‎DESHORTIES DE BEAULIEU C. (traduction)‎
‎A neuf ans‎

‎ALFRE MAME ET FILS. 1880. In-8. Broché. Etat passable, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 142 pages - quelques illustrations en noir et blanc hors texte, dont frontispice, par L. FROLICH. Dos fendu, un livret de page désolidarisé.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

Reference : RO40058963


‎"Par l'auteur de ""quand j'etais une petite fille, saint olaves, ect."" / 1ere serie , petit in-8. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne"‎

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‎[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767.‎

Reference : 015625

‎[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767.‎

‎[Besançon, Besnans Haute-Saône] Arrêt de la chambre des vacations du parlement de Besançon qui condamne Guillaume Goguet aux galères perpétuelles ; Ignace Pepot au fouet, à la marque, & à neuf ans de bannissement ; Etienne Calame à neuf ans de galères ; Etiennette & Françoise Championnet à être enfermées pendant trois ans en la Maison de force, dite du Bon Pasteur, de Besançon ; renvoye deux inconnus à un plus amplement informé indéfini ; Simonne Bayet, femme d'Etienne Calame, à neuf ans ; Vincent Menetrey à cinq ans, & Nicolas Jannin à trois ans de bannissement ; Jeanne-Claude Championnet, veuve Dumont, à être pendue & étranglée ; le nommé Maurice, Hibernois, à trois ans de galères, &c pour vols & autres crimes. Du 7 octobre 1767. [Besançon], Claude-Joseph Daclin, 1767. In-folio, 8p. Condamnation pour une étonnante affaire de moeurs à Besnans [Bennans dans le document]: Guillaume Goguet, dit le grand Guillaume, et Maurice sont deux contrebandiers et Etiennette, Françoise, Jeanne-Claude (la veuve Dumont) et Jeanne Championnet sont quatre soeurs. Le premier avait mis enceinte Françoise puis Jeanne-Claude et comptait faire pareil avec les deux autres. Le second avait payé les trois soeurs de la veuve pour coucher avec elles et avait été surpris au lit avec deux d'entr'elles. Jeanne-Claude, mis enceinte, accoucha d'une petite fille qu'elle assassina à la naissance et jeta dans la rivière Ognon. Elle sera donc pendue en place de Besnans. Beau document. [90] ‎


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‎[USURE] LECOUSTURIER‎

Reference : 35504402

(1777)

‎Arrest de la Cour du Parlement qui condamne Jacques Boulleau , Claude Vidy, Nicolas Naudin , et Jeanne Lepage, femme de Jacques Frilion, au carcan , au bannissement pour neuf ans, et à mille livres d'amende chacun envers le duc d'Orléans... du 10 janvier 1777.‎

‎Paris, Simon, Paris, Simon1777 ; in-4, en feuilles 31 (1) pp.ÉDITION ORIGINALE de cet arrêt souvent cité dans les ouvrages de jurisprudence. Dans ce jugement en faveur du duc d’Orléans, la Cour du Parlement étudie longuement la législation existante afin de définir les limites d’un intérêt que le prêteur peut légitimement réclamer à son débiteur. “Un arrêt du 10 janvier 1777, rendu sur l'appel à minima interjeté par le procureur général, d'une sentence du bailliage d'Orléans, du 22 mai 1776, le parlement de Paris a condamné les nommés Jacques Boulleau , Claude Vidy, Nicolas Naudin , et Jeanne Lepage, femme de Jacques Frilion, au carcan , au bannissement pour neuf ans, et à mille livres d'amende chacun envers le duc d'Orléans, pour Usures par eux commises. Il a pareillement condamné, pour crime d'Usure, François-Jean-Laurent Bedanne, Marie Rousseau, Marie - Catherine Faucamberge, femme de Pierre Godefroi, Jean Bonin, Françoise Anseau, femme de François Fœmin. et Madelaine Jousset, à faire amende honorable au siège du bailliage d'Orléans, à être ensuite bannis, les quatre premiers pour neuf ans, Françoise Anseau pour cinq ans, et Madeleine Jousset pour trois ans, de l'étendue du ressort du bailliage d'Orléans, et de la ville, prévôté et vicomte de Paris, et à différentes amendes envers le duc d'Orléans; et cinq autres à faire amende honorable, et au bannissement pour neuf ans : il a en même temps été ordonné « que les ordonnances, déclarations du roi, arrêts et réglemens de la cour, seraient exécutés selon leur forme et teneur, notamment le capitulaire de Cbarlemagne de 1789; l'ordonnance de Philippe III, de 1274 ; les ordonnances de Philippe IV , des 3o janvier 1311 et 8 décembre 1312; l'ordonnance de Louis XII, de juin 1510; l'ordonnance d'Orléans, de janvier 1560 [...] En conséquence, il a été fait défenses à toutes sortes de personnes, de quelque état et condition qu'elles fussent, d'exercer aucune espèce d'Usure prohibée, même sous apparence de commerce, par elles-mêmes ou par personnes interposées : il a pareillement été fait défense de se servir des proxénètes, médiateurs ou entremetteurs de prêts et négociations illicites; le tout, sous les peines portées par les ordonnances et réglemens selon la gravité des cas ».Observez que, quand l'Usure ne consiste que dans la stipulation de l'intérêt de l'argent qu'on a prêté par promesse ou par obligation, et que cet intérêt n'excède pas le taux autorisé par la loi, dans le cas où l'argent peut produire des intérêts, les juges se contentent de déclarer une telle stipulation nulle et usuraire, et d'ordonner que les intérêts qui ont pu être payés en consequence, seront imputés sur le principal. (M. Guyot)” dit Merlin dans son Répertoire raisonné de jurisprudence p. 435 à la définition du mot “usure”.‎


Librairie du Manoir de Pron - Montigny sur Canne

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‎Donatien Alphonse François de SADE‎

Reference : 59108

(1781)

‎« Faire noyer vive l'exécrable coquine qui depuis neuf ans (...) suce mon sang... » Lettre autographe à sa femme. Hommages à la Présidente‎

‎s. l. [Vincennes] s. d. [circa 1781] | 15.70 x 20.10 cm | une feuille‎


‎Lettre autographe, non signée, du Marquis de Sade adressée à sa femme. Une page rédigée à l'encre, écriture serrée sur 31 lignes. Cette lettre a été publiée dans la correspondance du Marquis de Sade. Provenance: archives de la famille. Cette lettre a été rédigée lors de l'incarcération de Sade à Vincennes, probablement en avril 1781, si l'on en croit les quelques repères temporels évoqués par le rédacteur lui-même. Le Marquis parle en effet de la fin de l'«exil de Marseille», faisant ainsi référence à la décision de la cour d'Aix-en-Provence qui, le 14 juillet 1778, casse le jugement pour débauche et libertinage, mais lui interdit d'habiter ou de fréquenter la cité phocéenne pour une durée de trois ans. Sade revient en outre sur l'un des épisodes marquants de sa vie, sa cavale italienne, qui eut lieu entre janvier et novembre 1776: «il valait autant me tuer tout d'un coup ou me laisser dans le pays étranger quand j'y étais». Le Marquis évoque également «l'étonnante faveur» qui lui est faite «de changer de bercail», c'est-à-dire sa possible translation au fort de Montélimar. En avril 1781, Madame de Sade obtient du Roi, par l'intermédiaire de son amie Madame de Sorans, l'autorisation que son mari soit transféré à la prison montilienne. Le Marquis explique dans la lettre: «je trouve qu'il faut être d'une belle impudence pour oser écrire à un malheureux qui souffre depuis neuf ans [...] de remercier bien humblement la personne qui lui obtint l'étonnante faveur de changer de bercail». Sade fait sans doute ici référence à cette fameuse Madame de Sorans, dame de compagnie de la sur de Louis XVI et amie de sa femme qui, par esprit romanesque, acceptera d'intercéder en sa faveur auprès du Roi. C'est au commissaire Le Noir, cité dans cette lettre, que Renée-Pélagie laisse le soin d'annoncer la nouvelle au détenu: «Ah je vois ce que c'est à présent que votre belle visite de M. Lenoir, je suis accoutumé à le voir en milieu de mes détentions.» Bien que, comme le souligne Pauvert (in Sade vivant), ce changement de «bercail» occupe grandement les pensées du Marquis et ses lettres, ce dernier n'y sera jamais envoyé, préférant rester dans les geôles du donjon de Vincennes. Sade est enfermé depuis maintenant plusieurs années et cette lettre tout en mouvements trahit sa soif de liberté. Cette lettre a été rédigée au moment où Madame de Sade s'est retirée au couvent Sainte-Aure. Si elle appréhende cette retraite comme une libération du carcan marital, le Marquis est quant à lui obsédé par l'idée de sa sortie et évoque d'ailleurs une possible date de libération: octobre 1783. Cette longue incarcération commencée en 1777 durera pourtant jusqu'en avril 1790, date de l'abolition des lettres de cachet. Les visites de Madame de Sade ne seront quant à elles rétablies par l'administration carcérale que le 13 juillet 1781, après quatre ans et cinq mois de séparation. Plusieurs des grands thèmes de la correspondance sadienne transparaissent déjà dans cette lettre des premières années de détention. Tout d'abord, la haine éprouvée à l'encontre de sa belle-mère, la Présidente de Montreuil, cette «exécrable coquine qui [lui] suce [le] sang [...] déshonore [ses] enfants [qui] n'est pas encore rassasiée de faire des horreurs et des platitudes» et qu'il a le désir «de faire noyer vive». Le Marquis s'y plaint en outre de sa mauvaise condition physique: «la tête me tourne et je n'ai pas besoin dans l'état où je suis d'une augmentation de chagrin» et utilise des épithètes toutes sadiennes pour exprimer son désespoir: «un malheureux qui souffre depuis neuf ans», «qu'ai-je fait grand dieu qu'ai-je fait pour souffrir depuis douze ans». - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎JARDIN (Pascal)‎

Reference : 29497

(1971)

‎La Guerre à neuf ans.‎

‎ Paris, Grasset, (13 mai) 1971. 1 vol. (130 x 200 mm) de 198 p. et [1] f. Broché, non coupé. Édition originale. Un des 24 premiers exemplaires sur alfa (n °1) - seul papier. ‎


‎Pour Denis Gombert, "La guerre à neuf ans est un livre plein de fureurs et de controverses. Et pourtant c'est le livre le plus délicat qui soit. Miracle de la littérature que de savoir marier les contraires. Le père de Pascal Jardin, Jean Jardin, directeur de cabinet de Laval sous Vichy s'était empressé de dénoncer, à sa sortie, le livre de son fils comme un tissu d'aberrations à ne surtout pas prendre au sérieux. Tout y serait totalement faux, presque honteux, comprend-on. Observateur privilégié d'une drôle d'histoire qu'il se plaît à raconter avec beaucoup de désinvolture, le jeune Pascal a suivi son père dans la débâcle de 1940, d'abord à Trouville puis à Bernay, avant de passer en « zone libre » - expressionqui intrigue le jeune homme - pour finalement déposer leurs bagages à l'hôtel du Parc, à Vichy, coquet point de chute du gouvernement français et véritable épicentre de lacollaboration (...) Quand il écrit la guerre à neuf ans, Pascal Jardin a trente six ans. Dans 10 ans, il sera mort. D'épuisement. Il aura passé son temps à cavaler et à écrire, surtout des dialogues pour les films (une centaine!). On se souvient de Classe tous risques, de Compartiment tueur, du Chat, de La veuve Couderc et de la série des Angélique, divin divertissement qui a façonné la divagationérotique de toute une génération. Le franc décolleté de Michèle Mercier, ses cheveux longs, sa nuisette, les pieds nus sur le dessus de lit... Comme Audiard, on a l'impression que le nom de Jardin est présent à chaque générique de film entre 1960 et 1980. Un jour qu'il rencontre Morand, ce dernier remarque que celui-ci ne l'écoute pas et fixe un point invisible au loin. « Persuadé que la vie se déroule derrière la ligne d'horizon, il passe son temps à essayer de la rattraper ». Il possède chevillé au coeur, comme disait l'auteur du Petit prince, « la nostalgie de là-bas »". C'est d'ailleurs une citation de ce dernier, tirée de Pilote de guerre, qui ouvre le livre : "on est de son enfance comme on est d'un pays". Préface d'Emmanuel Berl, qui a connu l'auteur enfant. Parfait état. ‎

Librairie Walden - Orléans
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Phone number : 09 54 22 34 75

EUR750.00 (€750.00 )

‎Jardin Pascal‎

Reference : 100111027

(1971)

‎La guerre à neuf ans‎

‎Grasset 1971 in12. 1971. broché jaquette. 198 pages. Etat Correct d'usage jaquette usagée‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

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