1779 Avignon, Louis Chambeau, 1779, in-12 de XXII-(2) pp., 441 pp., reliure de l'époque du 1er tiers du XIXe siècle, demi-veau marron, dos lisse orné de fleurons, roulettes et motif romantique dans la hauteur, bon ex.
Reference : 18101
“Comme presque tous les ouvrages de ce théologien sont remplis d'érudition et abondent en détails curieux sur les usages de l'Eglise catholique, on les recherchent beaucoup, mais plusieurs sont devenus rares (...)". (Brunet V, 819-820).
Fronhofer Schlösschen Galerie
M. Bernard Esposito
Kreuzstrasse 3
97775 Burgsinn
Germany
+49 9356 6034856
envoi des livres à réception du règlement virement bancaire, PayPal.
Chez Louis Chambeau Avignon 1779 In-12 ( 170 X 100 mm ) de XXII-441 pages, pleine basane fauve, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, tranches brique ( Reliure de l'époque ). Coins et coiffes usés, bon exemplaire. "les ouvrages de ce théologien sont remplis d'érudition, abondent en détails curieux et sont devenus rares" ( Brunet V, 819-820 )..Les Perruques.Ouvrage curieux. Antiquité des perruques. Les femmes juives en portaient. L'abbé de la Rivière, évêque de Langres, patriarche des ecclésiastiques perruquets. Des Barêtes. Des Mitres. Des Aumusses. Des Capuchons. Des Chapperons. Des Coiffes. Des Amitz. Des Camils. Des Bonnets Carrés. Des Calottes. Traditions de l'Église. Condamnation des cheveux bouclés et frisés. Cheveux, barbes et sourcils teints. Condamnation des perruques ecclésiastiques. Diverses sorets de perruques : Des grandes, des petites, des perruques à calottes, à Bichon, à la Moutonne, des perruques d'abbé, des perruques teintes, poudrées, parfumées, sans couronnes, à fausses couronnes, à couronnes de couleur de chair. Moyen pour empêcher les ecclésiastiques de porter des perruques.
Paris, aux dépens de l’auteur, 1690. In-12, (12) ff., 544 pp., (1) f., vau brun marbré, dos à nerfs orné, tranches mouchetées rouges (Reliure de l’époque). Colas, n° 2869. - Lipperheide, n° 1660.Édition originale rare de cette histoire des perruques et des coiffes depuis l’Antiquité jusqu’au XVIIe siècle.Docteur en théologie, l’abbé Jean-Baptiste Thiers (1636-1703) s'attache surtout à dénoncer leur usage excessif par les hommes d’Église. Contraire à la décence religieuse, lié au goût du luxe et à l’orgueil, le port de la perruque serait même nuisible à la santé ! Thiers finit par lister les "moyens propres pour empêcher les Ecclésiastiques de porter des perruques, particulièrement en France".Ex-libris Kilian Fritsch.Coiffes habilement restaurées, minime galerie de ver, notes anciennes sur les gardes.
1777 Avignon. Louis Chambeau. 1777. 1 volume in-12, basane fauve marbrée, dos à nerfs orné.XXII pp. ; (1) f. ; 441 pp. ; (1) p. bl.
Seconde édition. Docteur en théologie, l’abbé Jean-Baptiste Thiers (1636-1703) retrace l’histoire des perruques et des coiffes depuis l’Antiquité jusqu’au XVIIe siècle, tout en dénonçant leur usage abusif chez ses contemporains, et notamment chez les ecclésiastiques qu’il accuse de céder à la vanité et à la mondanité. Ex-libris Kilian Fritsch. Colas, 2870.
Paris, Aux dépens de l'auteur, 1690. In-12, plein veau époque, dos à nerfs orné de fleurons et de filets dorés, titre doré, toutes tranches jaspées. Titre, 11 ff non chiffrés, 544 pp, 1 p non chiffrée. Edition originale, ex-libris de Monsieur Leboucher, avocat général de la chambre des comptes de Bretagne contrecollé sur le contreplat supérieur. Coiffe supérieur manquante, mors supérieur fendillé en tête, sinon bel exemplaire.
Cet ouvrage raconte l'histoire des perruques depuis l'Antiquité et critique l'usage que les ecclésiastiques de son époque en font, leur recommandant même d'abandonner l'usage de la perruque.
Paris, aux dépens de l'auteur, 1690 ; in-12 de [12] ff., 544 pp., veau brun moucheté de l'époque, dos à nerfs orné, tranches mouchetées rouges.
Édition originale rare. L'ouvrage retrace l'histoire des perruques et des coiffes depuis l'Antiquité jusqu'au XVIIe siècle, tout en dénonçant leur usage abusif chez les contemporains de l'auteur – en particulier chez les clercs. « Comme presque tous les ouvrages de ce théologien sont remplis d'érudition et abondent en détails curieux sur les usages de l'Église catholique, on les recherche beaucoup » selon Brunet. Ex-libris armorié du bibliophile blésois Louis-Alexandre Gitton du Plessis, « l'un des bibliophiles les plus ardents » (Guigard, II, 194). Un autre ex-libris a été ôté. Charnière supérieure fendue, coiffes et coins abîmés.