Notice biographique et portrait gravé parus dans la Galerie des Contemporains Illustres publié à Paris chez Ducrocq - sd - (vers 1850) - Plaquette in12 brochée de 36 pages + portrait en frontispice (sans couverture, à relier) - trés bon état -
Reference : GF16650
Galerie Fert
Mme Nathalie Fert-Charmoy
30 Place du Docteur Bourdongle
26110 Nyons
France
33 04 75 26 13 80
Expédition après réception du réglement par chèque, carte bancaire, virement ou espèces - Frais d'envoi - En général 15 euro pour la France ou l'Europe - 25 euro pour le reste du monde -
Didier et Cie Relié 1875 Cinq volumes in-8 (14,5 x 22,5 cm), reliure demi-chagrin, dos à cinq nerfs, de 425 à 550 pages par volume ; marques d'usage sur les plats et le dos, rousseurs sur le bord de pages, rares et éparses par ailleurs, bon état pour cet ensemble. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Didier / L. Larose et Forcel 1883 1883.
13,2 x 20,5 1846 "Monsieur et honorable ami, j'ai en effet reçu il y a deux jours la circulaire de Mr. de Barrau. Je lui ai écrit avant hier pour l'en féliciter. Je vous remercie des renseignements et des avis que vous voulez bien me transmettre. Par le courrier de ce jour, j'écris à Mr Crémieux suivant votre désir. Il est absent de Paris, mais certainement il recommandera la candidature de Mr de Barrau à ses coréligionnaires politiques, je regrette que vous ne m'ayez désigné particulièrement aucun de ceux-ci. Recevez monsieur et veuillez faire agréer par messieurs d'Abbadie et de Mouvel [?] mes biens sincères et très affectueux compliments." Signature "Berryer". Pierre-Antoine Berryer fils, qui avait assisté son père lors de la défense du maréchal Ney, a été un des avocats les plus réputés de la première moitié du XIXe siècle. Il a été également un des fidèles tenants de la cause légitimiste. Il semble ici avoir été sollicité par le dacquois de La Neufville, parent de l'ancien évêque anticonstitutionnel de Dax, Mgr Quien de La Neufville (1726 - 1805). Berryer fait allusion à la circulaire aux électeurs de l'arrondissement de Dax en date du 7 juillet 1846 signée par le légitimiste Bernard-Xavier d'Abbadie de Duffau (1820-1893), à la veille des élections législatives d'août 1846. D'Abbadie de Duffau attendra 1871 pour être élu député. L'avocat Adolphe Crémieux (1796-1880), juif et franc-maçon, est à l'époque député de l'Indre et Loire. L'arrondissement de Dax comptait à l'époque la commune de Saint-Esprit (aujourd'hui quartier de Bayonne), qui avec ses 6 000 habitants était la ville au début du XIXe siècle la plus importante du département. Saint-Esprit comportait une importante communauté israélite, d'origine notamment portugaise depuis le XVIe siècle. Faut-il voir dans cette lettre le souhait de Neufville d'avoir le soutien de Crémieux par l'intermédiaire de Berryer ? Petite déchirure à l'ouverture de la lettre. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
Paris, 21 avril, 1849 in-8, 1 pp. sur papier en-tête du cabinet de la Présidence ; apostille.
"Je vous adresse Mr Guenepin dont le président vous a parlé avec tant d'intérêt et sur lequel je vous ai donné moi même les détails les plus précis..."Jean-Baptiste Guénépin (1807-1888) avait remporté le grand prix de Rome d'Architecture en 1837 et fut pensionnaire de la villa Médicis jusqu'en 1842. Professeur libre d'architecture et membre du jury de l'école des Beaux-Arts sous le Second Empire, il semble qu'il bénéficia de la protection de Louis-Napoléon III qui le nomma architecte voyer de la ville de Paris. On notera l'apostille "octroi" sur le coin de la lettre. Son cousin Auguste (1780-1842) fut sous les deux Restaurations, un éminent architecte qui a contribué à la construction de nombreux édifices dans la capitale et à Saint-Denis, ayant terminé sa carrière comme architecte divisionnaire à la préfecture de la Seine.Proche du brillant avocat Berryer, Mocquard lui avait gardé une grande estime. Mais tandis que Berryer, durant les années 1848-1850, soutenait le parti du comte de Chambord, louant les grandeurs de la monarchie, son ami Mocquard s'était rapproché du prince Louis-Napoléon, et des intérêts bonapartistes. C'est le directeur de cabinet de l'Empereur qui avait défendu Berryer lors de sa réception à l'Academie. Mocquard l'avait dispensé de l'usage de se présenter aux Tuileries, et ce avec beaucoup de tact et de convenance dans sa réponse officielle à l'académicien : L'Empereur regrette que dans M. Berryer, les inspirations de l'homme politique l'aient emporté sur les devoirs de l'académicien... M. Berryer est parfaitement libre d'obéir ou à ce que lui prescrit l'usage ou à ce que ses répugnances lui conseillent. L'ancien confrère est heureux, en cette circonstance, d'avoir pu rendre à M. Berryer ce qu'il appelle ou ce qu'il croit un bon office. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Flers, Imprimerie L'Hotellier, 1909, 1 Volume broché, 250 x 165 mm. 78 pp.1 Planche, hors texte, Ex-libris, Généalogie des Descendants de Louis Berryer,quelques rousseurs sur la tranche et premier plat, du reste, bonne condition.
Auguste Surville, né le 25 juin 1853 à Beauchêne, mort en décembre 1926 à La Chapelle-Biche, Instituteur, est un Historien local de l'Orne Auteur de nombreuses Etudes. Il a été également Bibliothécaire à Flers.
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