Paris, Librairie jules tallandier , 1981; in-8, 324 pp., cartonnage de l'éditeur. Reliure plein cuir.
Reference : 202501411
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Denoël, 1981, in-8°, 192 pp, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
"1793 – La Terreur – Le Tribunal révolutionnaire – Fouquier-Tinville – Les charrettes vers la guillotine – Symbole d'horreur que tous les livres d'histoire, quel que soit leur bord, dénoncent depuis deux siècles. Et si l'histoire s'était trompée ? Si elle nous trompait ? Sait-on que le Tribunal révolutionnaire a acquitté plus de gens qu'il n'en a condamné ? Qu'il a envoyé moins de coupables à la guillotine que la réaction thermidorienne ou la Terreur blanche de 1815 n'ont assassiné d'innocents en quelques semaines ? Sait-on surtout que la plupart des condamnés n'appartenaient pas à la noblesse, ni au clergé, mais étaient des "bras-nus" ? Sait-on que le Tribunal révolutionnaire était une juridiction "progressiste" accordant aux inculpés des droits inconnus jusqu'alors ? La révolution, en lutte avec l'Europe entière, attaquée de l'intérieur sur tous les fronts, trahie par ses généraux, avait-elle le droit de se défendre ? Cette nouvelle vision du Tribunal révolutionnaire va-t-elle enfin réhabiliter Fouquier-Tinville et les siens ?" (4e de couv.) — "Ce livre sur le Tribunal révolutionnaire calcule que furent guillotinés, par ce tribunal-là. moins de coupables que ne furent assassinés d’innocents par la réaction thermidorienne ou la Terreur bienche. que la majorité des – raccourcis – appartenaient au peut peuple, non à la noblesse ou au clergé, qu'il fallait bien que se défendît la Révolution, attaquée de l'extérieur, pour établir une société nouvelle. Un ouvrage informé et consciencieux mettant en évidence le caractère éminemment subjectif et relatif de l'interprétation des faits." (Le Monde, 3 juillet 1981)
Du 8e jour du 2e mois de l'an 2e de la République Française une & indivisible. Grasse. Guichard. (An II). In-4 (180 x 235mm) de 3 pages imprimées. (2).
Pour faire face à la recrudescence des troubles intérieurs. Le lendemain, le Tribunal Révolutionnaire prononçait la condamnation à mort de députés de la Gironde.
1968 Paris, Mercure de France , 1968 In huit, 14*20,5, 452 pp, Broché, couverture illustrée avec rabats, bon état, sans annotations, dos et bords de la couverture légèrement abîmés,
Édition présentée et annotée par Gérard Walter, tome XV de la Collection « le Temps retrouvé».
Reference : alb689598048aca46db
Lenotre G. Le Tribunal Revolutionnaire (1793-1795). In English /Lenotre G. Le Tribunal Revolutionnaire (1793-1795). Memoirs et souvenirs sur la Revolution et le Empire publics avec des documents ineditsi. In French: Librairie Academique, Perrin et Ciege. 1908 4, IV, 370, 2 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb689598048aca46db.
Perrin, 1911, in-8°, 229 pp, 6 gravures hors texte (dont le frontispice), broché, pt manque angulaire au 1er plat, bon état
"Auteur d'ouvrages consciencieux, M. le Dr Max Billard a choisi comme sujet de son dernier volume : Les femmes enceintes devant le tribunal révolutionnaire. On sait que les femmes enceintes condamnées échappaient au moins temporairement à la guillotine, que beaucoup invoquèrent cette situation pour retarder le fatal dénouement et tâcher de s'y soustraire, que quelques-unes même n'hésitèrent pas à abdiquer tout sentiment pour essayer de la justifier. Nombre de faits de cette nature ont été déjà cités incidemment dans les ouvrages relatifs à la Révolution et, spécialement, au tribunal révolutionnaire. M. le Dr Billard les a repris, précisés ; il en a ajouté beaucoup d'autres, pour en former un ensemble qui ne manque pas d'intérêt, on doit le reconnaître, et qu'il a fort bien exposé. Mais l'histoire même ne doit-elle pas garder une certaine pudeur, et la meilleure façon dont elle pourrait honorer d'infortunées victimes, alors qu'on connaît assez d'infamies commises à cette sinistre époque, ne serait-elle pas de laisser dans un oubli respectueux leurs effroyables angoisses ou leurs défaillances dignes d'une profonde pitié ?" (Revue des études historiques, 1911)