Veyrier/Lib.l'Avenue 1990 In-4 broché. 159 pages. Très bon état d’occasion.
Reference : 75897
ISBN : 2851992805 9782851992802
Très bon état d’occasion
Librairie de l'Avenue
M. Henri Veyrier
Marché aux Puces. 31, rue Lecuyer
93400 Saint-Ouen
France
01 40 11 95 85
Conforme aux usages de la profession. Paiement avec votre carte bancaire par Paypal ou en V.A.D. (Vente à distance sur le site), par virement ou chèque. Les frais de port sont de 9,50 € pour la France pour les colis de moins de 5kg en colissimo (ou 4,50 € en Mondial Relay), 12 € pour les pays de l'Union Européenne (sauf Espagne) en Mondial Relay. Nous consulter pour les autres pays et livres au dessus de 5kg. Notre téléphone : 01 40 11 95 85.
1 volume in-4° relié plein cartonnage blanc, titre doré, jaquette illustrée, 189 p., illustrations. Très bon état d'occasion.
Phone number : 06.31.29.75.65
15 vol. in-8° reliés cartonnage bradel bleu, auteur et titre dorés, dos à nerfs filets dorés, couvertures à rabats conservées - petites traces de frottement sur les dos et coiffes parfois un peu abîmées hormis ces défauts signalés ensemble en très bon état. Un des 5000 exemplaires numérotés sur vergé de Guyenne.
Phone number : 06.31.29.75.65
Paris Grasset 1955 in-8, reliure à la bradel de maroquin lavallière, plats, doublures et gardes de papier brique, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés (Honnelaître), 114 pp. Édition originale ornée d'un portrait de Colette par Jean Cocteau en frontispice. Un des 35 exemplaires numérotés sur vergé de Montval, tirage de tête. On joint, montée sur onglet en début de volume, une lettre autographe signée (inédite ?) de Colette à Cocteau : "Cher Jean, je me suis chargée d'un message auprès de toi parce qu'il m'est bien agréable. Ne veux-tu pas me rejoindre à l'académie Goncourt qui unanime te désire ? Je t'embrasse, cher Jean, Colette" (1 page in-4 sur papier bleu, s.d., légères traces de papier adhésif). Fine reliure signée.Près de 30 ans après l’élection de Colette au fauteuil d’Anna de Noailles, c’est Jean Cocteau qui lui succède à l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Colette et Cocteau se connaissaient de longue date. Dans ses Portraits-souvenir publiés en 1935, le poète se rappelait avoir croisé Colette en compagnie de Willy et de Polaire au Palais des Glaces, dans les premières années du siècle. De loin en loin ils échangèrent leurs livres et quelques lettres, mais c’est le Palais-Royal qui va les réunir, cette fois, en voisins. Colette évoque ses fréquentes visites dans L’Étoile Vesper et Le Fanal bleu. En témoignent de nombreuses photographies, des enregistrements sonores et quelques films. On y devine, derrière le caractère spectaculaire, parfois, de leurs démonstrations d’amitié, une évidente complicité. Sans doute Cocteau n’était-il pas dupe de l’image de la bonne dame du Palais-Royal que Maurice Goudeket, avec l’assentiment de Colette, voulait imposer. Rappelant leurs fréquentes rencontres, il note chez elle «un regard de fauve pensif» et se souvient que «sa patte de velours sortait vite ses griffes.» Loin de l’image respectable de ses dernières années, il aime à rappeler ses années d’apprentissages lorsqu’elle était l’épouse de M. Willy, l’amie de Polaire et du Tout-Paris lesbien des années 1900. «N’allez pas prendre Madame Colette pour une bénisseuse», prévient-il, «bien souvent, prise à l’improviste, sous le bonnet de la grand-mère, je lui voyais le museau du loup»…Le voisinage de Cocteau au Palais-Royal ne suffisait apparemment pas à Colette qui espéra un temps que son ami la rejoindrait à l’Académie Goncourt. Le projet n’a pas abouti, Cocteau ayant sans doute déjà en vue le prestigieux quai Conti. La lettre pourrait avoir été écrite à la fin des années 40, en 1948 ou 1949, après les évictions successives de Sacha Guitry, Jean de La Varende, René Benjamin et Jean Ajalbert.Sans doute l’un des plus beaux textes d’hommage à Colette, enrichi d’une lettre inédite. (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)
Colette de Jouvenel sous le pseudonyme de Colette ( Colette Willy ).
Reference : 4651
(1919)
Paris, Arthème Fayard & Cie, éditeurs 1919. In-12 relié de 251 pages au format 18,5 x 12 cm. Sobre et élégante reliure, demi basane vert, avec plats papiers. Dos rond à 5 nerfs avec titre doré. Le dos est insolée et a viré au marron. Pages de garde en papier marbré. Couvertures conservées. Plats et intérieur frais. Mitsou est le récit des amours contrariées d'un lieutenant et d'une danseuse de music-hall. Le roman est suivi de la pièce de théâtre " En Camarades ", comédie en deux actes, sur le thème de la camaraderie entre les époux, crée au Théâtre des Arts en 1909 et dans laquelle Colette tenait le rôle principal. Tirage courant après 25 exemplaires numérotés sur Japon et 75 sur Vergé pur fil. Edition originale en superbe état général de fraicheur. Rare et précieux exemplaire enrichi de deux deux superbes dédicaces, sur deux pages de l'auteure. L'une est signée Colette de Jouvenel, datée de 1919 et l'autre lui faisant face est signée, Colette, et datée de 1939.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Monaco Imprimerie Nationale de Monaco 1955 1 vol. Broché in-4, en feuilles, sous couverture rempliée, non paginé. Belle plaquette éditée par le Conseil littéraire de la Principauté de Monaco en souvenir de feue sa présidente d'honneur. Avec 41 petites photographies contrecollées, sans doute parmi les dernières de Colette, un texte inédit de l'écrivain et des hommages par Rainier de Monaco, Jean Giono, Julien Green, André Maurois, Marcel Pagnol, Jules Supervielle, André Billy, Roland Dorgelès, Georges Duhamel, Pierre Gaxotte, Maurice Genevoix, Franz Hellens, Emile Henriot, Léonce Peillard, André Siegfried, Henri Troyat. Excellent exemplaire offert à l'écrivain et journaliste Michèle Manceaux avec des envois autographes signés par les dix écrivains précédemment cités.«Monaco est le seul pays dont les frontières sont des roses», se plaisait à dire Colette. Amie de longue date de Pierre de Polignac, avant qu’il ne devienne par son mariage prince de Monaco, Colette eut le bonheur de voir l’affection du père se transmettre à son fils, le prince Rainier III, dont elle fut dans les années 40 et 50 l’invitée permanente. À la recherche de repos et d’un peu de chaleur pour soigner l’arthrite qui l’handicapait, Colette passa de fréquents séjours à l’Hôtel de Paris. On dit même que c’est dans le hall de l’hôtel qu’elle remarqua, lors d’un tournage, une jeune figurante alors inconnue qu’elle choisit pour incarner sur scène Gigi et qui devait connaître une brillante carrière: Audrey Hepburn.Le conseil littéraire de la Principauté de Monaco fut créé à l’initiative du prince Pierre de Monaco, protecteur des lettres et des arts. Il était constitué de membres de l’Académie Goncourt et divers écrivains francophones chargés de remettre un prix récompensant un auteur de langue française de renom pour l’ensemble de son œuvre. Quelques mois après la mort de Colette, l’ensemble des membres et plusieurs lauréats lui rendent hommage dans un ouvrage soigneusement imprimé, avec de nombreuses photographies en noir et blanc contrecollées qui en font un véritable album-souvenir. C’est également dans ce recueil qu’est reproduit pour la première fois le discours que Colette enregistra en 1954 pour des étudiants venus assister à une projection du Blé en herbe dont on dit – à juste titre – qu’il est un peu son testament moral et littéraire : «Laissez-moi vous révéler que l’expérience ne compte pour rien. Tout ce qui m’a étonnée dans mon âge tendre m’étonne aujourd’hui bien davantage. L’heure de la fin des découvertes ne sonne jamais. Le monde m’est nouveau à mon réveil chaque matin et je ne cesserai d’éclore que pour cesser de vivre.» (Notice de Frédéric Maget pour le catalogue de la collection Colette des Clarac)