Flammarion 1929 in12. 1929. Reliure pleine toile. 270 pages. Etat Correct
Reference : 31125
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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[], [], [1796]. In-8 de 8 pp. Édition originale. Tourneux, IV, 24950.Richer-Serisy au Directoire. Rouen, l'An VI, Floréal (1798). In-8 de (2)-48 pp. Édition originale. En faveur des victimes de la journée du 18 fructidor, mais qu'il dut renoncer à la mettre au jour. Tourneux, I, 4896. Richer-Sérizy aux auteurs et aux acteurs de la Révolution à ses partisans et à Bonaparte son continuateur. S.l.n.d. In-8 de 36 pp. Édition originale. Extrait de l'Accusateur public, n°33 et 34. Note manuscrite ancienne en tête Pièce non connue de Deschiens très rare. Tourneux, II, 10955.Éloge de Richer-Sérizy, rédacteur de l'Accusateur public de la Révolution française. Paris, janvier 1817. In-8 de (2)-53 pp. Édition originale. Introduction et Notice sur Richer-Serisy par Augustin d'Aulnois suivies d'un extrait des n° 29 et 30 de l'Accusateur Public. Les Conséquences immédiates annoncées au verso du titre (deuxième et troisième parties) furent publiées ultérieurement. Tourneux, II, 10957. 4 pièces reliées en 1 vol. in-8, cartonnage Bradel peigne, pièce de titre noire (reliure du XIXe siècle).
Recueil de pièces extraites ou publiées en marge de L'Accusateur public par l'écrivain et publiciste royaliste Richer-Serisy (1764-1803) incarcéré le 4 décembre 1793 comme suspect malgré son amitié avec Camille Desmoulins - libéré le 27 septembre 1794 quand il commença la rédaction de L'Accusateur public qui allait devenir un des organes les plus remarquables et les plus influents de la réaction contre-révolutionnaire.
Paris, Migneret, 1794-1799. 34 livraisons numérotées I-XII et XIV-XXXIV reliées en 1 vol. in-8, basane fauve, dos lisse orné, pièce de titre olive, tranches rouges (reliure de l'époque).
Collection complète. Le numéro 13 n'a pas paru. La dernière livraison (n°35) est brochée.Un des organes les plus remarquables et les plus influents de la réaction contre-révolutionnaire, entièrement rédigé par Richer-Sérisy (1764-1803), ami et collaborateur de Camille Desmoulins pour les divers journaux que celui-ci publia ; Richer-Serisy fut incarcéré quelques mois comme suspect et ce fut après sa libération qu'il se déchaîna contre les hommes et les choses de la Révolution en publiant l'Accusateur public. Il parut à intervalles indéterminés, souvent très distants. Les souscripteurs étaient prévenus dès le numéro un : « Le Rédacteur ne voulant point avilir les nobles fonctions de l'Historien en celles du cocher de diligence, qui pleine ou non, roule sa voiture au jour et à l'heure indiquée, ne s'astreindra pas à un travail périodique et obligé : les seuls Abonnés recevront, dans le cours de l'année, trente-six numéros plus ou moins longs, selon l'importance des matières et la liberté de la presse ». Dénoncé à la tribune et poursuivi comme l'un des auteurs de la journée sanglante du 13 vendémiaire, l'auteur dut suspendre sa publication après le n° 12, mais il la reprit quelques mois après par le n° 14. Les numéros 28, 31, 32 et 34 sont accompagnés de gravures : M. Necker, Le Congrès, Le club de Salm, Massacre des prêtres dans l'Eglise des Carmes.Relié avec, entre les livraisons 15 et 16 : Mémoire à consulter pour Richer Serisy Citoyen français & Rédacteur du Journal intitulé l'Accusateur public, appellant du jugement prononcé contre lui par le Jury spécial qui déclare qu'il y a lieu à accusation pour la conduite qu'il a tenue le 13 Vendémiaire. 8 pp.Très bon exemplaire. Épidermure sur le plat supérieur.La Bédoyère, 1567 ; Walter, p. 35 ; Hatin, 243.
Richer-Serizy L'Accusateur public 12 livraisons numérotées de I à XII 1 volume relié in-8, pleine peau (20.5 x 13 cm) L'Accusateur public a commencé à paraître après la révolution du 9 thermidor. Beffroy indique que "de tous les journaux que la restitution faite au français de la liberté de la presse avait fait éclore, c'était sans contredit, le mieux raisonné, le plus énergique, le plus imposant, le plus chaud et le mieux écrit (Beffroy, Dictionnaire béologique, 1801). Les numéros ne sont pas datés mais le journal a débuté en 1795 et bien que la publication ait été très irrégulière, les 12 premiers numéros sont parus en 1795. Richer Serizy dut suspendre la publication du journal après le numéro 12. Il fut accusé d'être l'un des auteurs de la journée sanglante du 13 vendémiaire et frappé de déportation. Rare ensemble des 12 premiers numéros de cette revue dans sa reliure de l'époque.
[Paris], Imprimerie de C.-F. Perlet, s.d. (1791) in-4, demi-chagrin vert, dos lisse (reliure moderne). Mouillures.
Très rare. Il s'agit de l'une des pièces officielles relative à l'autopsie à laquelle on procéda à la suite de la mort brutale de Mirabeau. Les rapports d'autopsie, conservés, laissent apparaître aujourd'hui que l'orateur, qui abusait de tous les excitants, souffrait de coliques néphrétiques depuis au moins deux ans, et qu'il mourut d'une péricardite : la thèse de l'empoisonnement fut ainsi définitivement écartée."La violence de la maladie, ses progrès rapides, la promptitude de la mort, peut être aussi les craintes exagérées que, la célébrité de M. Riquetti, les services qu'il a rendus à la chose publique, et le malheur des circonstances, semblent justifier jusqu'à un certain point, ont fait soupçonner que la mort de M. Riquetti pourroit n'être pas naturelle. Pour vérifier le fait, ou pour détruire des soupçons, peut-être mal fondés, il est nécessaire de procéder à l'ouverture et à la visite du cadavre, et de mettre toute la publicité et toute l'authenticité possible dans cette visite".Étienne de Poleverel (1738-1795) se fera plus complètement connaître sous la Convention comme l'adjoint de Sonthonax à Saint-Domingue. Au début de 1791, il était encore seulement accusateur public au tribunal du 1er arrondissement de Paris (quartiers des Champs-Élysées, du Roule, de la Place Vendôme et des Tuileries).Annotations manuscrites de l'époque sur le premier feuillet blancSeulement trois exemplaires au CCF (BnF, Grenoble et Lyon).RELIÉ À LA SUITE : [BOURET (Hilarion-François-Trophime) :] Section de la Grange-Batelière. Procès-verbaux de l'ouverture et de l'embaumement du corps de M. de Mirabeau l'aîné, député à l'Assemblée nationale. Paris, Imprimerie de Prault, 1791, titre, 10 pp., avec le cachet humide de la section de la Grange-Batelière (qui devint "section de Mirabeau" en août 1792, puis "section du Mont-Blanc" en décembre 1792). Elle était sise entre le quartier Saint-Georges et celui de la Chaussée-d'Antin. Le pharmacien Hilarion Bouret (1751-?), originaire de Riez, en était alors président. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Troyes, Imprimerie d'André, s.d. (1791) in-4, 2 pp., broché sous couverture factice de papier bleu imprimée.
Le législateur ne se fatigue pas : "Les qualités pour être président & accusateur public du tribunal criminel seront les mêmes que celles qui ont été prescrites pour les juges des tribunaux de district". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT