"Bruxelles. 16 5 cm x 27 cm. 1961. Broché. 95 pages. Bruxelles L'VII 1961. Broché couverture à rabat 16 5 cm x 27 cm 95 pages. Direction : Alain Bosquet et Roland Busselen; textes et poèmes inédits de Stéphane Lupesco Joe Bousquet Marcel Thiry Paul Dewalhens Jean-Clarence Lambert Pierre-Jean Brouillaud poètes à Lyon : Roger-Arnould Rivière Raymond Busquet Annie Salager Bernard Dumontet Henri Falconer Roger Kowalski Raoul Bécousse Jean Pérol.; couverture de Max Ernst. Très bon état" "Très bon état"
Reference : 100074506
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Superbe exemplaire à marges immenses. Paris, François Regnault, 1528. Petit in-folio gothique de LXXX feuillets à longues lignes, titre compris en rouge et noir. Plein maroquin rouge janséniste, dos à nerfs, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrures. Reliure signée de Trautz-Bauzonnet. 256 x 188 mm.
Édition originale littéraire et historique fort rare relatant avec brio l’épopée de Jeanne d’Arc, le règne du roi Charles VII (1403-1461), les troubles occasionnés par la guerre de cent ans et la victoire finale. «Le volume que nous venons de décrire est l’édition originale de la Chronique de Charles VII. Cet ouvrage qui, dans la plupart des manuscrits, ne porte aucun nom d’auteur, était alors, on ne sait trop pourquoi, attribué à Alain Chartier. Le nom du poète figure de nouveau sur la réimpression de Nevers, Pierre Roussin, 1594, in-4; enfin André Du Chesne ne manqua pas d’insérer la chronique dans son édition des Œuvres de maistre Alain Chartier, 1617. Plus tard, le manuscrit de Bigot, aujourd’hui conservé à la Bibliothèque nationale (fr. 2860), permit à Du Chesne de corriger son erreur et lui révéla le nom de l’auteur, Gilles Le Bouvier, dit Berry, roi d’armes de France. Voy. l’excellent article publié par M. Vallet de Viriville dans la Nouvelle Biographie générale, XXX, 113-118» (Catalogue James de Rotschild, II, 2099). L’auteur commence sa chronique en l’an 1402, année où naquit Charles VII. Ce prince devient à partir de 1417 le point central du récit. Le chroniqueur nous brosse un tableau minutieux et vivant du règne et termine son récit à la mort du Roi le 22 juillet 1461. «Lors de la tragédie du pont de Montereau (1419), Charles VII publia des manifestes pour se disculper du meurtre de Jean sans Peur, accompli en sa présence; mais il n’en demeura pas moins chargé de la solidarité de cette sanglante représaille. Sa mère, l’indigne Isabeau de Bavière, le poursuivit de sa haine et contribua à la conclusion du traité de Troyes, par lequel il était exclu du trône au profit du roi d’Angleterre. A la mort de son père, il se fit couronner à Poitiers, pendant que le duc de Bedford, maître de Paris et d’une partie du royaume, prenait les rênes du gouvernement au nom de son neveu Henri IV, encore en bas âge. Les Anglais poursuivirent le cours de leurs succès, et les troupes de Charles VII perdirent successivement les batailles de Crevant (1423) et de Verneuil (1424). Déjà maîtres des trois quarts du royaume, les Anglais vinrent mettre le siège devant Orléans, et bientôt la funeste journée des Harengs (1429) vint porter le découragement parmi les derniers champions de l’indépendance nationale. C’est à ce moment qu’une jeune paysanne, exaltée par les misères et les douleurs de la patrie se présenta au roi en affirmant qu’elle avait reçu du ciel la mission de sauver la France, enflamma la nation et l’armée de l’enthousiasme patriotique et religieux dont elle était dévorée, et après une suite de succès extraordinaires, fit lever le siège d’Orléans et conduisit le roi à Reims, où l’onction sacrée lui donna aux yeux des peuples le prestige de la légitimité (1430). Quelques seigneurs puissants se rallièrent à Charles, et le duc de Bourgogne lui-même, brouillé avec les Anglais, se réconcilia solennellement avec lui par le traité d’Arras (1435). L’année suivante, Paris affranchi rouvrait ses portes au roi de France. Ce prince indolent et efféminé saisit d’une main ferme les rênes du gouvernement, s’occupa avec activité et persévérance à réparer les maux du pays, réforma son armée, dont les brigandages désolaient ses provinces, réorganisa les finances délabrées, montra le plus grand courage aux sièges de Montereau (1437) et de Pontoise (1442), et obtint enfin une trêve honorable (1444), qu’il sut employer à relever la France épuisée. Pendant cette période réparatrice, les cités sortirent de leurs décombres, les campagnes furent rendues à l’agriculture, les villes au commerce et à l’industrie, l’armée devint permanente et fut l’égide du pays au lieu d’être l’effroi des populations, les finances prospérèrent, et, sous l’influence de Jacques Cœur, le Colbert du XVe siècle, le commerce maritime fut créé et la prospérité publique se développa avec cette énergie créatrice qui suit les grandes calamités. Lorsque les Anglais, par une inspiration malheureuse, rompirent la trêve en 1448, ils trouvèrent une nation forte, unie et compacte, et n’essuyèrent plus que des revers. En moins d’un an, la Normandie était entièrement reconquise: en 1453, la Guyenne redevint définitivement française.» L’édition comporte un titre en rouge et noir avec belle initiale historiée sous laquelle figure la marque «à l’éléphant» de François Regnault. Sur le second feuillet un bois, représentant un docteur enseignant à ses disciples, précède le prologue. Le verso de ce même feuillet contient le portrait gravé sur bois du roi, surmonté de la devise «Espoir en dieu», et le commencement de la chronique. Le texte orné de nombreuses initiales décorées est accompagné de sommaires imprimés en manchettes. Né à Bourges en 1386, l’auteur, Gilles le Bouvier fut introduit à la cour à l’âge de 16 ans sous le patronage de Jean, duc de Berry; il obtint de Charles vii, alors régent, l’office de héraut d’armes en 1420; il fut créé roi d’armes du pays et Marche de Berry le 25 décembre 1420. A plusieurs reprises dans l’histoire du règne de Charles vii, G. le Bouvier prend part aux opérations importantes, tant sur le plan diplomatique que militaire. C’est ainsi qu’il pénètre à la tête de la Maison du Roi lors de l’entrée solennelle de Charlesvii à Paris le 8 novembre 1437. Les beaux exemplaires de cette édition originale littéraire et historique ont de tout temps suscite de fortes enchères. Le supplément de Brunet cite ainsi, dans les années 1870, les 920 F or atteints par l’exemplaire Potier (apparemment le présent exemplaire) relié en maroquin de Trautz; à titre comparatif aux mêmes ventes Potier et Benzon, l’édition originale des Essais de Montaigne imprimée à «Bourdeaux en 1580» atteignait 1420 F or en veau ancien. Superbe exemplaire à marges immenses (hauteur 256 mm, contre 239 mm pour l’exemplaire du marquis de Serrant relié en veau du XVIIe siècle). Références: Tchemerzine ii, 335; Brunet I, 1816; Cat. James de Rothschild, II, 2099; Institut de France, manuscrit Godefroy 242.
Le plus précieux exemplaire cité par Brunet. Amsterdam, Aux dépens de la Compagnie, 1731. 7 volumes petit in-12. « Sept vol. pet. in-12 de (2) ff., 218 pp et (1) f.bl., 173 pp. et (1) f.bl. ; (1) f. et 232 pp. ; (1) f., 221 pp. et (1) f.bl. ; (4) ff. dont 1 bl. et 288 pp. ; (2) ff. dont 1 bl. et 283 pp., (2) ff. dont 1 bl. et 344 pp. (Le relieur n’a pas conservé les ff. blancs). Le septième volume contient l’édition originale de Manon Lescaut. Les tomes I, III, V et VII sont ornés d’une vignette sur cuivre et les tomes II, IV et VI d’un fleuron sur bois. Seuls les trois derniers volumes possèdent un faux-titre, ici non conservé par le relieur. » (Tchemerzine). Plein maroquin bleu janséniste, dos à nerfs, filets or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure de Thibaron-Joly. 127 x 73 mm.
« Edition originale de l’Histoire de Manon Lescaut et du chevalier des Grieux. » Manon Lescaut allait occuper une place déterminante dans l’histoire du roman français. « Roman aussi intéressant par ses péripéties qu’un roman d’aventures, aussi émouvant qu’une tragédie, aussi étudié dans ses caractères qu’un roman d’analyse, réaliste par la peinture exacte des mœurs contemporaines et par l’étude d’un problème moral qui, pendant plus d’un siècle, va dominer la littérature, celui de la lutte contre le plaisir et la passion. » Selon son habitude, Prévost utilise un genre très prisé au XVIIIe siècle: les mémoires fictifs. Ce mode de narration rétrospective permet à l'auteur de multiplier les aventures, qui s'articulent à chaque fois autour d'une histoire d'amour se terminant par la mort de la femme. L'Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut, facile à détacher du reste des Mémoires puisqu'elle n'a pas été vécue par le narrateur, mais lui a été rapportée, connut tout de suite un succès tel qu'elle a occulté le reste de l'oeuvre de Prévost. « Tout le sens du roman, toute la fascination qu’il exerce, reposent sur cette position particulière de des Grieux : tentant d’entraîner Manon dans son exaltation amoureuse et obligé de subir les conséquences de ses infidélités et de sa recherche étourdie des plaisirs et de l’argent, ayant tout sacrifié à l’amour, vécu comme un absolu, et conduit par cet amour à se compromettre avec la prostitution, le vol, le meurtre, à tromper sa famille, à exploiter ses amis, comme Tiberge ou M. de T. A intituler le roman de Prévost Manon Lescaut, le lecteur oublie le travail de remémoration et d’idéalisation effectué par l’amant, et n’en retient que l’objet ; ce que des Grieux met au centre de sa vie et de son destin, mais reste le plus secret, le plus irréductiblement voilé. Le mystère de Manon tient à sa place dans le roman, puisqu’elle est vue à travers l’image que s’en fait et que veut bien en donner des Grieux, mais il tient aussi à l’impossibilité de concilier les attentes sentimentales de son amant avec ce qu’elle peut socialement et matériellement faire. Sur le personnage de Manon se noue le paradoxe du roman : son amant, pour la faire entrer dans son pathétique récit et conférer à leur amour une dimension tragique, doit invoquer tout ce qui dans son comportement et son caractère a suscité le malheur et qui révèle son indignité et exclut tout héroïsation : sa légèreté, ses escroquerie, sa ronde de courtisane, sa déportation. Manon n’est donc tragique qu’autant qu’elle ne l’est pas : par-delà le deuil, des Grieux s’enferme dans une contradiction sans issue, et c’est ce qui confère à son récit sa valeur dramatique. L’originalité de Prévost est d'avoir suggéré la force de la passion en lui opposant des détails concrets, et parfois grotesques : logement, carrosse loué, compte des dépenses, gains illicites, escroqueries, pistolet chargé, chambre forcée, culotte oubliée. Mais il n'utilise pas seulement les conditions matérielles comme obstacles du sentiment, il les fait entrer dans l'appréhension que des Grieux se fait de l'amour, dans sa tentative pour lui donner une signification, et pour recomposer une image de lui-même et de Manon qui justifie sa conduite et tienne lieu de ce qu'il a perdu : elles font partie de lui, et de ce qu'il cherche à en comprendre et à en dire. Ce processus d'intégration touche la trame quotidienne de l'existence, dotant d'une curieuse résonance affective les éléments les plus prosaïques (une bougie, une mèche de cheveux, une pièce d'or, une chambre d'auberge). Cela vaut également pour l'évocation circonstanciée de la fin du, règne de Louis XIV et du début de la Régence, la difficulté de des Grieux à construire un sens devenant celle de toute une société. Une contradiction de même ordre touche la manière dont des Grieux exalte l'amour et justifie idéologiquement son aventure. Il conteste les interdits que la religion, sa famille ou la société lui ont opposés, et il les rend en partie responsables de son malheur mais pour saisir son destin et légitimer sa passion, il est contraint d'emprunter à ces instances qui le condamnent leurs discours et leurs valeurs : à cause de son éducation, son milieu, ses inclinations, par la logique même de son entreprise, il n'a pas d'autre choix. Ce qu'il voit dressé contre l'amour et aussi ce dont il a besoin pour le dire, pour donner aux êtres et aux sentiments une qualité et un nom : sens aristocratique de l'honneur qu'il revendique, et que son père invoque contre lui sens religieux de la faute qui l'amène à distinguer l'intention de l'acte, ce que lui reproche son ami Tiberge, goût pour l'étude et la littérature. Prévost a constamment joué de ce qu'il y a de contradictoire dans le sentiment, les rapport amoureux, les valeurs morales, les comportements sociaux, mais dans Manon Lescaut il en a confié l'expression à celui qui en est l'acteur principal, tirant ainsi de cette tension irrésolue le principe d'une présence, passionnée et inquiète : la parole de des Grieux résonne encore de la vibration du désir face à ce qui se dérobe. » J.-P. S. Célèbre et très bel exemplaire, le plus précieux cité par Brunet (Sup., II, 293) : « Les 7 vol. de 1730-31 ont été vendus 60 fr. Tross en 18755 ; en mar. de Chambolle, 700 fr. Benzon ; en mar. de Hardy, 730 fr. voicin (1876) ; enfin en mar. de Thibaron-Joly, 1 200 fr. au cat. Morgand et Fatout. » Ce dernier étant le présent exemplaire, 1200 fr. or ! Rappelons qu’un livre de bibliophilie se négociait alors à compter de 10 fr. or. De la bibliothèque P. Brunet avec ex-libris.
Recueil de discours en un volume broché : Discours prononcé par Mr Bottin, Curé de Favières, lors de la bénédiction du Drapeau de la Garde Nationale de Vézelise, s.d. [ An 4 ], 7 pp. [ en 2 exemplaires ] ; Discours prononcé par Mr Bottin, Curé de Favières, lors de la bénédiction du Drapeau de la Garde Nationale de Vézelise, Chez F. G. Levrault, Strasbourg, s.d., 8 pp. ; Discours prononcé le jour de la fête de la Reconnaissance et des Victoires célébrée à Strasbourg, De l'Imprimerie de Ph. J. Dannbach, Imprimeur de la Municipalité, s.d. [ An 6 ], 16 pp. ; Discours prononcé à Strasbourg, le 26 Messidor an VI, Chez F. G. Levrault, Imprimeur du Département du Bas-Rhin, Strasbourg, An VI, 26 pp. ; La Reprise de Rome par les Français, Chez F. G. Levrault, Strasbourg, s.d., 2 ff. ; Discours prononcé à Strasbourg, le Ier Vendémiaire an VII, Chez F. G. Levrault, Imprimeur du Département du Bas-Rhin, Strasbourg, An VII, 22 pp. et 1 f. blanc ; Premier Discours sur l'Exécution des Lois, Chez F. G. Levrault, Imprimeur du Département du Bas-Rhin, Strasbourg, An VII, 23 pp. ; Fête Anniversaire de la Juste Punition du dernier Roi des Français, Gedruckt bey F. G. Levrault, Strassburg, s.d., 15 pp. (en français et allemand) ; Discours prononcé à Strasbourg le 2 Pluviôse an VII, Chez F. G. Levrault, Imprimeur du Département du Bas-Rhin, Strasbourg, An VII, 27 pp. ; Second Discours sur l'Exécution des Lois, Chez F. G. Levrault, Imprimeur du Département du Bas-Rhin, Strasbourg, An VII, 22 pp. et 1 f. blanc ; Eloge funèbre du Citoyen Brendel, Chef du Bureau des Archives au Département du Bas-Rhin, et ci-devant Evêque constitutionnel, Chez F. G. Levrault, s.d. [ an 7 ], 11 pp. ; Trauer-Rede gesprochen am grabe des burgers Brendel, Bey F. G. Levrault, Strassburg, s.d. [ an 7 ], 12 pp. ; Eloge Funèbre des Citoyens Bonnier et Roberjot, Ministres plénipotentiaires, Chez F. G. Levrault, Imprimeur du Département du Bas-Rhin, Strasbourg, An VII, 33 pp. / Liste complète des titres : Discours prononcé par Mr Bottin, Curé de Favières, lors de la bénédiction du Drapeau de la Garde Nationale de Vézelise, le Dimanche de la Pentecôte 27 May, an 4 de la Liberté, pour servir de réponse aux Auteurs & Compagnie de la Prophétie accomplie, &c, &c. [ Suivi de : ] A la destruction du gouvernement anglois. Discours prononcé le 20 nivôse an 6, dans la salle décadaire, à Strasbourg, par le citoyen Bottin, Chef de Bureau et secrétaire-adjoint de l'Administration centrale du Département du Bas-Rhin ; en déposant sur l'autel de la patrie, en son nom et en celui des employés ses collègues, la somme de 453 francs 25 centimes, pour l'expédition d'Angleterre [ Suivi de : ] Discours prononcé le jour de la fête de la Reconnaissance et des Victoires célébrée à Strasbourg le dix prairial an VI par S. Bottin, Secrétaire en chef de l'administration centrale du département du Bas-Rhin [ Suivi de : ] Discours prononcé à Strasbourg, le 26 Messirod an VI, anniversaire du 14 Juillet 1789, par le Citoyen Bottin, Secrétaire en chef du Département du Bas-Rhin [ Suivi de : ] Discours prononcé à Strasbourg, le 26 Messidor an VI, anniversaire du 14 Juillet 1789; par le Citoyen Bottin, Secrétaire en Chef du Département du Bas-Rhin [ Suivi de : ] La Reprise de Rome par les Français [ Suivi de : ] Discours prononcé à Strasbourg, le Ier Vendémiaire an VII, jour de la fête anniversaire de la fondation de la République française [ Suivi de : ] Premier Discours sur l'Exécution des Lois ; et en particulier, de celle du 17 Thermidor an 6, contenant des mesures pour coordonner les jours de repos avec le Calendrier républicain ; Et de celle du 23 Fructidor suivant, contenant des dispositions nouvelles pour l'exacte observation de l'Annuaire de la Républiquen prononcé à l'Assemblée Nationale à Strasbourg le 10 Frimaire, an 7 de la République française, une et indivisible [ Suivi de : ] Fête Anniversaire de la Juste Punition du dernier Roi des Français. A Strasbougr, le 14 Nivôse de l'an 7 de la République française [ Suivi de : ] Discours prononcé à Strasbourg le 2 Pluviôse an VII, Jour de la célébration de la fête anniversaire de la juste punition du dernier roi des Français, par le Citoyen Grimmer, suivi des Imprécations contre les Parjures, prononcées à la même fête par le Citoyen Bottin [ Suivi de : ] Second Discours sur l'Exécution des Lois et en particulier de celle du 17 Thermidor an 6 ... prononcé à l'Assemblée Décadaire à Strasbourg le 30 Pluviôse an VII [ Suivi de : ] Eloge funèbre du Citoyen Brendel, Chef du Bureau des Archives au Département du Bas-Rhin, et ci-devant Evêque constitutionnel du même Département ; mort le 3 Prairial, an 7, âgé de 63 ans [ Suivi de : ] Trauer-Rede gesprochen am grabe des burgers Brendel, Archivarius [...] und vormaliger Constitutionneller Bischoff desselben [ Suivi de : ] Eloge Funèbre des Citoyens Bonnier et Roberjot, Ministres plénipotentiaires de la République française au congrès de Rastadt, lâchement assassinés le 9 floréal an VII, par les ordres de la maison d'Autriche ; prononcé à Strasbourg le 20 prairial an VII de la République française, une et indivisible
Très rare ensemble de discours prononcés sous le Directoire par l'ancien curé, révolutionnaire et administrateur Sébastien Bottin. Un recueil important pour l'histoire de la Révolution, a fortiori dans le Bas-Rhin. Etat satisfaisant (couv. fort frottée et dos fendu, qq. mouill. mais bon état intérieur général, exemplaire méritant d'être établi dans une reliure de qualité).
8 planches tirées du tome 6, B. Picart sculpt., [ À Amsterdam : Chez Laporte, 1783 ].Rappel du titre complet : Cérémonies et coutumes religieuses de tous les Peuples du Monde. Lot de 8 planches relatives aux religions de la Chine : [ Numérotation double pour chaque planche ] 4 / Tome VII N° 16 : Idole Xekia ; 38 / Tome VII N° 17 : Les Dieux des Chinois tirés de la Chine de Kircher ; 37 / Tome VII N° 19 : Dieu de l'Immortalité - Fo-Tek ou Ninifo - Kin-Gan que les Jésuites nomment aussi Chin-Hoan - Divinité que les ambassadeurs hollandois nomment Lincing ; 39 / Tome VII N° 21 : Vitek ou Ninifo - Matzou ; 40 / Tome VII N° 22 : Quantecong - Quonin divinité domestique ; 44 / Tome VII N° 23 : Religieux en noir avec un Chapelet - Religieux Mendiant Chinois - Religieux chinois avec leurs chapelets - Gueux dévôt ; 46 / Tome VII N° 28 : Magiciens et sorciers de la Chine ; 36 bis / Tome VII N° 34 : Kirin des Chinois et des Japonois - Tats Dragons des Chinois et des Japonois - Banières Impériales des Chinois - Foo ou Phénix des Chinois
Très intéressant lot de 8 gravures des "Cérémonies et coutumes religieuses de tous les Peuples du Monde" (manifestement de l'édition Laporte de 1783), relatives aux religions de Chine. Etat très satisfaisant (qq. petits accrocs ou mouill. marginales, bon état par ailleurs, voir les photos). Prix du lot
1 vol. in folio reliure pleine toile grise, format 42 x 33 cm, blason collé au premier plat avec devise "Dieu et mon droit", Album Souvenir des Funérailles du Roi Edouard VII. Recueil de Journaux et Documents - Souvenir Album of the Funeral of King Edward VII. Collection of Newspapers and Documents : The Daily Mirror. N°2048 20 May 1910, 16 pp. : The Kaiser arrives - Evening Standard and St James Gazette n°26794 May 19, 1910 : Kaiser's arrival, 20 pp. ; Official Programme of the Funeral Procession of his late Majesty King Edward VII, Friday May 20th 1910, 4 ff. ; ; The Sketch Double number May 11 1910. The Death of King Edward VII ; The Graphic Specla Number 2110A May 11, 1910, The Life of King Edward VII ; The Graphic. An illustrated weekly newspaper. Saturday May 14, 1910. King George V driving to St James's Palce to hold his first council ; The Sphere, n° 538, May 14, 1910 : Edward VII 1841-1910 ; The Illustrated London News double number. May 14, 1910, n° 3708 ; The Graphic. An illustrated weekly newspaper. n° 2112 Saturday May 21, 1910 : King Adward last sleep at Buckingham Palace ; Black & Whit May 21st 1910. A Nation in Mourning. In Memoriam ; The Graphic 2112A May 24 1910. Funeral of Edward VII ; The Sphere. n° 540 May 28, 1910 : Funeral Number. Edward the Peacemaker
Bel album souvenir, recueillant de nombreux journaux et magazines de l'époque, et provenant de la bibliothèque d'Ernesta Stern (1854-1926) alias "Maria Star", écrivain fameuse pour son salon du Faubourg Saint-Honoré où elle accueillit notamment Marinetti ou Marcel Proust. Née Maria Ernesta Hierschel de Minerbi, elle épousa le banquier Louis Stern. Beautiful souvenir album, collecting many newspapers and magazines of the time, and coming from the library of Ernesta Stern (1854-1926) alias "Maria Star", famous writer for her salon in Faubourg Saint-Honoré where she notably welcomed Marinetti or Marcel Proust. Born Maria Ernesta Hierschel de Minerbi, she married the banker Louis Stern.