Diestrerweg. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 119 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO80220043
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Futuropolis - Gallimard, 2012. Grand in-4, cartonnage illustré. En belle condition.
Une très belle illustration du texte intégral de Camus. "C'est dans sa propre lecture de ce roman que nous convie José Muñoz. Ses dessins, incisifs et subtils, participent de l'émotion de l’écriture, et nous entraînent dans les méandres de cet étranger..."
Robert Laffont, collection Bouquins, 1994. In-8 broché (plus de 1400 pages), couverture illustrée. Infimes défauts en bords.
"Captivante chronique de la première moitié du XXè siècle, les mémoires d'Arthur Koestler (1905-1983) se révèlent être un des documents les plus précieux pour comprendre la tragédie de l'époque. L'itinéraire de ce hongrois naturalisé sujet britannique ressemble à l'un des vieux films muets projetés en accéléré où le héros saute de trains en autos, de navires en aéroplanes, apparaissant soudain suspendu dans le vide à une grue, pour être englouti l'instant d'après dans le tunnel béant, au rythme des rails et des aiguillages enchevêtrés, tandis que meuglent des sirènes de paquebots et que surgissent toutes sortes d'obstacles incongrus... Au travers de ces multiples coups de tête, conversions et ruptures, Koestler s'est effectivement trouvé aux avant-postes de l'Histoire, de la Commune hongroise de Bela Kun à la débâcle française de juin 40, en passant par une adolescence viennoise, la Palestine des pionniers sionistes, une expédition polaire en zeppelin, le Berlin de la montée du nazisme et l'URSS stalinienne, la guerre civile espagnole, enfin la drôle de guerre vue d'un camp d'internement français. Cette existence aventureuse s'est accompagnée d'une odyssée intellectuelle que Koestler dissèque avec lucidité, une ironie désespérée et une bonne dose d'humour noir. Rassemblés ici pour la première fois en un seul volume, les deux tomes de ses mémoires, La Corde Raide et Hiéroglyphes, sont accompagnés de ses premiers textes autobiographiques, Un testament espagnol (ici dans une nouvelle traduction et sous son titre définitif, Dialogue avec la mort) et La Lie de la terre, auxquels s'ajoute L'Etranger du square, journal posthume, écrit à deux mains avec sa dernière femme, Cynthia, avec laquelle il se suicida en 1983. "
Paris Librairie Bloud et Barral 1895 380 pages in-12. 1895. 380 pages. - 15ème édition. In-12 (183x121 mm) VIII-380 pages. Percaline éditeur. Guide pratique aux eaux minerales de la France et de l'étranger. Ornée de vignettes et de cartes. Percaline en état moyen frottée et salie. A noter les coutures liant les cahiers fragilisées par endroits. Intérieur avec des rousseurs éparses laissant une lecture très satisfaisante. Poids : 490 gr
Percaline en état moyen frottée et salie. A noter les coutures liant les cahiers fragilisées par endroits. Intérieur avec des rousseurs éparses laissant une lecture très satisfaisante
Genève, La Baconnière, 2017. Fort volume in-8 broché (670 pages, tout de même...), belle condition, bande de lancement conservée, "La Suisse vue par Mark Twain, un récit désopilant". Illustrations in-texte en noir.
"Relation primesautière et enlevée d'une circumnavigation aux vrais faux-airs d'Odyssée burlesque menée ventre à terre, dans une Europe buissonnière qui se révèle progressivement sous nos yeux au fil des rencontres de hasard, des surprises et des épiphanies que la route réserve à qui sait aller à la paresseuse, ce Vagabond à l'Etranger, publié pour la première fois aux Etats-Unis en 1880 (A Tramp Abroad), ne dédaigne jamais de prendre à rebrousse-poils tous les clichés en vogue et les facilités de ce qui ne s'est pas encore universellement répandu sous le nom de "tourisme". Et nous voilà embarqués, des villes allemandes de la Souabe et du Würtemberg (Heidelberg, Mannheim, Baden-Baden), jusqu'aux pics les plus élancés des Alpes helvétiques, sans omettre le Neckar — que l'on descendra en radeau — ni les recès mystérieux de la Forêt-Noire, ni enfin, les villes italiennes (Milan, Venise, Rome) déjà réduites à l'état de chromos, à l'époque, par tous les Baedecker et leurs suites de commis-voyageurs romantiques. Du touriste que sa niaiserie rend aveugle aux cent détails du jour au voyageur ironique cachant ses mille tours dans son sac, il n'y a qu'un pas, que Mark Twain saute allègrement pour la plus grande joie du lecteur, loin, bien loin de tout esprit de sérieux. Cette édition présente pour la première fois en français l'ouvrage dans son intégralité ; elle est rehaussée d'une sélection des illustrations insérées dans l'édition originale ainsi que de toutes les esquisses prises sur le vif par l'auteur lui-même. "
Publications de la Sorbonne, 2000, gr. in-8°, 308 pp, une carte, broché, couv. illustrée, bon état (XXXe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, Göttingen, juin 1999)
Au Moyen Age, cherche-t-on à intégrer l'étranger ou à l'exclure ? Et inversement, comment vivre au Moyen Age en tant qu'étranger ? Lors d'un colloque accueilli par la Mission historique française en Allemagne, une vingtaine de contributions, qui ont trait pour la plupart au Moyen Age tardif, ont tenté de répondre à ces questions. — Où commence l'étranger dans la société médiévale ? Comment y vit-on en étranger ? Peut-on au Moyen Age supporter "l'autre", celui qui n'est pas du village, de la ville où l'on naît et travaille, celui qui ne parle pas la même langue ? Ce sont les questions, si fort d'actualité, qui ont servi de trame aux travaux du XXXe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, accueilli en juin 1999 à Göttingen, lieu hautement symbolique, par la Mission historique française en Allemagne et l'Institut Max Planck d'histoire. Les communications, prolongées par les conclusions d'Otto Gerhard Oexle, font le point sur la manière dont les hommes du Moyen Age concevaient l'altérité. Les pratiques, les institutions, et aussi l'imaginaire ont contribué à faire de l'étranger une figure marquante de l'ordre social. Mobiles par vocation ou par nécessité, marchands, hommes d'armes, hommes d'Eglise, intellectuels et artistes ont suscité et façonné des manières d'être, des lieux de rencontre, des statuts codifiés, mais aussi des comportements de méfiance et de rejet, dans un constant va-et-vient entre exclusion et intégration.