Ernest Flammarion Bibliothèque de philosophie scientifique Broché 1928 In-12 (11.5x19 cm), broché, 316 pages ; pliures au dos, coiffes frottées, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Reference : gu1270
Abraxas-Libris
Patricia Pichot
7 et 11 rue du faubourg Bertault
35190 Bécherel
France
33 02 99 66 78 68
Les livres sont décrits d'une façon précise et claire. Pour toutes questions n'hésitez pas à nous envoyer un courrier. Les frais de port sont à la charge du client. Frais de port, 6 euro pour le colissimo, colieco 4, 20. Les prix sont TTC, les librairies anciennes ne facturant pas de TVA. Abraxas-Libris accepte les paiements par chèque, virement bancaire et par carte bancaire. En cas de désaccord sur une transaction vous aurez trois jours après ouverture du courrier pour déposer une réclamation.
Flammarion, 1918, in-12, viii-316 pp, reliure demi_percaline aubergine à la bradel, dos lisse avec titre doré (rel. de l'époque), bon état (Bibliothèque de philosophie scientifique)
"Tout est à louer dans ce volume. M. Diehl a visité souvent Venise, s'est imprégné de son atmosphère. Dans les chroniques latines ou italiennes, et aussi dans les chroniques grecques – car l'Orient byzantin permet seul de comprendre cette cité toute grecque – il a étudié à fond son histoire ; derrière chacune de ses assertions nous devinons le texte précis. En plus il a disposé sa matière avec beaucoup d'art ; on suit avec un véritable intérêt ses développements toujours clairs; on lit avec un grand plaisir ses descriptions chatoyantes. Qu'on compare ce volume avec un ouvrage à peu près analogue publié en Allemagne, le “Venedig als Weltmacht und Weltstadt” de H. v. Zwidineck- Südenhorst ; autant celui-ci est lourd, doctrinal, et malgré tout superficiel, autant celui-là est gracieux, pimpant, et aussi très solide. Parcourons rapidement les quatre livres dont se compose le volume. Le premier nous entretient des origines de Venise et de la formation de sa grandeur. Par le traité de 812, Venise échappa à la domination des Carolingiens ; placée sous la suzeraineté de Byzance, gouvernée par ses ducs qui cherchèrent à rendre leur charge héréditaire, elle établit son autorité solidement sur l'Adriatique et jeta les fondements de sa grandeur maritime. Avec le livre II, nous entrons au cœur du sujet. Du XIe à la fin du XVe siècle, Venise est, dans la Méditerranée, la grande puissance commerciale ; et avec beaucoup de raison, M. Diehl insiste sur l'organisation de ce commerce, sur l'essor que lui donnèrent les croisades et la conquête de Constantinople en 1204. (...) Le livre III montre l'évolution de Venise du milieu du XVe à la fin du XVIe siècle. Les causes de décadence sont déjà très visibles. Les Turcs enlèvent à Venise son bel empire colonial... (...) Le livre IV, « la fin de Venise », n'est qu'un épilogue assez court. En 1669, Venise perd la Crète ; la conquête de la Morée par François Morosini le Péloponésiaque ne fut que passagère ; Venise ne la garda que trente années (1685-1715). Et dès lors elle renonça à toutes ses ambitions. Elle devint l'hôtellerie décrite dans Candide, la ville où s'arrêtèrent tous les voyageurs du XVIIIe siècle, celle des comédies de Goldoni et des farces de Gozzi, jusqu'au jour où, après les Pâques véronaises, Bonaparte la livra à l'Autriche. Ici s'arrête le livre de M. Diehl." (Ch. Pfister, Revue Historique, 1916) — Il y a une Venise romantique, celle de Byron, de Musset, de George Sand : de cette Venise, charmante assurément, un peu conventionnelle aussi peut-être, et dont la gloire est faite de beaucoup de littérature et d'un peu de snobisme, il n'est pas question dans ce livre. Il y a une autre Venise, celle dont on a joliment dit qu'elle est "La plus formidable leçon d'énergie active et d'utilisation pratique qui se rencontre dans l'histoire". C'est de cette Venise que l'auteur a voulu ici, non point sans doute écrire une fois de plus l'histoire, mais étudier le régime politique, l'évolution historique, et déterminer les causes qui firent sa grandeur et sa décadence. Dans la succession, compliquée et diverse, des formes politiques que connurent tour à tour les peuples européens, Venise tient une place à part. Sa constitution est une des créations les plus originales qu'ait comptées l'histoire des institutions ; elle offre le type classique – et presque unique – d'un gouvernement purement aristocratique, d'une république patricienne, où le pouvoir se concentre aux mains d'une oligarchie peu nombreuse, étroitement fermée et singulièrement jalouse de ses privilèges. Mais ce qui est peut-être plus remarquable encore, c'est que cette œuvre politique, née des circonstances, et par bien des côtés artificielle, a été, par la ferme volonté de ceux qui y présidèrent, une œuvre durable. L'ouvrage de Charles Diehl est devenu un classique.
Paris Flammarion, coll. "Bibliothèque de philosophie scientifique" 1918 1 vol. broché in-12 (186 x 120 mm), broché, VIII-316 pp. Dos ridé et fendillé, couverture défraîchie avec traces de pliures. Papier jauni. En l'état.
Ernest flammarion 1937 in12. 1937. Broché.
Bon état pages non-coupées intérieur propre
FLAMMARION .. 1935.. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 315 pages. Ecriture au stylo sur la page de faux titre.. . . . Classification Dewey : 945-Italie
Dirigée par Gustave Le Bon . 12 ème mille. Classification Dewey : 945-Italie
FLAMMARION. 1928. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 316 pages. . . . Classification Dewey : 945-Italie
Classification Dewey : 945-Italie