Un ouvrage de 358 pages, format 155 x 240 mm, broché, publié en 1975, Le Courrier du Livre, collection "Le Système Hygiéniste", bon état
Reference : LFA-126747670
Traduit de la troisième édition américaine
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 12, 13 et 14 décembre 2025 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre).
Paris Au Bureau, rue Feydeau : L'Écho de la Jeune France : journal des progrès par le christianisme, publié par la Société de la Jeune France 1833/1835 -in-8 demi-veau 2 tomes reliés en un volume, reliure demi-veau glacé havane foncé grand in-octavo (binding half calfskin in-octavo)(25 x 16 cm), RELIURE D'ÉPOQUE, dos long (spine without raised bands), décoré "or" (gilt decoration), titre et tomaison frappés "or", roulette "or" en place des nerfs avec un filet "or" de part et d'autre, roulette "or" en place des nerfs avec un filet "or" de part et d'autre en tête et roulette large "or" en pied, entre-nerfs à gros fleurons "or", coiffe supérieure et inférieure arasées, dos taché et mors fendus sur toute la longueur (à restaurer - intérieur trés bon), papier peigné marron foncé et marron clair aux plats légèrements frottés, toutes tranches lisses, orné de 6 gravures hors-texte en noir avec serpentes (dont la maison de Mademoiselle DUGUIGNY ainsi que la chambre de Madame la Duchesse de Berry à Nantes suite à son arrestation), rousseurs passim mais n'empéchant à aucun moment la lecture, (430 + 2 p. de Tables) + (1 p. de Tables + 388) Pages, Avril 1834 au 5 Mars 1835 Paris Au Bureau, rue Feydeau : L'Écho de la Jeune France : journal des progrès par le christianisme, publié par la Société de la Jeune France Editeur, + Tome III, reliure demi-veau glacé havane foncé grand in-octavo (binding half calfskin in-octavo)(25,2 x 16,2 cm), RELIURE D'ÉPOQUE (mais légèrement différente que celle du Volume I), dos long (spine without raised bands), décoré "or" (gilt decoration), titre et tomaison frappés "or", roulette "or" en place des nerfs avec un filet "or" de part et d'autre, roulette "or" en place des nerfs avec un filet "or" de part et d'autre en tête et roulette large "or" en pied, entre-nerfs à gros fleurons "or", papier peigné marron foncé et marron clair aux plats, toutes tranches lisses jaspées marron et bleu, orné de 14 gravures hors-texte en noir (dont une planche dépliante et dont 4 planches portraits gravés en noir : Lamartine, Victor Hugo, Chateaubriand et Casimir Delavigne), 520 Pages, avril-décembre 1835 Paris Au Bureau, rue Feydeau : L'Écho de la Jeune France : journal de réforme sociale par le christianisme Editeur
L'ÉCHO DE LA JEUNE FRANCE : journal des progrès par le christianisme PUIS journal de réforme sociale par le christianisme : Tome 1er, 1re livraison (avril 1833) au Tome 3 : décembre 1835] ..... Collaboration de BALZAC qui publie dans le premier numéro l'ÉDITION PREORIGINALE de "LA DUCHESSE DE LANGEAIS" sous le titre de "Histoire des Treize, II. Ne touchez pas à la hache"(la préface de l'histoire des treize et le 1er épisode, intitulé : Ferragus chef des Dévorants ont paru dans le Tome XLVIII (Mars 1833) de la Revue de Paris)[Balzac rompt avec Pichot au moment de la publication de la dernière partie de Ferragus et donne le début du nouveau roman au journal légitimiste L'Echo de la Jeune France, où paraissent, fin avril et début mai 1833, le premier chapitre et le début du deuxième. A ce stade le roman devait comporter trois chapitres, mais Balzac, brouillé avec le directeur de L'Echo qui avait publié le deuxième chapitre sans le « bon à tirer » de l'auteur, abandonne son texte et consacre plusieurs mois à la rédaction d'Eugénie Grandet. C'est en novembre et surtout à Noël auprès de Mme Hanska en Suisse qu'il reprend ce deuxième épisode et l'achève en mars 1834] ; BONALD (Progrès de la civilisation par les réformes) ; CRETINEAU-JOLY, CHATEAUBRIAND (Danger et inutilité de l'athéisme), BALLANCHE (De la formule générale de l'histoire de tous les peuples), GOBINEAU, LAMARTINE, WALSH etc ........ Tome 1 1833-1834 tiré à 10 000ex, Tome 2 1834-1835 tiré à 15 000ex, Tome 3 1835-1836 (tirage non indiqué, probablement moindre car la fin de publication date de 1837). Véritable pièce d'histoire politique. Cette revue, notamment intéressée à la critique littéraire, critique d'art, récits de voyages, critiques des évènements de son temps, publication de ce qui serait aujourd'hui appelé des éditoriaux... A attiré l'attention des plus grands auteurs comme Balzac, ou encore Chateaubriand, sensible aux idées des légitimistes. Chateaubriand avait en effet prononcé un discours contre l'avènement sur le trône de Louis Philippe, après les Trois Glorieuses. Des textes de Chateaubriand, spécialement écrits pour la revue, y sont publiés. Il se retrouvait alors parfaitement dans la critique contre l'orléanisme. L'écho de la Jeune de France se voulait un contrepoids à la toute nouvelle Monarchie de Juillet et un soutien à Henri V qui aurait pu succéder à Charles X en 1830. Au fil des pages, l'esprit politique, plus ou moins directement exprimé, se devine aisément (croustillante critique acerbe de la fête des trois jours, qui célèbre la fin de la monarchie de Charles X, dans le tome 1). L'écho de la Jeune France a symbolisé toute l'idéologie d'une certaine branche de la population française à cette époque. Elle a eu jusqu'à 10 000 abonnés ........ Bons Exemplaires ........... RARE............en bon état malgré les défauts de reliure du Volume I à restaurer (good condition). en bon état
Reference : 1540
Paris, Association de la jeune peinture, 1980. 38 x 27 cm, non paginé, [164 pp.]. Broché, une petite déchirure sur le deuxième plat sinon bel exemplaire. Très nombreuses illustrations. Il existe 2 catalogues correspondant au Salon de la jeune peinture 1980. Le salon de la jeune peinture 1980 sous la présidence de Benedito Concha, semble correspondre à une scission au sein de la Société de la Jeune peinture. Ce salon dissident a gardé le nom de "Salon de la jeune peinture". La fraction de la Société de la jeune peinture n'ayant pas suivi cette scission, renommée pour l'occasion "Société de la jeune peinture, jeune expression", a organisé le salon habituel sous le nom "Jeune peinture, jeune expression, 31e salon", du 5 au 31 mai 1980, Parc floral de Paris.
Paris Conquet 1881 2 vol. Relié 2 vol., in-4 pour la suite et gr. in-8 pour le texte gravé, plein maroquin à gros grain rouge, dos à nerfs, bordure intérieure avec frise dorée, double filet doré sur les coupes, coiffes guillochées, tranches dorées, couverture bleue de la suite conservée (Lortic fils), XXIV + 104 p. pour le vol. de texte. Splendide réédition de cette seconde et troisième suite d'estampes pour servir à l'histoire de la mode vestimentaire dans la haute société française du XVIIIe siècle, qui présente les 24 compositions de Moreau le Jeune gravées par Dubouchet. Notre suite sur Japon blanc contient trois états du frontispice (portrait de Moreau le Jeune par Cochin), de la page de titre et des gravures : l'eau-forte pure (70 collections numérotées), l'eau-forte avancée (70 collections numérotées) et l'épreuve terminée (150 collections numérotées), chacune présentée sous serpente légendée. Tirage limité à 490 exemplaires pour la suite et à 370 exemplaires numérotés pour le volume de texte gravé, également sur Japon blanc. On y retrouve une notice de Philippe Burty, le discours préliminaire de Cochin, la table des estampes et leurs notices respectives par Rétif de la Bretonne.La première parution de cette suite d'estampes date d'avant la Révolution. En 1773, Eberts, un strasbourgeois installé à Paris, projette de constituer un recueil des modes de son temps publié annuellement sous la forme de livraisons de douze estampes accompagnées d'un texte explicatif. Pour illustrer la première suite, qui sert à découvrir les étapes de la journée d'une galante parisienne, il fait appel à Freudeberg, un jeune dessinateur peu expérimenté qui laisse son travail inachevé. Pour les deux suites suivantes, Eberts se tourne vers Moreau le Jeune qui connaît bien la bonne société parisienne. La seconde suite, d'esprit rousseauiste, présente les étapes de la maternité, et la troisième, en pleine mode de l'anglomanie, retrace les loisirs d'un petit maître. En 1789, paraît la première édition en volume : Eberts demande à Rétif de la Bretonne de rédiger des notices aux images. Le succès est à nouveau au rendez-vous mais la Révolution fait oublier ces estampes qui flattent l'aristocratie déchue. Il faut attendre le retour en grâce de Marie-Antoinette favorisé par Edmond de Goncourt pour redécouvrir ce monument, emblème incontournable de la mode au XVIIIe siècle. Parfait ensemble sur Japon blanc dans une superbe reliure janséniste de Lortic.
Paris Gallimard 1926 petit in-8 broché Paris, Gallimard, 1926. 19 x 12 cm, petit in-8, 250 (1) pp., broché.
Edition originale. L'un des 1256 exemplaires sur vélin pur-fil Lafuma, parmi lesquels celui-ci est l'un des 42 exemplaires d'auteur (n° 1226). Intéressant exemplaire enrichi d'un ENVOI autographe signé d'André Maurois à son confrère J.-H. Rosny jeune [Séraphin Justin François Boex], "à qui ce livre rappellera peut-être certains des premiers thèmes qu'il traite, en sympathie et admiration". L'exemplaire fut ensuite offert par Rosny jeune à un ami : "transmis à Jean Cruble [?], J.H. Rosny jeune". De la bibliothèque du grand bibliophile Victor Mercier avec une fiche bibliographique rédigée de sa main. Couverture défraîchie et dos fané. Assez bon
RAYNAL H. philosophique et politique et du commerce.. dans les deux Indes 1780
Reference : 4839