Paris, Gallimard, (mai) 1954. 1 vol. (175 x 225 mm) de 512 p., 1, [1] et 2 f. Cartonnage éditeur, jaquette. Édition originale. Envoi signé : « Pour Monsieur Charles Terrasse avec l'amical souvenir. M. Malraux ». Un feuillet joint annoté par Antoine Terrasse.
Reference : 16612
Deuxième volet de la série.
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Paris, Gallimard 1954, 230x180mm, 512pages, Reliure d’après la maquette de Paul Bonet. Exemplaire numéroté. Bel exemplaire.
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Sous jaquette grise. illustrée. Cartonnage toilé d'éditeur. Riche iconographie en noir et blanc. Petites piqures sur tranches.
Paris Gallimard 1982 512 pp. In-4. Cartonné. En bon état. 1 volume.
Paris, Galerie de la Pleiade, 1954, in-8, 512pp, reliure éditeur, jaquette illustrée, Quelques défauts mineurs sinon très bel exemplaire abondamment illustré 512pp
Ed. Gallimard 1954 (coll. la Galerie de la Pléiade). Bel exemplaire relié, reliure pleine toile ornée et jaquette d'éd., gd et fort in-8, 512 pages + planches.
Gallimard | Paris 1954 | 18 x 23.50 cm | reliure de l'éditeur
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure de l'éditeur en plein toile crème, exemplaire complet de sa jaquette illustrée. Dos de la jaquette insolé qui comporte également deux petites taches sur le second plat Précieux envoi autographe signé d'André Malraux à Maurice Blanchot. S'ils se sont connus à la NRF, c'est surtout à travers quelques articles majeurs de Blanchot consacrés à Malraux, que les deux hommes se sont "rencontrés". Au sortir de la guerre Blanchot publie dans l'éphémère revue de Bataille 'Actualité', un article sur l'Espoir qui lui permet "d'inscrire visiblement son retournement politique".En 1950-51, dans son double article sur "Le Musée imaginaire", il formalise sa propre théorie de l'image qui imprégnera son oeuvre à venir.Confrontant ces deux visions de l'art, Henri Godard, écrit : « Par la constance et la radicalité de sa référence à la mort, à l'absence, au néant, [la pensée] de Blanchot est un pôle de notre réflexion sur l'art, dont Malraux pourrait bien incarner l'autre » (In "L'Expérience existentielle de l'art"). Une polarité qui ne pouvait que lier Blanchot à Malraux dont la figure tutélaire sera une ultime fois invoquée à la fin de son dernier récit, "l'Instant de ma mort" :"Plus tard, revenu à Paris, il rencontra Malraux. Celui-ci lui raconta qu'il avait été fait prisonnier (sans être reconnu), qu'il avait réussi à s'échapper, tout en perdant un manuscrit.... Qu'importe ! Seul demeure le sentiment de légèreté qui est la mort même ou, pour le dire plus précisément, l'instant de ma mort désormais toujours en instance." Riche iconographie. Dos légèrement de la jaquette insolée comme souvent qui comporte également deux taches marginales en tête du deuxième plat. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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