orné de filets dorés, avec titre et auteur dorés. Pas de rousseur. Très bon état. Format in-12°(18x12).
Victor Lecou Paris 1852 1 vol. In-12 de 2 ff.n.ch. 438 pp., demi-chagrin de l'époque, dos à nerfs orné de caissons dorés.
Edition originale (Gay 801 - Tailliart 1848). Province d'Alger - Zouaves et Spahis - le Dahra - Le Khamis des Beni Ouragh - chez les Flittas - le Sahara -Province d'Oran - Expédition de Kabylie … Bel exemplaire.
P., Victor Lecou, 1852, in-12, (4)-438 pp, reliure demi-basane carmin, dos lisse, titres et doubles filets dorés, palettes dorées en tête et en queue (rel. de l'époque), rousseurs éparses, bon état. Edition originale peu courante
La Province d'Alger ; Zouaves et Spahis ; le Dahra ; le Khamis des Beni-Ouragh ; Une campagne d'hiver ; le Serrsous, le Sahara et le Grand Désert ; la Province d'Oran ; l'expédition de Kabylie (mai, juin, juillet 1851). — "Alger, si vous arrivez par mer, vous apparaît comme une ville endormie le long d'une colline, calme et insouciante au milieu des fraîches campagnes qui l'entourent ; mais si vous approchez, si vous pénétrez dans ses murailles blanchies, vous vous apercevez bientôt que cette apparence nonchalante cache une activité tout européenne. C'en est fait, Alger la musulmane disparaît chaque jour pour faire place à la cité française. De la terrasse d'une maison où nous avions reçu une bienveillante hospitalité, nous ne pouvions nous lasser de regarder cette foule agitée, où personne ne marche, où tout le monde court..."