"1991. Pin-Balma Éditions Sables 1991 tiré à 400 ex. 1/370 (n°377) sur Vergé Ivoire Arjomari - En feuilles 13 cm x 17 cm 36 pages - Lettres de Joë Bousquet longue présentation et ills hors-texte de Pierre Cabanne- Très bon état"
Reference : 13259
Librairie Sedon
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Gallimard. 1987. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 94 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
AU BUREAU DE LA REVUE DES DEUX MONDES. 1er DECEMBRE 1923. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 481 à 720.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : COEUR PENSIF NE SAIT OU IL VA. - Deuxième partie. PAUL BOURGET..de l’Académie française.SOUVENIRS DE MA VIE POLITIQUE. LETTRES A UN AMI (1914-1917). — I. ALEXANDRE RIBOT. LES MASQUES ET LES VISAGES. —LE VERTUEUX CONDOTTIÈRE. — I. R. DE LA SIZERANNE. L’ORGANISATION DE LA NATIONPOUR LE TEMPS DE GUERRE. GÉNÉRAL SERRIGNY. DIPLÔME 1 — Comédie en un acte . LUIGI PIRANDELLO. CHEZ LES LATINS D’AMÉRIQUE : ARGENTINE ET URUGUAY. — III. Mgr BAUDRILLART. de l’Académie française.LA PREMIÈRE TRAGÉDIE DEBALZAC : CROMWELL..MARCEL BOUTERON. LITTÉRATURES ÉTRANGÈRES. —EN ÉCOUTANT VIVE MATHUSALEM! LOUIS GILLETREVUE LITTÉRAIRE. — LE ROMAND’UNE APPRENTIE.ANDRÉ BEAUNIER. REVUE MUSICALE. — LE JARDIN DUPARADIS. SAINTE ODILE. LA GRIFFE. CAMILLE BELLAIGUE. CHRONIQUE DE LA QUINZAINE.—HISTOIRE POLITIQUE. RENÉ PINON. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Numéro 99 - 15 Mars 1931 - in-8 broché - Ed. Les Editions Rieder, Paris
bon état
Cauvy - Bône 1878 71 p. in-8° rel. 1/2 basane moderne, extrait de la Revue savoisienne, 1 grav. h.-t., dos muet, ex-libris timbre sec, bon exemplaire (Tailliart 932)
L'auteur décrit le site très spectaculaire de Constantine, une ville aérienne.
3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...