LIBRAIRIE LAROUSSE. 1933. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 231 pages. . . . Classification Dewey : 398.2-Conte populaire
Reference : RO30145712
CONTES ET ROMANS POUR TOUS Classification Dewey : 398.2-Conte populaire
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Lille, Chez François Fiévet, 1698. 2 tomes en un fort volume in-12 (10 x 17 cm), reliure cuir de l’époque, dos à cinq nerfs (reliure usagée avec manques de cuir en coiffes, coins frottés), de (38) + 455 + (24) + 441 + (33) pages. Beau frontispice gravé représentant la sainte (usure en haut de la marge supérieure : ex-libris manuscrit carmélitain en partie effacé au dos) et autre gravure en seconde page de titre. Ex-libris ms. ancien, en page de titre, du couvent de Douai.
Rare édition.
Tallandier. 25 septembre 1906. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 81 à 160. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : Mon frère Yves (suite) X par Pierre Loti, La mère Sainte-Agathe par Jules Lemaitre, Bel-ami (suite) III par Guy de Maupassant, Les roses du souvenir par Victor Margueritte, La part du feu par Michel Provins, Une vieille maitresse (suite) IV par J. Barbey d'Aurevilly, Pudeur par Michel Corday, Sieste par André Theuriet Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
( Théâtre ) - Tom Stoppard - Jean-Claude Carrière - Andréas Voutsinas
Reference : 8637
L'Avant-Scène Théâtre, bimensuel, n° 838 du 15 novembre 1988. In-8 broché de 64 pages, au format 25 x 17 cm. Couverture illustrée par une photographie. Dos carré avec titre et petits frottis. Plats et intérieur frais, malgré d'infimes frottis aux coins. Découpage de la pièce avec photographies de la représentation, en noir, in texte. Présentation de l'auteur, Tom Stoppard, avec photo. Texte adapté par Jean-Claude Carrière. Entretiens avec l'adaptateur, les comédiens et le metteur en scène, avec ohotos, situés à la suite de la pièce : Jean-Claude Carrière, Pierre Arditi, Evelyne Bouix, Catherine Rich, Yves Beneyton, Nathalie Dauchez, Christophe Brault, Jean-Luc Bernard. Bel état général. Edition originale. Rare et précieux exemplaire, enrichi de 4 belles dédicaces autographes, signées, de Catherine Rich, Christophe Brault, Yves Beneyton et Pierre Arditi, destinées à Myrtille Dauchez, mère de la la comédienne Nathalie Dauchez, qui joue le rôle de Debbie dans la pièce.
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[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.