1899 Paris, Edition de la Plume, 1899, grand in 4 br. de 82 pp. non chiffrées (Lhermitte p. 144), portrait de l'auteur en frontispice gravé par Antonio de La Gandara, sans rousseurs, sous portefeuille cartonné, bel exemplaire.
Reference : 11283
Ed. orig. des 2 premières stances, un des 100 ex. (n°61) sur Chine numérotés et paraphés à la main par l'éditeur, seul tirage. Il est joint une gravure hors-texte d'inspiration symboliste de La Gandara tirée sur Chine (non signée mais comportant une attribution manuscrite au dos). Nous joignons également à cet exemplaire l'édition originale des Stances III, IV, V, et VI, parue chez le même éditeur en 1901, un des 850 ex. sur vélin, broché et non coupé.
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1905 Paris, Mercure de France 1905 In-12, 214 pp. , avec un portrait de l'auteur par A. De La Gandara, broché, Le premier plat porte 1906 comme date, la page de titre: 1905. Edition reproduisant celle de «La Plume». Justification du tirage (472). Talvart et Place, XXI, 17B.
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A Paris, chez Denis Thierry et Claude Barbin, 1688. 2 parties reliées en un vol. au format in-12 (165 x 98 mm) de 1 f. n.fol., 173 pp., 5 ff. n.fol., 33 pp. et 1 f. bl. Reliure de l'époque de plein veau moucheté havane, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets gras à froid, caissons d'encadrement dorés, larges fleurons dorés, titre doré, palette dorée en tête et queue, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées.
L'ouvrage s'agrémente de nombreux tout autant que délicats bandeaux et culs-de-lampe. ''Testu traduisit en vers les plus beaux endroits de la Bible, sous le titre de Stances chrétiennes. Ces Stances furent très accueillies par les âmes pieuses à qui elles étaient destinées ; elles furent même jugées dignes d'être citées dans l'Académie comme des modèles de sensibilité et d'onction. Il faut toujours se souvenir que les finesses de l'art étaient alors un secret que deux ou trois grands poètes s'étaient réservés''. (D'Alembert, In Oeuvres I, p. 385). Barbier IV, Dictionnaire des ouvrages anonymes, 562 (pour une édition de 1669) - Quérard IX, La France littéraire, p. 385 (pour une édition de 1703). Quelques frottements au dos. Infimes marques d'usage affectant les plats. Quelques rousseurs dans le texte. Cerne claire dans le corps d'ouvrage ayant pu entraîner une irisation en marge de quelques feuillets. Du reste, bonne condition. Peu courant.
Imprimerie Ve E. Aubert, Versailles. 1893. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Non coupé. 87 pages. Papier muet encollé sur le dos, le consolidant. Etiquette de code sur la couverture. Quelques tampons de bibliothèque. Traces de colle sur la couverture. Manques sur les bords des plats.. . . . Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
Etude sur les Vers libres de Molière comparés à ceux de La Fontaine et aux Stances de la versification lyrique. Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
Paris, Editions de La Plume / Bibliothèque du Parthénon, 1905. Un vol. au format gd in-12 (190 x 152 mm) de 213 pp. Reliure de l'époque de pleine percaline satinée marine, plats et dos recouverts d'un papier dominoté, dos lisse, pièce de titre de maroquin caramel agrémentée de doubles filets dorés, titre doré.
Edition en partie originale et première édition collective. Elle s'agrémente au faux-titre d'un envoi autographe signé de Jean Moréas : ''au Docteur Scrimi / cordial hommage / [signature]''. Tirage unique à ''633 exemplaires de luxe numérotés''. Celui-ci comptant parmi les 600 au format in-16 jésus. L'auteur avait déjà commencer à prendre ses distances avec les influences germaniques et scandinaves sensibles dans une partie de l'inspiration symboliste. Approfondissant cette esthétique, il se détourne du symbolisme pour fonder en l'école romane, qui veut rompre avec l’hermétisme et opposer à l'obscurité et aux brumes du nord la lumière du monde gréco-latin. Son présent recueil - le plus célèbre - illustre cette nouvelle ambition avec plus de bonheur que les œuvres antérieures, dans une langue d'une pureté classique qui rappelle André Chénier. ''Moréas, dans les Stances, nous montre une poésie égale en pureté et en précision aux œuvres les plus achevées de la Renaissance. On retrouve là le ton des sonnets si parfaits de Ronsard et de du Bellay, sans qu'il y ait imitation, car la langue dont il se sert est bien la sienne, celle qu'il a forgée patiemment au feu de la forge classique, avec un métal particulier : le métal Moréas. Elle est hardie, cette langue, neuve, exacte. L'art y corrige l'ingénuité, et l'originalité s'y soumet au joug du goût. Le Moréas des Stances peut être entièrement senti et compris par une jeune fille habituée aux romances et aux chansons ; il sèmera en elle des désirs, des amours, des regrets, des espoirs ; il mettra dans ses mains et approchera de son cœur de simples fleurs aux parfums pénétrants, aux couleurs un peu mélancoliques''. (Rémy de Gourmont). Coiffes légèrement embouties. Petit défaut affectant es angles de la pièce de titre. Papier très légèrement oxydé en marge. Nonobstant, très belle condition.
DUGAZON ; FAVART ; FAULCON ; PERRIN ; PIIS ; MARLIER ; DEVIENNE ; COUPIGNY ; MEHUL ; GUEROULT ; MAGOL ; JADIN ; CATEL ; DAVRIGNY ; DALAYRAC ; RIGEL ; BERTON ; CRASSOUS ; SOLIE ; CHENIER ; DESORGUES ; CHERUBINI
Reference : S534