Paris Mercure de France 1910 In-12 Broché
Reference : 013455
EDITION ORIGINALE du deuxième livre de l'auteur. Portée de Mozart en couverture et en titre. Marque de justification verte figurant une main tenant une rose. Bel exemplaire sur papier d'édition, sans rousseurs et au papier bien souple. Très bon 0
Librairie-Galerie Emmanuel Hutin
Emmanuel Hutin
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s. n. | s. l. s.d. (ca 1909) | 24.50 x 25 cm | une page
Tercet autographe de jeunesse signé de douze strophes de Jean Cocteau, 13 lignes écrites à l'encre noire sur un feuillet. Ce poème manuscrit en alexandrin fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Bel exemplaire. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. Ce poème fait partie de la série de 8 poèmes intituléeLes Chansons du petit prince (Le petit prince en exil dans l'édition) dont voici la liste :Le petit prince arrive, Le petit prince à l'hôtel, Le petit prince en auto, Un dialogue et deux lettres, Battis à Hermas, Hermas à Battis, Acis à Néère et Néère à Acis. "Je sens bondir en moi le coeur fiévreux d'Hélène Le parfum de ma chair et de ma tiède haleine Vaut mieux que l'odeur fade et grasse de la laine... ... Les mots d'amour vers moi coulent comme des laves ! Cornificuis chanta la splendeur de mes caves Et mon troupeau docile est un troupeau d'esclaves..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. n. | s. l. s.d. (ca 1909) | 24.50 x 25 cm | une page
Tercet autographe de jeunesse signé de douze strophes de Jean Cocteau, 14 lignes écrites à l'encre noire sur un feuillet. Ce poème manuscrit en alexandrin fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Bel exemplaire. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. Ce poème fait partie de la série de 8 poèmes intituléeLes Chansons du petit prince (Le petit prince en exil dans l'édition) dont voici la liste :Le petit prince arrive, Le petit prince à l'hôtel, Le petit prince en auto, Un dialogue et deux lettres, Battis à Hermas, Hermas à Battis, Acis à Néère et Néère à Acis. "Puisqu'Eros entre nous tourna le divin pêne, Puisque tu m'as quitté sans fiel et moi sans haine Mon aveu ne saurait te causer nulle peine. ... Oui Néère, j'en eus des fièvres torturantes ; Les dents brillent au point d'en sembler transparentes Elle n'est pas cupide... elle a de larges rentes." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. n. | s. l. s.d. (ca 1909) | 24.50 x 25 cm | une page
Tercet autographe de jeunesse signé de douze strophes de Jean Cocteau, 13 lignes écrites à l'encre noire sur un feuillet. Ce poème manuscrit en alexandrin fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Bel exemplaire. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. Ce poème fait partie de la série de 8 poèmes intituléeLes Chansons du petit prince (Le petit prince en exil dans l'édition) dont voici la liste :Le petit prince arrive, Le petit prince à l'hôtel, Le petit prince en auto, Un dialogue et deux lettres, Battis à Hermas, Hermas à Battis, Acis à Néère et Néère à Acis. "Je saisis mal, Battis, le sens de tes propos J'aime la fauve odeur des grisâtres troupeaux Et le parfum du lait qui gicle au fond des pots... ... Et le soir, je retourne à mon humble grabat Cours vite, Rome est loin... une fraîcheur tomba... Et tu sais, quand je suis en retard on me bat ! " - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. s.d. (ca 1909) | 20 x 25.50 cm | une page
Quatrain et tercet autographes de jeunesse signé de quatorze strophes de Jean Cocteau, 15 lignes écrites à l'encre noire sur une feuille de papier gris portant le monogramme argenté du poète en angle supérieur gauche. Deux corrections manuscrites au crayon de papier. Poème présentant une variante avec le poème imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète ; Versailles dont on a tant dit (Le vieux parc dont on a tant dit dans l'édition). * Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. "Le jardin (barré et remplacé par) Versailles dont on a tant dit (Fragonard pâle qu'un La Touche Avec un peu de roux retouche) Sommeille sans rien d'inédit... ... Et les cheveux teints au henné Le calme (barré et remplacé par) pâle automne offre à ses peintres Un héliotrope fané." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. n. | s. l. s.d. (ca 1909) | 24.50 x 25 cm | une page
Quatrain et quintil autographes de jeunesse signé de treize strophes de Jean Cocteau, 15 lignes écrites à l'encre noire sur une feuille cartonnée et intitulé "Rondel de la sultane embarassée". Ce poème manuscrit, rédigé sur une feuille cartonnée souple, fut imprimé dans le recueil "Le prince frivole" édité au Mercure de France en 1910, second ouvrage publié par le poète. Deux corrections manuscrites de Jean Cocteau : le titre du poème raturé puis modifié en dessous à l'encre noire ; les trois premiers mots du quintil barrés puis modifiés au crayon de papier. Ce manuscrit du Prince frivole fut réputé égaré :«Le manuscrit original de la main de Cocteau manque» (Oeuvres poétiques complètes, Bibliothèque de la Pléiade, page 1842). L'ouvrage, encensé par Marcel Proust saluantainsi Jean Cocteau comme un :«Banville de vingt ans qu'attendent de plus hautes destinées », sera renié par l'auteur qui ira jusqu'à interdire sa réédition. "Shéhérazade ne sait point Comment finir son dernier conte ! Le lourd arôme rampe et monte... Dont son corps nonchalent est loin ... Mille et une fois l'aube a point Car le vieux despose les compte Mais voici que le sort la dompte Et pose à son histoire un point Shéhérazade ne sait point..." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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