Londres, 1791; in-8, II-352 pp., basane fauve, dos lisse orné (rel. de l'époque).
Reference : 241175
Rare édition anglaise publiée un an après l'édition originale de Genève.Monglond, I, 768. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S. n. | Londres [Genève] S.d (1791) | 20 x 13 cm | broché
Seconde édition après une originale de 1790 que l'on trouve rarement. Brochure d'origine , papier grisé. Divers petits accidents à la couverture. Mounier demeura un député monarchiste et pensait que seul une monarchie constituante, à l'instar de celle de l'Angleterre pouvait répandre la liberté et le bonheur du peuple. Au lendemain des événements révolutionnaires des 5 et 6 octobre 1789 où le roi fut ramené de Versailles à Paris parmi de nombreux pillages, Mounier pressa la réunion du tiers état afin qu'elle donnât enfin une constitution pour la France , Inquiété, il se réfugia à Genève et fit imprimer cet ouvrage contre le rapport du président de la constituante Chabroud à propos de ces événements. Mounier réexamine tous les faits, dont l'accusation et la défense du duc d'Orléans et la participation du conte de Mirabeau à cette affaire. Il fait preuve d'une belle impartialité ou d'une très subtile réthorique. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Londres (= Genève), 1791, in-8°, 351 p., non rogné, brochure, sans couverture.
Seconde édition, la première étant de 1790. Lors de la fermeture des Etats généraux, Mounier, député modéré du Dauphiné qui souhaitait pour la France un gouvernement bicaméral avec un roi à l'instar de l'Angleterre, insista pour que le Tiers Etat se réunisse dans la salle du Jeu de Paume lui enjoignant “de ne pas se séparer avant d'avoir donné une Constitution à la France”, phrase qui devait le rendre célèbre. Forcé de fuir, il se réfugia à Genève où il fit publier cet ouvrage dans lequel il s'en prend au président de la Constituante, Chabroud (1750-1816), qui avait été chargé du rapport sur les journées du 5 et 6 octobre 1789 durant lesquelles le roi fut ramené de force de Versailles à Paris et où furent perpétrés divers crimes et pillages, rapport qui lui avait valu le surnom de ‘blanchisseuse’” Monglond I/768; de Feller VI/132 et II/496.
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