‎Herval René‎
‎Flaubert‎

‎Bonne Presse. 1942. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Papier jauni. 195 pages. Coiffe en pied légèrement abîmée.. . . . Classification Dewey : 843.081-Le roman historique‎

Reference : RO40005400


‎René herval, Président de l'académie de Rouen. Classification Dewey : 843.081-Le roman historique‎

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‎Gustave FLAUBERT‎

Reference : 62711

(1877)

‎Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à Léon Cladel‎

‎Paris 9 mai 1877 | 13.50 x 20.50 cm | 2 pages sur un feuillet remplié‎


‎Lettre autographe signée de Gustave Flaubert adressée à Léon Cladel. Enveloppe jointe. Quelques soulignements et corrections manuscrites de l'auteur. Minuscules taches d'eau. Trois petites restaurations à l'aide d'adhésif sur la seconde page ainsi que deux traces de pliures inhérentes à la mise sous pli du courrier. Amusante lettre dans laquelle Gustave Flaubert, dont la renommée littéraire n'est plus à faire, apporte son soutien à son ami Léon Cladel qui peine à faire publier l'un de ses ouvrages. Le « maître » - c'est ainsi que Léon Cladel nomme son confrère - démarre cette lettre avec enthousiasme: « J'ai commencé votre bouquin hier à 11 heures il était lu, ce matin à 9 ! ». Le « bouquin » dont il est ici question est L'Homme de la Croix-aux-Bufs que Flaubert avait accepté de relire pour son ami le 30 avril; il en avait d'ailleurs réclamé le manuscrit déposé chez l'éditeur Georges Charpentier à ce dernier: « Cladel m'a écrit pr me dire qu'il désirait que je lusse (pardon du subjonctif) le roman en feuilles qui est chez vous. Donc envoyez-le-moi, ou apportez-le-moi. » (Lettre du 3 mai 1877). Léon Cladel, très proche de Gustave Flaubert, semble lui avoir fait part des craintes de l'éditeur édouard Dentu quant à la publication de son ouvrage: « Et d'abord il faut que Dentu soit fou, pr avoir peur de l'im le publier. » En familier aguerri de l'impitoyable monde de l'édition, Flaubert se place en professionnel et déclare : « Rien n'y est répréhensible soit comme politique, soit comme morale. Ce qu'il vous a dit est un prétexte ? » Cette question de la répréhension morale n'est pas sans faire écho au célèbre procès intenté à l'auteur de Madame Bovary. Tel un critique littéraire dithyrambique, Flaubert complimente son confrère : « Je trouve votre livre, un vrai livre. C'est très bien fait, très soigné, très mâle. & je m'y connais mon bon. » Lecteur scrupuleux, il se permet néanmoins quelques remarques sur le manuscrit de Cladel (« J'ai deux ou trois petites critiques à vous faire (des niaiseries) - ou plutôt des avis à vous soumettre.») avant de se raviser : «Qqfois, il y a des prétentions à l'archaïsme et à la naïveté. C'est l'excès du bien. » L'attitude de Flaubert est ici quasi paternelle et en tout cas bienveillante: conscient des capacités de son ami il souhaite l'encourager et voir la publication de son ouvrage aboutir : « Mais encore une fois, soyez content & dormez sur vos deux oreilles - ou plutôt ne dormez pas - et faites souvent des uvres pareilles.» L'écrivain bienveillant évoque également dans cette missive un autre éditeur, Georges Charpentier : « Quant à Charpentier (auquel je remettrai vos feuilles vendredi - jour où je dîne chez lui) je vais lui chauffer le coco violemment, & en toute conscience, sans exagération & sans menterie. » Charpentier qui édite Flaubert depuis 1874 est devenu un proche ami de l'écrivain avec lequel il entretient une riche correspondance. En ce mois de mai 1877, il vient juste de publier Trois contes qui fut pour Cladel l'occasion d'une émouvante célébration de son maître ès Lettres : « Où diable avez-vous pris ce rutilant pinceau dont vous brossez vos toiles, les petites comme les grandes, et cette sobriété que certains latins vous envieraient ? Être à la fois Chateaubriand et Stendhal, et de plus Flaubert ». Cette admiration est réciproque et Flaubert éprouve pour ce «véritable artiste» une estime non feinte : «La fin est simplement sublime! - & du plus gd effet.» Il réitèrera, quelques semaines plus tard ses compliments : «C'est travaillé, ciselé, creusé. L'observation, chez vous, n'enlève rien à la poésie ; au contraire, elle la fait ressortir.» En effet, Cladel s'affirmera comme le véritable héritier du style flaubertien, bien plus que Zola qui lui reprochera justement de «travaille[r] sa prose avec acharnement » et de « s'efforce[r] de rendre parfaite chaque phrase qu'il écrit». C'est finalement Edouard Dentu qui publiera le manuscrit de L'Homme de la Croix-au‎

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‎Louise COLET‎

Reference : 73074

(1846)

‎« Le Vrai Beau », un poème d'amour contrarié de Louise Colet à Gustave Flaubert avec un vers inédit Manuscrit autographe‎

‎s. d. [1846] | 19.50 x 35.50 cm | une feuille‎


‎Poème manuscrit autographe signé de Louise Colet, intitulé «Le Vrai Beau», 38 vers alexandrins à l'encre noire sur un feuillet de papier cartonné satiné de format oblong, plié en deux endroits. Une petite tache au verso vierge. Publié en 1852 sous le titre «L'Art et l'Amour», daté de 1846, dans Ce qui est dans le cur des femmes: Poésies nouvelles. Cette version manuscrite, au titre différent, présente un vers et quelques mots inédits. *** Superbe cri du cur de Louise Colet qui met en vers les conceptions - de la vie, de l'amour, de l'art - qui l'opposent à son amant Gustave Flaubert, témoignant des premiers émois de leur relation tumultueuse. Ecrit peu de temps après leur rencontre le 29 juillet 1846, le poème est une réponse enflammée à une lettre de Flaubert du 2 septembre «Oh ! va, aime plutôt l'Art que moi» à laquelle son premier vers fait explicitement référence : «Tu me dis : Aime l'art, il vaut mieux que l'amour [...] Et moi. je te réponds : La langue du poête Ne rend du sentiment que l'image incomplète». Après avoir accordé à Louise Colet quelques rares nuits passionnées à la suite de leur rencontre dans l'atelier de James Pradier, le bien nommé ermite de Croisset avait gardé ses distances pour se consacrer à l'écriture, tout en proclamant son amour pour elle. Cetteréponse poétique de Louise Colet aux échanges épistolaires de Flaubert est d'autant plus importante que ses lettres ont été détruites par l'écrivain en 1879. Les alexandrins interpellent Flaubert à la deuxième personne, dans ce manifeste théorique et lyriqueadressé à son amant de onze ans son cadet, de la main d'unepoétesse déjà reconnue de ses pairs, qui captiva d'abord le philosophe Victor Cousin, et plus tard Musset et Vigny. Elle met en forme leurs dialogues sous le prise du Romantisme, qu'elle incarne, et du Réalisme auquel Flaubert s'attache farouchement. Au-delà du rôle d'amoureuse exaspérante qu'on lui a souvent prêté, Colet revendique les élans de son cur que Flaubert ignore en lui-même; et argue que les transports du réel surpasseront toujours ceux de l'Art condamné à les imiter: «Des maîtres les plus grands les uvres les plus belles, Auprès du beau vivant, compare, que sont-elles ?» Rare vestige rescapé de la censure de Flaubert, restituant la voix de Louise Colet au sein de leur dialogue amoureux. Le poème de Louise Colet prend à la fois la forme de discussion sur l'esthétique et de tendre déclaration d'amourà Flaubert ; leurs destins de littérateurs étant inextricablement liés à leur vie intime. Tu me dis : Aime l'art, il vaut mieux que l'amour ; Tout sentiment s'altère et doit périr un jour ! Pour que le cur devienne une immortelle chose, Il faut qu'en poésie il se métamorphose, Et que chaque pensée en sorte incessamment, En parant sa beauté d'un divin vêtement. Sentir, c'est aspirer!... c'est encor la souffrance ; Mais créer, c'est jouir,! c'est prouver sa puissance ; C'est faire triompher de la mort, de l'oubli, Toutes les passions dont l'âme a tressailli! Et moi. je te réponds : La langue du poête Ne rend du sentiment que l'image incomplète ; Concevoir le désir, goûter la passion, Nous fait dédaigner l'art et sa création ; Formuler les pensers dont notre esprit s'enivre, Ce n'est que simuler la vie : aimer, c'est vivre ;! C'est incarner le rêve, et sentir les transports Dont l'art ne peut donner que des emblèmes morts ! Des maîtres les plus grands les uvres les plus belles, Auprès du beau vivant, compare, que sont-elles? Corrége et le Poussin, Titien et Raphaël, Rubens, dont la palette est prise à l'arc-en-ciel, Éblouissant nos yeux, ont groupé sur leurs toiles Des visages divins et de beaux corps sans voiles ! Mais hier, quand soudain à nos regards charmés Ces tableaux immortels se trouvaient animés, Lorsqu'au lieu de la chair que la couleur imite, Nous avons admiré cette chair qui palpite, Où le sang, à travers l'épiderme soyeux, Circule en répandant des reflets lumineux ; Lorsque nous avons vu d'exqu‎

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‎George SAND‎

Reference : 71232

(1867)

‎"Étroniformeest le mot sublime qui classe cette espèce de végétauxmerdoïdes" Lettre autographe à Gustave Flaubert‎

‎Nohant 21 décembre 1867 | 13.40 x 20.70 cm | deux feuillets sous chemise et étui‎


‎Lettre autographe de George Sand adressée à Gustave Flaubert datée du 21 décembre 1867, 8 pages sur deux feuillets rempliés. Publiée dans la Correspondance, XX, pp. 642-645. Issue d'une des plus belles correspondances littéraires du siècle, cette lettre écrite à la veille de Noël 1867 est un sublime témoignage de la franche amitié entre George Sand, le «?vieux troubadour?» et Gustave Flaubert baptisé «?cul de plomb?» après avoir décliné son invitation à Nohant pour achever l'Éducation sentimentale. Malgré les dix-sept ans qui les séparent, leurs tempéraments opposés et leur conception de la vie divergentes, le lecteur est saisi par la tendresse mais aussi l'étonnante verdeur de cette longue confidence de George Sand. Alors au faîte de sa gloire littéraire et à la joie de son théâtre de Nohant, Sand s'entretient longuement de politique, de leur séparation, de leur conception du travail d'écrivain, de la vie même. Dans cette lettre à l'allure de «?courant de conscience?», Sand couche naturellement et librement sur le papier huit pages de conversations avec l'écrivain, qui ne fait que de trop rares et brèves apparitions à Nohant?: «?Mais comme je bavarde avec toi?! Est-ce que tout ça t'amuse' Je le voudrais pour qu'une lettre de causerie te remplaçât un de nos soupers que je regrette aussi, moi, et qui seraient si bons ici avec toi, si tu n'étais un cul de plomb qui ne te laisses pas entraîner, à la vie pour la vie?», tandis que chez Flaubert, alors plongé dans l'écriture de l'Éducation sentimentale, la devise est plutôt l'art pour l'art. Cette fin d'année 1867 est marquée par la douleur de la disparition d'un «?presque frère?», François Rollinat, que Sand apaise par ses lettres à Flaubert et les soirées animées à Nohant?: «?Voilà comme je vis depuis 15 jours que je ne travaille plus. [...] Ah'?! quand on est en vacances, comme le travail, la logique, la raison semblent d'étranges balançoires?». Sand lui reprochait volontiers de travailler sans relâche dans sa robe de chambre, «?l'ennemi de la liberté?», alors qu'elle, courait par monts et par vaux, de Cannes à la Normandie, jusque sur les terres de l'écrivain qu'elle avait visitées en septembre. À cette occasion, Sand avait relu avec bonheur Salammbô dont quelques lignes se retrouvent dans Mademoiselle Merquem, sa dernière uvre en date. Leur amitié littéraire et virile, comme celle avec Rollinat, défia toute la vieille garde des littérateurs qui affirmaient l'impossibilité d'une liaison sincère entre l'homme et la femme. Sand, qu'on a tour à tour qualifié de lesbienne, de nymphomane, rendue célèbre pour ses amours retentissantes et si diverses, entame une longue et riche correspondance avec Flaubert pour qui elle est une mère et un vieil ami. Le «?vieux troubadour?» ou «?vieux cheval?» ne se considérait même plus comme femme, mais comme un être quasi-homme, rappelant ses travestissements de jeunesse et son formidable mépris des barrières entre les sexes. À Flaubert qui avait écrit à celle qu'on surnomma la «?papesse des gynandres?»?: «?Pour mieux tirer à l'arc, elles s'écrasaient le téton?», en évoquant les Amazones?; Sand répond «?Je ne suis pas dans ton idée qu'il faille supprimer le sein pour tirer l'arc. J'ai une croyance tout à fait contraire pour mon usage et que je crois bonne pour beaucoup d'autres, probablement pour le grand nombre?». Guerrière certes, mais guerrière pacifique, Sand a volontiers adopté les usages d'un monde de lettrés misogynes, tout en ayant su rester elle-même?: «?Je crois que l'artiste doit vivre dans sa nature le plus possible. À celui qui aime la lutte, la guerre?; à celui qui aime les femmes, l'amour?; au vieux qui, comme moi, aime la nature, le voyage et les fleurs, les roches, les grands paysages, les enfants aussi, la famille, tout ce qui émeut, tout ce qui combat l'anémie morale.?» ajoute-t-elle ensuite. Belle évocation de sa «?période verte?», ce passage consacre le temps des romans champêtres de Sand, qui, assagie par les années, s'é‎

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‎George SAND - (à Gustave FLAUBERT)‎

Reference : 76872

(1876)

‎"Je t'écris en courant ce matin ..." Lettre autographe signée adressée à Gustave Flaubert‎

‎Nohant 6 mars 1876 | 13.20 x 20.70 cm | deux pages sur un feuillet remplié‎


‎Lettre autographe signée de George Sand adressée à Gustave Flaubert. Deux pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet présentant, en tête de la première page, le timbre à sec de l'expéditrice. Cette lettre a été publiée dans la correspondance complète de George Sand établie par Georges Lubin. Belle lettre rédigée par George Sand quelques mois avant sa mort et adressée à son ami de toujours, Gustave Flaubert. L'écrivaine souhaite offrir à son ami une place pour qu'il assiste à la reprise de sa pièceLe Mariage de Victorine: "Je t'écris en courant ce matin parce que je viens de recevoir de Mr Perrin avis de la 1ère représentation de la reprise du Mariage de Victorine une pièce de moi au théâtre français. Je n'ai ni le temps d'y aller ni l'envie de partir comme cela au pied levé, mais j'aurais voulu y envoyer quelques amis et il ne m'offre pas une seule place. Je lui écris une lettre qu'il recevra demain et je le prie de t'envoyer au moins un orchestre." Les lettres issues de la correspondance entre George Sand et Gustave Flaubert sont fameuses et très recherchées. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R240134818

(1979)

‎LES AMIS DE FLAUBERT N°54 MAI 1979 - Maxime du Camp d'après sa correspondance avec Flaubert par Di Stefano - un musicien polonais ami de Flaubert Antoni Orlowski 1811-1861 par Goubault - Flaubert et Stendhal un cas d'incompréhension par R.Boister etc.‎

‎IMP. YVETOTAISE. 1979. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 46 pages agrafées.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Maxime du Camp d'après sa correspondance avec Flaubert par Di Stefano - un musicien polonais ami de Flaubert Antoni Orlowski 1811-1861 par Goubault - Flaubert et Stendhal un cas d'incompréhension par R.Boister - autour d'une nuit de Don Juan et de Madame Bovary de Flaubert par Linowitz Wentz - une lettre inédite de Panagiotis Matarangas adresse à Louise Colet A.Skourtis - echos : l'opinion de Thibaudet sur le groupe de Médan - Nadar et Flaubert - il y a cent ans - sur Louis Colet - Flaubert médaillé tunisien - une chanson est elle l'inspiratice de la tentation de Saint Antoine - Flaubert et Bernardin de Saint Pierre - bibliographie flaubertienne. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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