Alsatia. 1945. In-8. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos abîmé, Intérieur bon état. 523p. Nombreuses illustrations noir & blanc hors texte. Dos consolidé avec du scotch marron.. . . . Classification Dewey : 359-Marine militaire
Reference : ROD0031675
Au moment où la France sort meurtrie de la plus terrible épreuve de son histoire, il convient de jeter un regard sur le passé, pour en dégager les éléments sur lesquels devra s'édifier la grandeur de l'avenir... la Marine est une de ces valeurs essentielles. Classification Dewey : 359-Marine militaire
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Amirauté française,1941. In-4 br. couv. ill., 55 pp,1 portrait contre-collé en coul. hors-texte, nombreuses héliogravures en n. et bl. in et hors-texte.
Couv. lég. frottée, un feuillet lég. débroché, bonne condition par ailleurs. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Bureau de la revue. 1 avril 1940. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 195 à 215. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : La Marine Française - la marine française dans la guerre par C. Campinchi, La Marine du Grand Roi par Paul Chack, Le Cid Canadien et les Maccabées de la Nouvelle France par Ch. de la Roncière, La flotte française dans la guerre de 1914-1918 par le contre-amiral Valat Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Perrin, 1987, in-8°, 460 pp, 12 pl. de documents hors texte, une carte, index, broché, couv. illustrée, bon état
La France a presque toujours entretenu avec la mer des rapports difficiles, basés souvent sur l'ignorance, l'indifférence et l'incompréhension. L'importance des océans, leur rôle moteur dans le développement des civilisations ont été fréquemment méconnus et les Français n'ont participé que tardivement au grand mouvement des découvertes. Le retard n'est-il pas, dans bien des domaines, une constante de notre histoire ? De tous les pays riches en frontières maritimes, la France est le seul chez lequel, malgré l'action énergique et lucide de quelques hommes d'état, de Richelieu à Georges Leygues, l'existence même d'une force navale sera périodiquement remise en cause, contestée dans son principe. Et d'ailleurs l'histoire de la Marine est fort peu connue des Français en dehors de quelques grandes figures comme Suffren Jean Bart ou Surcouf. Supprimer la marine restera une idée récurrente chez les gouvernants et tous les prétextes seront bons pour tenter de la justifier. L'histoire de la marine française est donc une étrange alternance de points forts et de faiblesses. La France sut, par épisodes, se construire de grandes flottes : celle de Louis XIV et Colbert, celle de Louis XVI, celle du second Empire, à la pointe du progrès technique, celle de la IIIe République finissante. Mais entre ces sommets, survinrent bien des méthodes d'abandon aux lourdes conséquences. Ces hauts et ces bas de la marine française, Etienne Taillemite, grand spécialiste de l'histoire maritime, nous les restitue avec clarté et précision, de la guerre de Cent Ans à nos jours. De défaites en victoires, d'amiraux malheureux en marins éclatants, de commis négligents en ministres lucides, de positions perdues en marchés reconquis, on mesure en parcourant ces six siècles combien la France a toujours eu besoin des océans et combien elle a parfois cruellement souffert de ses incohérences en matière navale. — "Par la force des choses, les Capétiens demeurent longtemps des terriens. Ce n'est qu'en 1203, par la prise de possession de la Normandie, qu'ils accéderont à la mer. Se posera alors le problème d'une force navale. Mais il faudra attendre... Richelieu pour mettre en oeuvre une politique maritime globale. Que de temps, que d'occasions perdus ! Les grands moteurs de l'économie ont toujours été les ports. C'est l'avis de Colbert et, plus tard, de Louis XVI. 1790 marque probablement l'apogée de la marine royale. Puis ce sera l'effon-drement révolutionnaire. Trafalgar préfigure Waterloo. Au XIXe siècle sous l'impulsion personnelle de Napoléon III, la « Royale » connaît un renouveau inespéré. Cet effort ne s'est pas démenti depuis et, de nos jours, la marine française est devenue la pointe de diamant de la dissuasion nucléaire. Une fort bonne étude." (Lectures, 1988)
Au comptoir des imprimeurs réunis Paris, Au comptoir des imprimeurs réunis, 1845. 4 volumes In-12 reliés demi-basane fauve, dos lisses, ttire dorés, Deuxième édition, entièrement revue par l'auteur. Ornée de gravures XI + 495 + 556 + 549 + 504 pages. 1 feuillet de table semble manquer au tome 4 sinon bien complet.
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France-Empire, 1967, fort pt in-8°, 650 pp, 12 pl. de photos hors texte, 17 cartes, index, cart. éditeur, jaquette illustrée (déchirure avec pt manque au 1er plat de la jaquette), bon état
Sanctuaire traditionnel de la discipline, la Marine française a subi de 1939 à 1945 une très rude épreuve. Partie pour se battre en mer, elle a vu successivement tous ses ports pris par l’intérieur, ne pouvant qu’évacuer, comme à Dunkerque, ce qui pouvait l’être sans laisser à l’ennemi un seul de ses bâtiments. L’Armistice de juin 1940 lui a imposé d’autres devoirs : défendre le patrimoine et faire vivre la métropole en liaison avec l’empire dans l’espérance de temps meilleurs, tandis qu’une poignée des siens poursuivait la guerre du côté de la France Libre. Les Anglais ont-ils demandé que la flotte passât de leur côté préalablement à tout armistice ? Comment s’explique le drame de Mers El-Kébir, le sabordage de l’escadre de Toulon, la riposte au débarquement anglo-américain en Afrique du Nord et cent autres péripéties tragiques de la guerre. Ce livre vous le dira. Les deux auteurs qui l’ont écrit ont vécu intensément cette époque, l’Amiral Auphan aux postes les plus élevés de l’Amirauté française puis comme secrétaire d’Etat à la Marine, Jacques Mordal à la mer, à Dunkerque notamment, où il fut deux fois coulé et grièvement blessé. Tous les deux, depuis la guerre, se sont consacrés à l’étude de l’histoire et leurs travaux font autorité. Cet ouvrage s’appuie sur une documentation rigoureuse enrichie de multiples témoignages français et étrangers. Il a fait l’objet, il y a dix ans, d’une première édition en France, aux Etats-Unis et en Allemagne. L’édition française, aujourd’hui épuisée a obtenu en 1959 l’un des Grands Prix d’histoire de l’Académie française. Depuis lors le texte a été soigneusement revu et complété sur certains points au vu des publications étrangères les plus récentes ou des innombrables lettres reçues par les auteurs. Comme un manuel écrit sans passion mais sans cacher non plus l’aspect politique des problèmes, ce livre constitue une mise au point définitive de l’histoire trop souvent méconnue de la Marine française dans la Seconde Guerre mondiale. (2e plat de la jaquette)