‎[HISTOIRE] - CASTELOT (André) - ‎
‎Francois Ier. ‎

‎Paris, Éditions de crémille, 1983; in-4, 320 pp., cartonnage de l'éditeur.‎

Reference : 201116595


‎.‎

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‎VIDUIS (1500-1569). [Médecin du roi François Ier].‎

Reference : LCS-18466

‎Chirurgia è Graeco in Latinum conversa, Vido Vidio Florentino interprete, cum nonnullis eiusdem Vidii com[m]entariis. Indicem auctorum & operum sequenti paginâ quaerito. Edition originale très rare de ce volume dû au médecin du roi François Ier.‎

‎Premier tirage de ces célèbres 210 bois. Lutetiae Parisiorum, Petrus Galterius, 1544. In-folio de (18) ff., 533 pp. et (1) p. d’errata. De nombreux bois dans le texte dont 30 à pleine page, restauration dans la marge des pp. 465 à 520 sans atteinte au texte. Plein veau brun, double encadrement de filets à froid sur les plats fleurdelisés aux angles, dos muet à nerfs. Reliure du XIXe siècle. 337 x 227 mm.‎


‎Édition originale de ce « volume peu commun » (Brunet), l’un des plus beaux livres de chirurgie du XVIe siècle, contenant pour la première fois les textes de la Chirurgie grecque d'Hippocrate, de Galien et d'Oribase, en traduction latine. Harvard 542. Il est illustré de 210 magnifiques gravures sur bois, inspirées par des dessins de modèles classiques grecs qui nous sont parvenus par les gréco-byzantins, représentant des opérations de chirurgie, des instruments et des bandages dont 30 figures à pleine page montrant l'utilisation de machines élaborées pour réduire les fractures. «210 figures explicatives dont certaines, à pleine page, exécutées au trait avec une grande élégance. Un de ces bois, p. 175, est marqué de la lettre gothique F, analogue à celle qu’on voit sur quelques figures gravées pour D. Janot. Une autre composition, p. 224, d’une facture plus hésitante, et aux visages grimaçants, est signée d’un monogramme qu’on peut lire APF. Ces figures représentent le plus souvent des machines destinées à réduire les fractures, elles sont intéressantes et les personnages, généralement nus, rendus avec un grand souci d’exactitude anatomique. Certaines s’inspirent des dessins du Primatice et de Jean Santorino se trouvant dans un manuscrit qui fut offert à François Ier, conservé aujourd’hui à la Bibliothèque nationale (Ms. latin 6866).» (Brun, Le Livre français illustré de la Renaissance, 309. L'auteur, Guido Guidi dit Vidius (1500-1569), né à Florence, fut le médecin de François Ier. Le texte s'appuie sur un manuscrit grec de la Bibliothèque de Laurent de Médicis, à Florence. On a longtemps attribué les dessins des bois de cet ouvrage au Primatice, mais depuis l'article de Michel Hirst « Salviati illustratuer de Vidius » (Revue de l'Art, 1969, n°6) ils ont été restitués à Francesco Salviati. Certains des bois portent la croix de Lorraine, d'autres les initiales F. ou ARF. On les donne fréquemment comme étant de François Jollat. (Welcomme I-6596 ; Waller 1960). Francesco Salviati, pseudonyme deFrancesco de’ Rossi(1510àFlorence-1563àRome) est unpeintremaniéristeflorentin. Il tient son nom de son fidèle protecteur, le cardinalGiovanni Salviati, l’oncle deCosmeIer. Il est parfois surnomméCeccoouCecchino Salviati.Giorgio Vasariécrit que Salviati «possédait un plus beau style que tout autre à Florence à son époque.» C'était un portraitiste renommé et un fresquiste admiré pour sa rapidité d’exécution - que Vasari oppose à la lenteur dePontormoet deBronzino- et son habileté à mettre en scène de complexes allégories profanes ou sacrées. De retour à Rome en 1541, Salviati peint pour la Stanza dell’Incendia du Palais du Vatican une fresque (aujourd’hui disparue) représentantRe Pepino(Pépin le bref). La même année, il peintla Sainte Famille au perroquet(aujourd’hui au Musée du Prado). En 1543, il décore la salle de l’Audience (sala dell‘Udienza) duPalazzo Vecchioà Florence. Le programme iconographique illustre les moments de la vie du généralMarcus Furius Camillus, d’aprèsPlutarque: « la prise de Veies » (la Conquista di Veio), «Camillus soumettant les Vosques» (Camillo che sconfigge i Volsci), «la punition du maître de Faléries » (la Punizione del Maestro di Falerii), «le triomphe de Camillus» (il Trionfo di Camillo). Il reçoit le 6 novembre 1544, la commande del’Incrédulité de Saint Thomas(aujourd’hui au Louvre6) pour l’église Notre-Dame de Confort de Lyon. Il peint la grandeDépositionde la chapelle Dini à Santa Croce et à la fin de son séjour florentin, laCharitéde la galerie des Offices. En 1548, insatisfait du traitement qu’on lui fait à Florence, il repart à Rome. Il peint pour le cardinalAlexandre Farnèseles fresques de la chapelle du Pallio du palais de la Chancellerie (Palazzo della Cancelleria). Il reçoit la commande de fresques pour la chapelleSanta Maria dell’Anima(1549-1550). Il reprend en 1550 la décoration de l’Oratorio San Giovanni Decollato. Il y peint deux apôtres, etla naissance de saint Jean-Baptiste. Pour le réfectoire de San Salvatore in Lauro, il exécute lesNoces de Canaet lesScènes de la Genèse. En 1553, il peint lesHistoires de Davidtirées despremieretdeuxième livres de Samuelpour le salon des Mappemondes du Palais Sacchetti, que le cardinal Giovanni Ricci da Montepulciano vient d'acquérir. Il décore pour le cardinal Ranuccio Farnèse la salle des Fasti Farnesianidu Palais Farnèse à Rome. La parenthèse française: Il part pour vingt mois (entre février 1556 et l’hiver 1557-1558) en France, décore pour le compte de Charles de Lorraine, le château de Dampierre. Il ne subsiste malheureusement rien de son travail. Le château Renaissance a été détruit pour faire place à un nouvel édifice construit parJules Hardouin-Mansartdans un style classique en 1683. Nous ne possédons aucune autre trace du travail de Salviati en France, même si un voyageur italien cite, en 1606, dans sa description du Palais Gondi, à Paris, unFrançois Ier et Charles Quint faisant la paixdû à Francesco Salviati, qu'il a peut-être peint pendant son séjour français. «At the suggestion of Ridolfi, Guido Guidi (Vidus Vidius) undertook the translation and by the liberality of François Ier, to whom it is dedicated, he was able to produce this splendid edition. From a preface in Guidi’s Latin MS. it would seem that the drawings, which are such a striking feature of the book, are to be attributed to Francesco Primaticcio and Jean Santorinos. They are modified copies, or interpretations, of the original Greek drawings, with which it is interesting to compare them.» (Bibliotheca Osleriana, n°155) «Volume d’une belle exécution typographique, dédié à François Ier, dont l’auteur, Guido Guidi, fut le premier médecin après la mort de Guillaume Cop. Les 211 figures gravées sur bois dont il est orné nous ont singulièrement frappé; on peut certainement les attribuer à un des plus grands artistes du temps et de l’école florentine. Ce livre rare est peu connu.» (Répertoire universel de bibliographie par Léon Techener, n°934) Précieux exemplaire de l’un des plus beaux traités de chirurgie du XVIe siècle.‎

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‎[FRANCOIS Ier].-‎

Reference : 33822

‎François Ier.‎

‎ P., Montaigne (Collection "Les Amours des Rois de France racontées par leurs Contemporains"), 1929, in 12 broché, 188 pages ; non coupé. ‎


‎I. La jeunesse de François Ier et ses premières amours. - II. Marie d'Angleterre. - III. La Reine Claude. - IV. Marguerite d'Angouleme, duchesse d'Alençon, Reine de Navarre. - V. Les femmes à la Cour de François Ier. - VI. L'affaire Saint-Vallier (1523) et la légende du "Roi s'amuse". - VII. La Réine Eleonore. - VIII. La comtesse de Chateaubriand. - IX. Anne d'Heilly de Pisselieu, duchesse d'Etampes. - X. La maladie et la mort de François Ier.PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande .......................... ‎

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‎[FRANCOIS Ier].-‎

Reference : 30747

‎François Ier.‎

‎ P., Aubier, Montaigne (Collection "Les Amours des Rois de France racontées par leurs Contemporains"), 1929, in 12 broché, 188 pages ; non coupé ; couverture légèrement fanée. ‎


‎La jeunesse de François Ier et ses premières amours - Marie d'Angleterre - La Reine Claude - Marguerite d'Angoulème, Duchesse d'Alençon, Reine de Navarre - Les femmes à la cour de François Ier - L'affaire Saint-Vallier (1523) et la légende du "Roi s'amuse" - La reine Eléonore - La Comtesse de Chateaubriand - Anne d'Heilly de Pisseleu, duchesse d'Etampes - La maladie et la mort de François Ier. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande .......................... ‎

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‎LEMOYNE, Pasquier.‎

Reference : LCS-18450

‎Le Couronnement du roy François premier de ce nom. Voyage τ conqueste de la duche de Millan, victoire et repulsion des exurpateurs dicelle avec plusiers singularitez des eglises, couvens, villes, chasteaulx et forteresses dicelle duche fais lan mil cinq cēs et quinze, cueillies τ rediges par Le Moyne sans froc (Pasquier Le Moyne). Edition originale rare contenant la description du couronnement de François Ier. ‎

‎Ainsi que la bataille de Marignan et la Campagne d’Italie de François Ier. A este acheve de imprimer le xxè iour de septembre mil cinq cens et vingt pour Gilles Couteau imprimeur à Paris (1520). In-4 gothique de (104) ff. Maroquin rouge janséniste, dos à nerfs fleurdelysé, double filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Trautz-Bauzonnet. 188 x 129 mm.‎


‎Edition originale. «Very rare» (Fairfax Murray, n°312). «Pasquier Lemoyne signait ses ouvrages «le Moyne sans froc» ou «le Riche en povreté», mais était en réalité portier ordinaire du roi. Il suivit François Ier en Italie et assista à la bataille de Marignan» (Bechtel). «The author ‘le Moyne sans froc’ names himself on sig. k4: ‘Je pasquier le moyne lors portier ordinaire du tresnoble… François premier’. The work, up to that leaf, consists of mingled verse and prose, and after that, of prose only, the whole describing as the title indicates, the principal achievement of Francois Ier, namely, the Expedition to Italy, the battle of Marignano, the Entry into Milan, &c. The date of the latter event is given as the 23rd of October: see also N°149, Entrée, where the date is the 16th of that month. On sig. n2 is given the names of some of the principals in the army, with the number of men under their command. The date of the privilege on reverse of title is 3 Aug., 1519: signed R. Guiot. On title-page is the beautiful device of the printer, consisting of a tree supporting a shield bearing the initial G and a *: on the other side, two smaller knives each with initial - A and N with a crescent: interspersed with flowers, evidently intended for piks (œillet): embraced by a scroll ‘Du grant aux petis’: the whole being an elaborate play on the name Gilles Couteau, which is below. The two smaller couteaux evidently refer to Gilles Coutau’s sons, the well-known printers, Anthoine and Nicolas, who continued the business up to at least 1543. As is well-known, Couteau the elder printed several books for Verard, and may have done so for his successor J. de la Garde, the type of the present book apparently being the same as in N° 84, Champier, bearing the latter’s name». (Fairfax Murray) Impression en caractère gothique à 30 longues lignes ornées de lettrines et d’une grande marque de l’imprimeur au titre gravées. L’ouvrage est composé d’une épître de R. Guiot au prévôt de Paris «ou son lieutenant», d’un long dialogue en vers entre un passant et l’auteur et enfin de la description du couronnement. Précieux exemplaire provenant des bibliothèques J.J. de Bure l’aîné (mention manuscrite signée «collationné complet le 30 septembre 1833»); Beverly Chew (ex-libris armorié gravé); Fairfax-Murray (n°312) et Georges Abrams. Ce volume fut catalogué et vendu 95 000 FF (14 500 €) le 11 mai 1991 par la Librairie P. Sourget.‎

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‎SIMON DE COLINES.‎

Reference : LCS-18039

‎ Horae en Laudem beatissimae virginis Mariae ad usum Romanum. Le génie iconographique de la Renaissance conservé dans une reliure de l’époque au décor inspiré par François Ier et Jean Grolier.‎

‎Exécutée par l’atelier au « Pecking Crow » travaillant pour Grolier. Paris, Simon de Colines, 1543. In-4 de 176 ff. (a-y8), 14 planches gravées à pleine page. Texte imprimé en rouge et noir. Almanach pour 1543-1568. Titre imprimé dans un encadrement architectural, toutes les pages bordées d'encadrements composites, 14 bois à pleine page avec bordures architecturales spécialement conçues pour chaque scène, et grandes lettres ornées à fond criblé. Plein veau brun foncé, plats recouverts d'un décor à la Grolier composé de filets dorés, entrelacs géométriques peints en noir et fleurons dorés, dos orné entre chaque nerf d'un petit fleuron doré, coupes décorées, tranches dorées et ciselées, ancienne restauration au bas du plat supérieur. Étui. 233 x 164 mm.‎


‎Riche reliure de l’époque exécutée par l’un des ateliers parisiens travaillant pour Jean Grolier, le « Pecking Crow » atelier. Harvard II, 306 ; Brunet, V, 1661-1662 ; Renouard, pp. 378-379 ; Rothschild, vol. 3 n° 2537 ; Brun p. 233, 8è éd ; Bernard pp. 209-212 ; Bohatta n° 1212 ; Lacombe 426, 426 bis ; Pichon cat 1897 ; Rahir 1931 ; Mortimer 306 ("First Colines quarto edition") ; Schreiber ; Simon de Colines 206. L’un des plus beaux spécimens de l’art des Heures historiées au XVIe siècle. (Firmin Didot). Premier livre d'heures publié par Simon de Colines en format in-quarto, et premier emploi de ces bois très importants dans l’histoire de l’illustration. Décorée sur chacune des pages, l'édition fait usage de 16 beaux bois d'encadrement de texte (répétés) d'une grande variété et de 14 bois à pleine page (scènes du Nouveau Testament). Schreiber, tout en les rapprochant des productions de Tory pour ses livres d'Heures, en souligne également les différences : d'une finesse et d'un détail peu communs, les bois de Simon de Colines portent des effets d'ombre particulièrement minutieux et des détails trop nombreux pour être coloriés. La publication en 1543 était l'aboutissement d'un projet de longue durée : certains des bois sont datés de 1536, 1537, et de 1539 ; sept sont signés de la croix de Lorraine. Première occurrence d'un encadrement architectural à décor de termes sur la page de titre d'un livre parisien, due au génial inventeur qu'est Simon de Colines. Brunet insiste sur la beauté de ces encadrements « parmi lesquels se font surtout remarquer les noirs. Ils ne portent pas la marque de Tory mais ils sont tout à fait dignes de lui être attribués... Les grandes initiales fleuronnées sont de la plus grande beauté ». Didot, dans l'analyse qu'il consacra à ce grand livre écrit : « Toutes les pages sont entourées de riches bordures en arabesques, tantôt en noir, tantôt en clair et toujours sur fond blanc. Ce beau livre paraît avoir été fait en concurrence avec les heures de Maillard de 1542 et l'on doit, je crois, le restituer entièrement à Simon de Colines ». « Les figures sont au nombre de 14, la première représentant Saint-Luc écrivant est la seule qui soit dessinée au simple trait ; les autres sont légèrement ombrées. Elles sont généralement attribuées à Geoffroy Tory mais, bien qu'elles soient dans sa manière, elles offrent cependant une très grande différence d'exécution avec celles parues avant 1536, date de sa mort ». (Brun, Le livre français illustré de la Renaissance). Ces 14 grandes figures, y compris leur encadrement, mesurent environ 210 x 130 mm. Trois d'entre elles, la Visitation, l'adoration des Mages, le roi David, sont marquées de la ‡ ; ce sont d'ailleurs les plus belles. Le célèbre portrait en médaillon de François Ier, inséré dans la bordure de la gravure de la résurrection de Lazare (f. mi) est d'un tirage très pur. Précieux exemplaire, réglé, grand de marges (233 x 164 mm), imprimé en caractères ronds, orné de capitales rubriquées en rouge, issu du tout premier tirage avec de nombreux encadrements à la date de 1536, revêtu d’une reliure parisienne de l’époque, issue de l’un des ateliers parisiens travaillant alors pour Jean Grolier, le « Pecking Crow » atelier. Pour les fers utilisés par le « Pecking Crow » atelier, voir Needham 12 Centuries n°54, Nixon PML n°17 et Foot Davis Gift I, pages 129-138. Le catalogue Harvard (II, n° 306) présente, sur le même livre, une reliure semblable. « Cette reliure emprunte aux « deux foyers de stimulation » de cet art, analysé par Jean Toulet dans l'Histoire de l'édition française. François Ier et Jean Grolier en sont les initiateurs. François Ier s’installe à Fontainebleau à partir de 1530 et décide d’y réunir une importante bibliothèque. Pour la première fois en France on y voit se définir un véritable programme de reliures. Le choix se porte alors sur des couvrures de veau brun très foncé ou noir. Jean Toulet décèle dans cette tonalité sombre une intention de dignité en accord avec celle de la bibliothèque royale conçue comme un réceptacle de textes antiques et humanistes et un lieu d'études. Le second foyer de stimulation est celui de la bibliothèque de Jean Grolier qui découvre la reliure comme mode de distinction sociale. « Ses reliures, d'une grande qualité de facture substituent à l'ornementation ponctuelle par fers et aux encadrements de filets, un décor constitué par des entrelacs qui structurent la surface rectangulaire des plats ». L’apport des couleurs peintes (ici le noir) met en évidence les jeux d’entrelacs et les formes de fers évidés. L'impact de ces couleurs atténue celui des dorures d'autant plus que se généralisent les fers azurés. Ainsi les reliures à entrelacs géométriques, essentiellement œuvres de Claude de Picques, ouvrent elles la voie à des recherches formelles nouvelles. La Librairie Patrick Sourget a catalogué et vendu deux autres exemplaires de ce livre d’Heures : en 1995, en reliure de Claude de Picques, 600 000 FF (91 500 €) (Ref. Deux cents Livres Précieux, n°24) et en 1999, il y a 22 ans, une autre reliure de l’atelier au Pecking Crow, 250 000 FF (37 500 €) (Ref. Manuscrits et livres précieux. Catalogue XIX, n°22). Provenance : acquis en 1934 chez Desombes.‎

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