Genève.1790.In-8 br.352 p.Etat moyen.
Reference : 50497
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Genève. 1791. In-8. Broché. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 350 pages. 1er plat manquant. 2e plat d'attente, quasiment désolidarisé (mors fendus). Dos plié, cassé, avec manques en coiffes. Tranches irrégulières, pliures aux coins des pages.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
2e édition après l'originale de 1790. Appel au tribunal de l'opinion publique, du rapport de M. Chabroud et du décret rendu par l'Assemblée nationale le 2 octobre 1790. Examen du Mémoire du Duc d'Orléans, et du Plaidoyer du Comte de Mirabeau, et nouveaux Eclaircissemens sur les crimes du 5 et du 6 octobre 1789. Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Genève, s.n., 1790 in-8, 352 pp., demi-basane fauve, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre cerise, tranches jaunes (reliure de l'époque). Dos très frotté, coins et coiffes abimés.
Edition originale de cette lecture "monarchienne" des événements des 5 et 6 octobre 1789, à la suite desquels Mounier s'était réfugié en Savoie, puis en Suisse. Comme l'on sait, il ne retrouvera la France qu'après le 18 brumaire.Monglond I, 768.Relié avec cinq pièces sur les événements des 5-6 octobre : I. A moi, Philippe, un mot. S.l.n.d. [1789], 16 pp. Sur les "intrigues" du duc d'Orléans. - II. Avis aux bons citoyens, aux amis de la Constitution, ou Extrait de la procédure criminelle instruite au Châtelet de Paris, sur la dénonciation des faits arrivés à Versailles dans la journée du 6 octobre 1789. S.l.n.d. [1789], 30 pp. - III. A moi, François, un mot sur la procédure du 6 octobre 1789. S.l.n.d. [1789], 14 pp. - IV. Compte rendu, par une partie des membres de l'assemblée nationale, de leur opinion sur le rapport de la procédure du Châtelet et sur le projet de décret proposé par le comité des rapports et adopté par l'assemblée nationale dans la séance du 2 octobre 1790. Seconde édition. Corrigée et la seule authentique. S.l., 1790, 27 pp. - V. Faits et gestes de l'honorable Charles Chabroud, procureur, avocat, député à l'assemblée nationale, blanchisseur du héros d'Ouessant, enfin un des juges de la ville de Paris. A Aristocratopolis, l'an deux de la démagogie [Paris, 1790], 32 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S. n. | Londres [Genève] S.d (1791) | 20 x 13 cm | broché
Seconde édition après une originale de 1790 que l'on trouve rarement. Brochure d'origine , papier grisé. Divers petits accidents à la couverture. Mounier demeura un député monarchiste et pensait que seul une monarchie constituante, à l'instar de celle de l'Angleterre pouvait répandre la liberté et le bonheur du peuple. Au lendemain des événements révolutionnaires des 5 et 6 octobre 1789 où le roi fut ramené de Versailles à Paris parmi de nombreux pillages, Mounier pressa la réunion du tiers état afin qu'elle donnât enfin une constitution pour la France , Inquiété, il se réfugia à Genève et fit imprimer cet ouvrage contre le rapport du président de la constituante Chabroud à propos de ces événements. Mounier réexamine tous les faits, dont l'accusation et la défense du duc d'Orléans et la participation du conte de Mirabeau à cette affaire. Il fait preuve d'une belle impartialité ou d'une très subtile réthorique. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Genève 1790 in 8 (19,5x12,5) 1 volume reliure cartonnage d'attente marron de l'époque, dos renforcé, II et 352 pages. Jean-Joseph Mounier. Edition originale. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Reliure
Londres (= Genève), 1791, in-8°, 351 p., non rogné, brochure, sans couverture.
Seconde édition, la première étant de 1790. Lors de la fermeture des Etats généraux, Mounier, député modéré du Dauphiné qui souhaitait pour la France un gouvernement bicaméral avec un roi à l'instar de l'Angleterre, insista pour que le Tiers Etat se réunisse dans la salle du Jeu de Paume lui enjoignant “de ne pas se séparer avant d'avoir donné une Constitution à la France”, phrase qui devait le rendre célèbre. Forcé de fuir, il se réfugia à Genève où il fit publier cet ouvrage dans lequel il s'en prend au président de la Constituante, Chabroud (1750-1816), qui avait été chargé du rapport sur les journées du 5 et 6 octobre 1789 durant lesquelles le roi fut ramené de force de Versailles à Paris et où furent perpétrés divers crimes et pillages, rapport qui lui avait valu le surnom de ‘blanchisseuse’” Monglond I/768; de Feller VI/132 et II/496.
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