Des femmes.1984.Petit in-8 vert avec photo.520 p.BE.avec qques piqùres.
Reference : 46481
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1773 Paris, Moutard, 1773-1775, Les Huit lettres sont reliés en 4 volumes in-8 se composant ainsi - 1er volume : Lettres 1, 2 et 3, (4)-68 pp.-(4)-140 pp.-(4)-163 pp. ; 2e volume : Lettres 4 et 5 de (4)-123 pp.-(4)-237 pp. - 3e volume : Lettre 6 de (4)-360-(2) pp. - 4e volume : 7e et 8e lettre de VIII-200 pp.-(4)-III-(1)-351-(1) pp., reliure de l'époque de plein veau fauve marbré, dos lisses ornés de fers dorés, pièces de titres et de nom d'auteur de maroquin rouge (dont une avec manque partiel, une neuvième lettre a paru en 1776 qui manque ici, sinon bon exemplaire.
Edition originale pour ces lettres de Jean-Marie-Baptiste Clément (1742-1812), auteur dont la plume critique fut assez féroce envers ses confrères. Il se mit à attaquer Voltaire avec une grande virulence, lui menant une guerre qui dura près de dix ans. Voltaire le surnomma « l’inclément » et l’accabla d’injures. Bel ex-libris armorié gravé de la famille d'Hostun sur à l'intérieur des 4 volumes. (Olivier Hermal Roton pl. 876 et suivantes.)
HENRI IV, FLECHIER , LA ROCHEFOUCAULT, CAYLUS (Comte de), VOLTAIRE, SERIEYS (antoine)
Reference : 19316
(1802)
1802 Paris, Henri Tardieu, an X (1802), in-8 de XX-404 pp., rel. cart. à la Bradel plein papier gris dos lisse orné de double-filets dorés, pièce de titre de chagrin vert, quelques pâles mouillures, bon ex.Première édition de ce recueil de correspondances inédites composée pour la plus grande partie de 76 lettres d'Henri IV, importantes du point de vue historique, ainsi que de 35 lettres entre le comte de Caylus et des personnalités de son temps dont Voltaire (avec réponses). L'ensemble est présenté et édité par Antoine Sérieys. (Kris Peeters, 'Bibliographie du comte de Caylus', p. 49,1802). Reliure frottée. Intérieur très frais.
Ed. orig. de cet important recueil présenté et édité par Antoine Sérieys. On y trouve une correspondance inédite composée pour la plus grande partie de 76 lettres d'Henri IV, ainsi que de 35 lettres entre le comte de Caylus et des personnalités de son temps dont Voltaire (avec réponses).
1774 Londres, G. Owen, T. Cadell, 1774, 4 parties en 1 vol. in-12 de (4)-107-(1) pp. - 108 pp. - 132 pp. - 128 pp., rel. d'ép. demi-veau, brun, dos lisse orné de fers dorés, pièce de titre de maroquin vert, bon ex.
Ces lettres eurent une grande vogue. On les a attribuées à Crébillon fils. “C’était lui faire beaucoup d’honneur, car ces lettres sont pleines de décence et semées d’anecdotes très piquantes (...). On regarde ces lettres, avec bien plus de raison, comme l’ouvrage de la jeunesse d’un de nos magistrats les plus distingués, de M. le marquis de Barbé-Marbois.” (Quérard. Supercheries littéraires III, 204-205).
1792 Paris, Garnery ; Strasbourg, Treuttel ; et Londres,de Boffe, 1792, an 3e de la liberté, 4 vol. in-8 de (4)-436 pp. ; (4)-452 pp.,, (4)-600 pp., (4)-456 pp.-(4) pp. de catalogue du libraire, rel. d'ép. plein veau brun moucheté, dos à nerfs, orné de fers dorés, pièces de titres et de tomaisons de maroquin rouge, bel ex.
Éd. orig. des lettres que Mirabeau écrivit lors de sa détention au donjon de Vincennes, notamment à sa maîtresse, Sophie de Monnier enfermée dans un couvent à Gien. Elles furent publiées par Pierre-Louis Manuel juste après la mort de l'auteur, et sans l'approbation des ayants-droit. Manuel, était alors procureur de la Commune de Paris, et la façon dont il se les procura, demeura un mystére. Les lettres ayant passé par le cabinet du lieutenant de police Lenoir. Parmi ces lettres, celles écrites à Sophie constituent un chef-d’œuvre de la littérature passionnée, ainsi qu’un virulent libelle contre l’arbitraire de la justice du temps.
1689 Cologne, Nicolas Schouten, 1689, petit in 12 de (60)-263 pp., rel. d'ép. plein veau brun, dos à nerfs orné de fers dorés, pièce de titre brun sombre, encadrements de double-filets sur les plats avec armes dorés aux centres, bel ex.
Éd. originale. Armand de Bourbon, prince de Conti (1629-1666), était le frère du "Grand Condé", et fut l'un des chefs de la Fronde. Ayant mené une vie tumultueuse, alternant d'importantes campagnes militaires comme chef de guerre, avec une vie de libertinage. Il fut un temps le protecteur de Molière, et s'intéressa aux arts. Il mena par la suite une vie de pénitence empreinte de jansénisme, et se consacra à l'étude et au mysticisme jusqu'à sa mort en 1666. Il écrivit ces lettres en réponse aux neuf lettres sur la grace que lui avait adressées en 1664, le père jésuite Etienne de Champs, dont il fut l'élève. Exemplaire aux armes de Louis César de Crémeaux marquis d'Entragues.