EDITIONS LIVRE DE POCHE N°116. 1955. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 185 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : RO90073196
Autres années disponibles : 1958, 1959, 1961 et 1972. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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S.l.n.d., , (1795). Manuscrit in-folio broché de 4 pp. à 62 lignes par page.
Suite manuscrite inédite de la brochure imprimée au mois de juillet 1795 (que nous joignons au manuscrit) Les Femmes françaises à la Convention Nationale - établies sur le modèle de deux autres brochures royalistes datées "Vendémiaire an IV" : Les Femmes françaises à la Nation et Les Femmes françaises, pour la seconde fois, à la Nation. Législateurs, Si des considérations majeures ont pu nous déterminer une première fois à venir dans cette enceinte vous présenter de grandes vérités, aujourd'hui de nouveaux motifs d'un égal intérêt nous ramènent encore devant vous. (…) Qui oserait Législateurs justifier tant d'abus aussi énormes et aussi révoltants par des considérations trompeuses d'Égalité ? (…) Le droit unique de renverser de même un Trône, assis depuis autant de siècles sur les lois les plus fondamentales les plus révérées ? Le droit barbare de vouer à son gré par la loi contre l'Émigration un nombre immense de familles à la spoliation, au bannissement à la mort. (…) Cessez vos injustices : réparez avec empressement celles qui sont réparables encore (…) Suivent pour la seconde fois des millions de signatures.« J’exclus l’hypothèse que proviennent de femmes les trois brochures (très proches l’une de l’autre) envoyées à l’Assemblée dans la seconde moitié de l’année 1795 : Les Femmes françaises à la Nation (juillet 1795), Les Femmes françaises à la Convention Nationale (juillet 1795), Les Femmes françaises pour la seconde fois à la Nation (septembre - octobre 1795). Ce sont propos de politique générale, qui stigmatisent les hommes du gouvernement comme usurpateurs coupables de “lèse-nation” et défendent l’idée qu’il n’est point besoin d’une nouvelle constitution : qu’il faut rendre « au culte catholique la prééminence, au clergé ses biens légitimes, aux Bourbons un trône et des propriétés héréditaires ; à la Noblesse des distinctions méritées ». Les prétendues autrices prennent par ailleurs soin de répéter : « La couronne est héréditaire de mal en mal ». À l’évidence ces textes proviennent du camp de Louis XVIII dont le dernier neveu est mort le 12 juin à la prison du Temple. Louis XVIII lança une Déclaration du roi au mois de juillet 1795 et de « son règne le premier ».Pourquoi, alors, faire parler des femmes ? Peut-être parce qu’il reste « Madame Royale » Marie Thérèse de France. Le message s’adresserait donc aux royalistes de l’intérieur : s’ils gagnaient la partie (il va y avoir des élections) qu’ils n’aillent surtout pas oublier la loi salique ! Ventriloquisme encore, donc, même s’il ne s’agit pas ici, de se moquer des femmes ; juste de les utiliser, en usant d’un stratagème dont seuls des émigrés, apparemment ignorent qu’il n’est plus d’actualité » (Éliane Viennot).Joint : Les Femmes françaises à la Convention nationale. S.l.n.d. (1795). In-12 broché de 16 pp.Inconnu de Monglond et Tourneux ; Éliane Viennot, Et la modernité fut masculine (1789-1815), 2016.
A Cologne, chez Jacques Gaillard, 1702. 2 volumes in-12 de [16]-366-[5] et 427-[13] pages, plein veau blond, dos à nerfs ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre et tomaison rouge et verte, triple filet doré encadrant les plats, tranches dorées.
Illustré d'un frontispice, d'un large et beau bandeau à l'avertissement de la seconde édition, et de 100 gravures à mi-page, une par conte. Bel exemplaire très frais sans la moindre rousseur. Ci-après l'avertissement de l'éditeur: "La nouvelle traduction française du Decameron de Bocace et si connue et si estimée, s'il faut en juger par le prompt débit qui s’est fait de la première édition, qu’on se dispenserait de rien dire de la seconde si l'on ne jugeait nécessaire d'avertir le public que pour répondre à sa louable avidité on a pris tous les soins imaginables de faire paraître celle-ci avec tous les avantages et les agréments qu'on pouvait lui donner; car outre qu'on a déchargé la traduction de plusieurs négligences; fautes inévitables dans un ouvrage comme celui où tout doit être si naturel, si concis, et si naïf, que ce serait une merveille si l'on avait d'abord rencontré juste, on a fait retoucher toutes les planches sur les dessins du célèbre Romain de Hooge, par les plus habiles Maîtres de la Province, bref on n'a rien épargné pour la rendre beaucoup plus recommandable que la précédente et l'on ose dire qu'on croit y avoir réussi." Rien de plus sinon qu'il y a un petit manque angulaire de papier p. 103 du premier volume et un tout petit manque à la coiffe du tome I. Ex-libris Henriette de Paniagua. !!! !!! Du 3 octobre au 24 octobre il n'y aura pas d'expédition de colis: le libraire est en voyage. La librairie reste ouverte et nous répondrons sporadiquement aux emails. Merci pour votre compréhension. ––> From 3 October to 24 October, there will be no parcel deliveries as the bookseller will be travelling. The bookshop will remain open and we will respond to emails sporadically. Thank you for your understanding.
Paris, Florentin Delaulne [et. al.], 1722. In-folio, [4], 177-316 pp. 32 pl., veau marbré havane de l'époque, triple filet à froid en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison rouges, tranches rouges (coiffes arasées, coins émoussés, épidermures, quelques petites taches et rousseurs).
Seconde partie du IVe tome de la seconde édition revue et corrigée de ce monumental ouvrage consacré à l'art et l'histoire de l'Antiquité. Édition bilingue mettant en regard le texte en latin et le texte en français. Elle est illustrée de nombreuses planches hors texte. Le texte est également orné de lettrines, bandeaux et culs-de-lampe gravés ainsi que de quelques vignettes dans le texte ou aux titres. C'est l'oeuvre principal de Bernard de Montfaucon, un moine bénédictin, considéré comme le fondateur de la paléographie grecque et de l'archéologie moderne. Il publie une première fois l'ouvrage en 1719, rencontre le succès et propose cette seconde édition trois ans à peine après la sortie de l'originale. Le succès dépasse les frontières de la France et l'ouvrage est traduit an anglais en 1721, il paraît à Nuremberg une version abrégée en latin uniquement en 1757 et une version en allemand cette même année. Le Régent lui-même, sur la base de ce succès, nomme Montfaucon à l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 1719, sans attendre une vacance comme c'est l'usage. Ce volume s'intéresse aux aqueducs, aux chemins publics et à la navigation Ex-libris héraldique Doyon[?], ex-libris héraldique Bronod, avocat au conseil. Ricci, 731. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris chez LE BOUCHER 1779 Un volume in-12 (10,2 x 16,5cm), [1] ff. de titre, 264 pp. [2] ff. d'approbation et privilège. Reliure de l'époque en veau blond, dos lisse orné de pièces de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin vert, caisson à fleuron doré, triple filet d'encadrement doré sur les plats et petit fer aux angles, filet sur les coupes, roulette sur les chasses, tranches dorées, signet. (reliure légèrement frottée, un coin tassé, tâches et auréole sur les plats, très rares rousseurs marginales). Seconde partie seule contient : Idylles de Moschus, Héro et Léandre, Epigrammes de l'anthologie, Morceaux de Catulle, Morceaux d'Horace, Veillées de Vénus, Poésies de divers auteurs, Loisirs d'un Poète. Bandeaux et culs-de-lampe. Ravissante publication hélas sans le tome premier.
[CAYLUS (Anne-Claude-Philippe de Tubières, comte de) & la Société du Bout-du-Banc].
Reference : 43658
(1757)
A Troyes, chez Veuve Oudot ; Paris, chez Duchesne, [1757]. In-12 de 164-(4) pp.2 parties en 2 vol. in-12, veau marbré, dos lisse orné, pièces de titre en maroquin Lavallière et de tomaison en maroquin brun, tranches rouges (reliure de l'époque).
Un recueil collectif facétieux : Les Étrennes de la Saint-Jean.Cette quatrième édition augmentée des Étrennes de la Saint-Jean rassemble un ensemble d’oeuvres légères, poissardes, composées par les membres de la Société du Bout-du-Banc, cercle littéraire animé par le comte de Caylus. Ces derniers se réunissaient autour de dîners chez la comédienne Jeanne-Françoise Quinault, dans une ambiance conviviale et créative.Les textes, publiés anonymement, sont attribués à des personnalités littéraires telles que Crébillon fils, Moncrif, Duclos, l’abbé Voisenon, Vadé, la comtesse de Verrue, et, dans une moindre mesure, Nivelle de La Chaussée, Clairaut, et d’autres encore. La présente édition inclut également des pièces phares comme Lettre persanne d’un Monsieur de Paris, à un Gentilhomme Turc de ses Amis, Dialogue en forme de Questions, sur le Mariage, Le Ballet des Dindons, ainsi que le conte philosophique Les Épreuves d’Amour dans les quatre Éléments.Cette édition propose une seconde partie intitulée Les Écosseuses ou les Oeufs de Pâques, intégrée pour la première fois comme un prolongement des Étrennes. Elle contient notamment une comédie en un acte et en prose : Le Porteur d’eau, ou les amours de la ravaudeuse.L’ouvrage adopte un style graphique singulier : titres et illustrations sont imprimés en noir et bistre, et la première gravure, accompagnée de la légende Monsieur ou Madame Oudot, représente un personnage bisexuel. Ces choix éditoriaux pastichent les célèbres ouvrages populaires de la bibliothèque bleue de Troyes, bien que l’impression soit en réalité parisienne (chez Duchesne), sous une fausse adresse d’Oudot à Troyes, renforçant l’illusion d’une édition de colportage.Historique et réception : d’abord publié en 1738 sous une fausse adresse, Les Étrennes de la Saint-Jean a connu plusieurs éditions augmentées, notamment en 1742, 1750 et 1751. Longtemps mal datées et mal décrites, ces éditions ont fait l’objet d’un nouvel éclairage grâce à deux exemplaires portant des annotations manuscrites du XVIIIe siècle, qui permettent de mieux identifier les contributeurs. Si Caylus reste l’instigateur principal, d’autres figures telles que Nivelle de La Chaussée, Crébillon fils (apparaissant à partir de 1742), J.-Ph. d’Orléans et Moncrif y ont également participé. Contrairement aux affirmations des bibliographes, Montesquieu et Maurepas, souvent cités, n’auraient pas contribué à ce recueil.Les Étrennes de la Saint-Jean s’inscrit ainsi dans une tradition littéraire satirique et badine, mêlant anecdotes, satires, et comédies dans un ton léger et un style évocateur du parler populaire parisien. Ce recueil constitue une précieuse relique littéraire et un témoignage unique de l’esprit mondain et libertin du XVIIIe siècle.Bel exemplaire. Très petit manque de peau sur le deuxième plat du second volume.Cioranescu, 16247 ; Cohen - De Ricci, 209 ; Gay I, 182 ; Pierre Enckell, Le comte de Caylus, ses amis et Les étrennes de la Saint-Jean, 1738-1751.