Un ouvrage de 199 pages, format 150 x 220 mm, broché, publié en 1996, Editions Par Exemple, bon état
Reference : LFA-126737498
Parachutée en 1943 : la vie d'un agent du S.O.E. Témoignage recueilli par Hervé Larroque
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 20, 21 et 22 juin 2025 (de 10 h à 18 h) à l'occasion de notre grande Foire aux Livres estivale, exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre). Sans oublier notre braderie de plusieurs milliers de livres à 1 € sous chapiteaux !
CREPAX (Guido). REAGE (Pauline). PAULHAN (Jean). AURY (Dominique).
Reference : 46739
Paris : Editions Trinckvel, 1975. Un volume (24x30cm) pleine toile imprimée, gardes illustrées or sur noir, (312) pages avec plus de 150 planches hors texte dessinées par Guido Crepax. Edition originale tirée à 5000 exemplaires numérotés sur offset neige (ex. n°3648). Joint la gravure originale en taille douce (14,4x19cm) sur vélin d'Arches crème SIGNEE par Guido Crepax. + exemplaire de souscription sous reliure simili-cuir de 48 pages (choix de planches). Ensemble en bon état.
Célèbre adaptation du roman de Dominique Aury et Jean Paulhan comprenant la gravure originale signée par l'artiste.
38 lettres manuscrites dHenri Béraud à Pauline Teillan-Dullin, du 2 février 1917 au 31 décembre 1949. La longueur de ces lettres va dun seul à une dizaine de feuillets (toujours rédigés au seul recto). En tout : 90 feuillets, certains à en-tête des journaux où écrivait Béraud (Bonsoir, Le Petit Parisien) où des hôtels européens où lavaient conduit ses reportages (Shelbourne Hotel, Dublin ; Hotel Bristol, Wien ; Excelsior, Roma) ; plusieurs enveloppes sont conservées. Pauline Teillan-Dullin a numéroté les lettres que lui envoyait Béraud. Celles que nous avons retrouvées commencent avec la lettre n° 17 (2 février 1917) hormis une enveloppe vide, à ladresse de Pauline Teillan-Dullin, datée du 12 novembre 1916 par le cachet de la poste) ; elles cessent avec la lettre n° 78 (31 décembre 1949). Suit un dossier darticles de presse consacrés au procès dHenri Béraud (articles de François Mauriac, Pierre Brisson, Lucien Rebatet, Sacher Basoche [pseudonyme de Louis Truc], Fernand Pouey), puis à sa libération. /// Notre catalogue " Henri Béraud " est disponible sur simple demande.
Henri Béraud fut toujours très discret sur sa vie amoureuse. Après un bref mariage avec Marie-Joséphine Maulet (qui se fit et défit en 1912), trois femmes partagèrent la vie de Béraud de façon durable : Marthe Deladune, peintre et danseuse, qui fut sa compagne de 1913 jusquen 1928, date à laquelle, atteinte de troubles psychiatriques, elle mourut dans lasile où elle avait dû être internée ; Maryse Dalbret, sa secrétaire, avec laquelle il se lie en 1927, et qui le quitte en 1937 (mais elle continua dêtre sa secrétaire) ; Germaine Langlade, née Batailler, qui sera son épouse de 1940 jusquà la mort dHenri Béraud en 1958 elle lui survivra jusquen 1989, ne quittant jamais les Trois-Bicoques de Saint-Clément-des-Baleines. /// La correspondance que nous proposons ici met au jour une liaison inconnue des biographes et des spécialistes plus longue que celles précédemment citées, et parallèle à elles. Il sagit dun amour de jeunesse, concrétisé à lâge adulte. Le contexte et les détails de lhistoire nous manquent. Mais cette affaire est compliquée, heurtée, soumise à des nombreuses crises. Que les deux protagonistes soient mariés (mais pas lun avec lautre) complique évidemment la situation. Cet amour dHenri Béraud, jusquaujourdhui resté inconnu, est Pauline Teillan, née Dullin. Elle est la sur du grand acteur Charles Dullin, qui, avec Albert Londres, fut le plus grand ami lyonnais du jeune Béraud. La correspondance que nous avons mise au jour commence en 1917, par de très belles et déchirantes lettres écrites au front, en Picardie. Elle dure sans interruption jusquen décembre 1949 dernière lettre envoyée par Béraud, de son pénitencier de lIle de Ré, après la mort de Charles Dullin. Pauline Teillan-Dullin a soigneusement conservé et numéroté les lettres de Béraud. Son dossier contient aussi plusieurs articles relatifs au procès de Béraud, puis à sa libération. Pauline Teillan-Dullin reste très discrète sur Henri Béraud dans son beau livre de mémoires, " les Ensorcelés du Chatelard ". En revanche, Béraud, évoque Pauline Dullin avec tendresse dans " Quas-tu fait de ta jeunesse ? " : « Dullin arrivait de sa Savoie natale. Dernier de seize enfants, il avait grandi dans une espèce de métairie féodale [« le Chatelard »], flanquée de tours où nichaient des corneilles. A la mort des parents, sa sur Pauline lavait appelé auprès delle. Aussi belle que noble, elle était comme un vivant reflet de Lucile, et nous avions tous pour elle les yeux de René [allusion à Lucile et René de Chateaubriand]. Cette femme admirable avait adopté Charles comme un fils. Elle partageait ses rêves, et sans doute fut-elle la première à comprendre ce quil avait en lui de courage et de foi » (Quas-tu fait de ta jeunesse ?,III, I) /// Ces lettres dHenri Béraud à Pauline Teillan-Dullin donnent à voir un personnage bien différent de celui quil sest lui-même appliqué à construire pour le public. Très sensible, angoissé et insatisfait, en proie au doute, très critique envers lui-même, il semble être le contrepoint du pamphlétaire redouté, de lhomme puissant et fort en gueule, dont sa réputation a laissé une image construite et fallacieuse.-
10 Floréal 13 [30 avril 1805] | 18.50 x 23.10 cm | une feuille
Lettre autographe de Stendhal adressée à sa sur Pauline. 28 lignes rédigées d'une fine écriture à l'encre noire. Prénom «Pauline» de la main de l'expéditeur au bas de la lettre. Numéro d'inventaire «36» à l'encre d'une autre main. Deux petites traces de timbre et cachet, une petite déchirure restaurée en marge basse de la page. Quelques infimes pliures inhérentes à la mise sous pli de la lettre. Rare et belle lettre de Stendhal adressée à sa sur Pauline, dans laquelle transparaît toute la sensibilité du jeune homme et son amour pour l'art dramatique plus d'une vingtaine d'année avant ses grands succès romanesques. Cette lettre provient de la correspondance qu'entretint Henri Bayle, ici âgé de vingt-deux ans, avec sa sur Pauline de trois ans sa cadette. Cette véritable liaison épistolaire, qui prit bien vite la forme d'un «journal» - les réponses de Pauline étaient rares - est un jalon essentiel dans la constitution du parcours intellectuel du futur Stendhal. Notre lettre, d'un grand lyrisme, témoigne de la force du lien unissant le jeune écrivain et sa sur: «Serrons-nous l'un contre l'autre ma bonne amie. Nous ne trouverons jamais personne qui aime Pauline comme Henri, ni Henri ne trouvera jamais une plus belle âme que Pauline.»L'emploi de la troisième personne et d'un vocabulaire amoureux érige la jeune femme au rang d'alter ego, d'âme-sur et même de maîtresse idéale. Le jeune Henri est alors justement sous le joug d'une dévorante passion pour la comédienne Mélanie Guilbert qu'il a rencontrée à l'occasion de ses cours de déclamation chez Dugazon: «Je m'en vais peut-être vous ennuyer par ma sombre tristesse. Je sais bien que le sérieux des passions ardentes, n'est pas aimable. » Contrastant avec cette relation passionnée, Pauline symbolise la raison et l'équilibre, une figure qu'Henri, tel un pygmalion peut façonner à loisir. En bon précepteur il conseille: «Apprends par cur des rôles. À propos de déclamation, je t'apprendrai mille choses. Je te porte un Gil Blas, et un Tracy.» On comprend ici l'adoration que Stendhal voua au théâtre dès ses plus jeunes années, tant en qualité de lecteur que de dramaturge (le fonds de ses archives à la Bibliothèque de Grenoble contient près de 700 feuillets d'ébauches): «Je suis au désespoir de ne pas pouvoir vous porter des Bonnets. Mais attendez, peut-être un jour viendra que...comme dit Ulino.» Cette passion du théâtre, Henri compte bien la transmettre à sa sur: «Nous travaillerons comme des diables, pendant le temps que je resterai à Grenoble.» En contrepied total avec l'éducation des femmes à son époque, il mit un point d'honneur à ce que Pauline soit une personne instruite; on retrouve d'ailleurs dans plusieurs lettres des injonctions du frère ordonnant à sa sur d'abandonner les travaux d'aiguille au profit des lectures qu'il lui recommande. Véritablement obsédé par le théâtre et persuadé qu'il deviendra un auteur de comédies à succès, il travaille sans relâche: «On m'annonce une chambre où je ne serai pas libre, et où je ne pourrai pas seulement déclamer. Tâche de déranger cet arrangement.» Bien des années avant la rédaction des grands romans qui feront sa renommée, Stendhal comprend déjà que la solitude - thème cher aux écrivains romantiques - est pour lui source de création et affirme: «Un solitaire est jaloux de sa liberté. C'est son plus grand bien comme c'est celui de tous les hommes.» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Précieux et bel exemplaire imprimé sur papier d’Angoulême revêtu d’une élégante reliure au chiffre de Pauline Bonaparte et orné de 2 portraits en frontispice, 4 portraits hors texte et l’écriture de l’auteur. Paris, Bossange, Masson et Besson, 1806. 8 volumes in-8 de : I/ (2) ff. 6 portraits, xxxv pp., (1) f., clxiv pp., 334 pp., II/ (2) ff., 479 pp., III/ (2) ff., 478 pp., IV/ (2) ff., 494 pp., V/ (2) ff., 480 pp., VI/ (2) ff., 447 pp., VII/ (2) ff., 527 pp., VIII/ (2) ff., 536 pp., (1) f. d’errata general. Plein veau brun raciné, roulette aux pampres de vigne encadrant les plats avec le chiffre P frappé or au centre, dos lisses très richement ornés, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque portant l’étiquette de Baudet Relieur. 199 x 120 mm.
Edition en grande partie originale et la première classée par ordre chronologique. « Les éditions les plus complètes et les meilleures de Mme de Sévigné sont les éditions du XIXe ». Tchemerzine, V, 829. Aux Lettres imprimées dans les précédentes éditions, Grouvelle en a ajouté d’autres : celles de Madame de Grignan et du marquis de Sévigné. Celles de Bussy-Rabutin, de Coulanges, de Corbinelli, forment, par les différences de leur style, des contrastes piquants et une agréable variété. L’idée d’avoir classé dans l’ordre de dates où elles furent écrites toutes les Lettres indistinctement, qui jusqu’alors formaient autant de recueils séparés, qu’il y avait de correspondances particulières, est très-heureuse ; elle ôte les lacunes où, pendant la réunion de la mère et de la fille, on les perdait totalement de vue ; mais par ce moyen, depuis l'âge de 22 ans jusqu'au moment de sa mort (car on a recueilli sa dernière, que l'éditeur nomme ingénieusement le chant du cygne), on suit tous les instants de cette femme intéressante, et le recueil de ses Lettres devient presque l'histoire de sa vie. C'est à l'ancien bibliothécaire de Napoléon et du conseil d'État, A.-A. Barbier, que Grouvelle était redevable du plan de son édition ; notre érudit bibliographe avait indiqué ce plan dans le Magasin encyclopédique. Une autre idée non moins heureuse est celle d'avoir fait graver quelques fragments d'une de ces lettres d'après un original qu'à force de soins on est parvenu à se procurer : l'imitation exacte des caractères nous met pour ainsi dire en plus intime connaissance avec l'auteur. » Les notes sont beaucoup plus exactes que celles des précédentes éditions ; elles servent de complément à ce que les lettres ne laissent quelquefois qu’entrevoir, et elles lèvent l’anonymat des noms qui n’étaient auparavant indiqués que par des initiales, une amélioration non moins importante est une table des matières très étendue. Précieux et bel exemplaire imprimé sur papier d’Angoulême revêtu d’une élégante reliure au chiffre de Pauline Bonaparte et orné de 2 portraits en frontispice, 4 portraits hors texte et l’écriture de l’auteur. Pauline Bonaparte (1780-1825), née Maria-Paoletta, est la seconde fille de Charles Bonaparte et de Letizia Ramolino. Sa beauté remarquable lui vaut de nombreux prétendants dès son adolescence, tels le controversé commissaire extraordinaire du Directoire Stanislas Fréron ou le général Duphot. Mais c’est au brillant général Victor-Emmanuel Leclerc que Napoléon décide de la marier en 1797. Lorsque celui-ci est nommé commandant en chef de l’expédition de Saint-Domingue en octobre 1801, avec pour mission de réprimer l’insurrection de l’île, son épouse et leur fils Dermide (né en 1798) l’accompagnent. Quoiqu’elle ne fasse pas preuve d’une grande fidélité conjugale, Pauline est profondément affectée par la mort de son mari un an plus tard, lors de l’épidémie de fièvre jaune qui fauche une grande partie du corps expéditionnaire. Bien avant d’adopter une politique matrimoniale destinée à fédérer le nouvel Empire d’Occident, Napoléon, obligeamment secondé par sa sœur, va faire d’elle un instrument de conquête diplomatique en la mariant au prince Camille Borghèse, chef d’une des plus grandes familles romaines, en novembre 1803. Princesse, elle ne cesse pas pour autant d’être une aventurière sentimentale, et le couple va vivre séparé la plus grande partie de son existence, Pauline résidant à Paris tandis que Camille poursuit une carrière militaire sans éclat dans l’armée impériale. La plus belle victoire que celui-ci apporte à Napoléon lui est particulièrement douloureuse : c’est celle de la vente à l’État français de sa collection d’antiquités, l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses d’Europe, en novembre 1807. Il y a été contraint par de graves difficultés financières, dues à la conjoncture politique autant qu’au train de vie de Pauline, et par les pressions de l’Empereur lui-même. D’abord flatteuse, l’alliance qu’il a contractée avec le clan Bonaparte s’avère ruineuse pour l’héritier des Borghèse. Il reçoit certes en compensation la concession des rentes du fief de Lucedio dans le Piémont. Napoléon le nomme par ailleurs gouverneur général des départements au-delà des Alpes, avec Turin pour siège du gouvernement, notamment dans l’espoir de voir Pauline lui revenir. Mais le rapprochement ne se fera qu’après la chute de l’Empire, après que la sœur de Napoléon aura dû abandonner l’espoir de l’accompagner dans son exil. La grande beauté de Pauline lui vaut une place à part dans la galaxie des napoléonides. Si elle jouit sans réserve du pouvoir que son physique et son charme lui permettent d’exercer sur les hommes, c’est sans autre but que de satisfaire son désir de liberté. Elle ne renonce pas aux aventures amoureuses en se soumettant aux volontés matrimoniales de Napoléon. Si elle met sa personne au service des desseins politiques de son frère, c’est par manque d’ambition personnelle, mais surtout en raison d’une affinité élective comparable à celle qu’Élisa partage avec Lucien. Son besoin d’exclusivité, qui trouve son origine dans les attentions que Napoléon lui a très tôt prodiguées, a d’ailleurs engendré des conflits avec Joséphine ainsi qu’avec Marie-Louise, dont elle se sent concurrente. Étrangère aux enjeux du pouvoir et sincèrement attachée à sa famille, Pauline est un agent de liaison entre ses frères et réussit parfois à les réconcilier. Elle est cependant la seule, Madame Mère exceptée, à partager le sort de l’Empereur au moment de sa chute, quand les autres napoléonides s’accrochent à leur couronne. Elle l’accompagne en exil sur l’île d’Elbe, lui envoie ses diamants quand elle le croit financièrement embarrassé au moment de son retour, et veut être à ses côtés à Sainte-Hélène. C’est néanmoins à Florence, près de son mari avec qui elle s’est réconciliée, qu’elle meurt le 9 juin 1825.
Hachette, 1963 in-8°, 255 pp, notes et références, cart. éditeur, jaquette illustrée, bon état
"La sœur de Louis et de Napoléon, Pauline, a été l'objet de nombreux ouvrages, celui de Bernard Nabonne a le mérite d'utiliser les lettres de Pauline à son premier mari, le général Leclerc, et à sa confidente, Mme Michelet, que n'avait pas connues Frédéric Masson. Ces documents permettent à l'auteur d'expliquer les multiples infidélités de Pauline. Il les met sur le compte de son état physiologique. Mais il s'élève contre les bruits qui ont couru sur la nature des relations entre Pauline et Napoléon, Pauline, malgré la légèreté de son caractère, est le seul membre de la famille Bonaparte qui ait aidé Napoléon, exilé à l'île d'Elbe. Elle, qui aimait tant ses bijoux, n'a pas hésité à les sacrifier pour faciliter le retour en France, en 1815." (J. Godechot, Revue Historique, 1967) — "On a beaucoup écrit sur Pauline Bonaparte, princesse Borghèse : soit hâtivement comme J.-H. Rosny jeune – qui en 1938, fit paraître sur la soeur de Napoléon Ier un livre romanesque, dépourvu d'esprit critique – soit avec des idées à priori hostiles ou favorables à cette femme d'humeur fort galante, soit comme Frédéric Masson, bonapartiste convaincu et toujours prêt à innocenter ou à excuser son héroïne. De telles conceptions du rôle de l'historien ne peuvent donner naissance qu'à des oeuvres imparfaites : à de l'histoire romancée, genre hybride, ou à des études dépourvues d'objectivité. Le nouveau livre de Bernard Nabonne correspond heureusement à la conception de l'histoire scientifique, c'est-à-dire uniquement basée sur les documents et sans parti pris. C'est la seule acceptable. Honnêtement, l'historien béarnais expose ce qui découle des textes mêmes. Quand ceux-ci sont contradictoires, quand la thèse des partisans de Pauline et celle de ses ennemis s'opposent et qu'aucune des deux ne paraît concluante, Bernard Nabonne ne tranche pas : il se contente de montrer le pour et le contre des deux versions." (Louis Saurel, Revue Europe, 1949)