‎Blignières H. de‎
‎Conférences - histoire militaire‎

‎Centre d'Etudes militaires des F.A.R.V.N. Reliure d'éditeur 1955 In-4 (21x31 cm), relié demi-simili cuir vert à coins, titre doré au dos à 3 faux nerfs, cinq conférences d'Hervé de Blignières sur l'histoire militaire ; cet exemplaire provient de la bibliothèque de l'auteur, H. de Blignières (initiales dorées en queue de dos), nombreux documents dépliants ; coiffes frottées, coiffe supérieure déchirée (mors fendus), dos un peu frotté, infimes accrocs sur le 4e plat, intérieur frais, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

Reference : xl357


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‎ECOLE SUPERIEURE DE GUERRE‎

Reference : 94320

(1955)

‎Recueil de conférences d'histoire militaire‎

‎Ecole supérieure de guerre 1955 In-4 cartonné, 332 p. & 13 chemises contenant 60 grandes cartes & plans de batailles en couleurs repliées. Emboîtage éditeur d’archivage.‎


‎Très précieuse documentation tactique pour la bataille de France, la libération et le front russe. Conférenciers : Gal. Mesnet, Lt.-col. D’Ornano, Cdt. Calmon, Lt.-col. Daumont. Sujets : La 16° DI au sud d’Amiens (1940) ; La 1ère DM à Gembloux (1940) ; La 14°DI à Rethel (1940) ; La 2°DB à Saverne et Strasbourg (1944) ; La 1er CA & la bataille de Belfort (1944) ; La 3° DIA en Italie (1944) ; Décision stratégiques en Normandie (1944) ; La 2° DIM : Hericourt - Montbeliard (1944- ; Le 19° CBA allemand dans les Ardennes (1940) ; Le 2° CA dans la manoeuvre de Freudenstadt (1945) ; La Contre-manoeuvres allemande de Mortain (1944) ; La Bataille de Stalingrad (1944) ; L’offensive du front sud-ouest dans la boucle du Don. Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR259.00 (€259.00 )

‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10078859

(1859)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 859- Histoire de la semaine. — Paris à la hier. — Courrier de Paris. — Explosion au Havre. Festival militaire à Besancon. — Le colonel Jourjon. — Chronique musicale. — La Reine des noirs (suite et fin . — Conférences...‎

‎Au bureau du journal. 13 aout 1859. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 122 à 136. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Histoire de la semaine. — Paris à la hier. — Courrier de Paris. — Explosion au Havre. Festival militaire à Besancon. — Le colonel Jourjon. — Chronique musicale. — La Reine des noirs (suite et fin . — Conférences de Zurich. — Les turcos à Paris. — Chronique littéraire. — Arrivée des régiments d’Italie à Toulon. —Salon de 1859 (fin'. —Gazette du palais. — Boulangerie volante. — Le général Ulloa. — Concours des moissonneuses. — Annonces et avis divers.Gravures : Ovation faite à M. Buoncompagni à Florence. — Cirque de l’Impératrice : exercices des chevaux russes. - Explosion au Havre.— Festival militaire à Besancon. — Le colonel Jourjon. — Vue générale de Zurich ; pont de pierre ; hôtel et villa Baur, résidences des ministres de France, d’Autriche et de Sardafgne. —Camp de Saint-vlaur. Turcos roulant un turban. — Prom nades de turcos dans Paris. — Réception des blessés de l’armée d’Italie à Toulon.—Ovation faite au drapeau du 49 de ligne par les Toülonnais. — Italie et retour, 12 caricatures par Chain. — Groupe de chevreuils par M. Mène. — Boulangerie volante de l’armée d’Italie. — Le général Ülloa. — Lancement à Rochçfort du transport le Finistère. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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‎Lavisse Ernest‎

Reference : RO30330119

(1909)

‎Vues générales de l'Histoire de Prusse- Ecole militaire d'infanterie Conférences 1908-1909‎

‎Imp. de l'école militaire d'infanterie. 1909. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Papier jauni. 11 pages. Une carte en couleurs, dépliante en fin d'ouvrage. Cois frottés. Déchiures, quelques rousseurs. Dos partiellement déchiré.. . . . Classification Dewey : 947-Europe de l'Est, URSS‎


‎ Classification Dewey : 947-Europe de l'Est, URSS‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎ARENDT, Chef de Bataillon‎

Reference : 49937

(1926)

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