‎Jacques Grandey‎
‎Pierre et sa Mère‎

‎Librairie Larousse 1933 1933.‎

Reference : 500064290


‎Etat correct‎

€30.00 (€30.00 )
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Démons et Merveilles
M. Christophe Ravignot

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‎THÉRÈSE D’AVILA, sainte (1515-1582). ‎

Reference : C30

(1698)

‎Lettres de Ste Térèse de Jésus, Mère & Fondatrice de la Réforme de l’Ordre de Notre-Dame du Mont-Carmel, de l’Observance primitive. Avec les Remarques du R.P. Pierre de l’Annonciation, Lecteur en Théologie dans le Couvent des Carmes déchaussez de Pampelone. Recueillies par les ordres du R. Père Diègue de la Présentation, autre-fois Général des Carmes déchaussez. [… ] Traduites d’Espagnol en François par le R.P. Pierre de la Mère de Dieu, de la Province Valonne des Carmes déchaussez aux Pays-bas, de la Congrégation d’Italie. ‎

‎Lille, Chez François Fiévet, 1698. 2 tomes en un fort volume in-12 (10 x 17 cm), reliure cuir de l’époque, dos à cinq nerfs (reliure usagée avec manques de cuir en coiffes, coins frottés), de (38) + 455 + (24) + 441 + (33) pages. Beau frontispice gravé représentant la sainte (usure en haut de la marge supérieure : ex-libris manuscrit carmélitain en partie effacé au dos) et autre gravure en seconde page de titre. Ex-libris ms. ancien, en page de titre, du couvent de Douai. ‎


‎Rare édition. ‎

Jean-Marc Boudier - Livarot-Pays d'Auge

Phone number : 06 87 23 31 08

EUR180.00 (€180.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110430526

(1906)

‎Lisez moi n° 26 - Mon frère Yves (suite) X par Pierre Loti, La mère Sainte-Agathe par Jules Lemaitre, Bel-ami (suite) III par Guy de Maupassant, Les roses du souvenir par Victor Margueritte, La part du feu par Michel Provins, Une vieille maitresse (suite)‎

‎Tallandier. 25 septembre 1906. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 81 à 160. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎Sommaire : Mon frère Yves (suite) X par Pierre Loti, La mère Sainte-Agathe par Jules Lemaitre, Bel-ami (suite) III par Guy de Maupassant, Les roses du souvenir par Victor Margueritte, La part du feu par Michel Provins, Une vieille maitresse (suite) IV par J. Barbey d'Aurevilly, Pudeur par Michel Corday, Sieste par André Theuriet Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎GRANDEY JACQUES‎

Reference : RO30145712

(1933)

‎PIERRE ET SA MERE‎

‎LIBRAIRIE LAROUSSE. 1933. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 231 pages. . . . Classification Dewey : 398.2-Conte populaire‎


‎CONTES ET ROMANS POUR TOUS Classification Dewey : 398.2-Conte populaire‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎curiosa LOUYS OEUVRE EROTIQUE‎

Reference : 5660

‎LOUYS (Pierre), établie par Jean-Paul GOUJON L ' OEUVRE EROTIQUE Paris, Editions SORTILEGES, 1994 . Edition établie et présentée par Jean-Paul GOUJON. Un fort volume in - 8 de XXXI 1083 pp. , portrait en frontispice, reliure toilée (quelque peu défraîchie, légère odeur d'humidité) Pierre Félix Louis dit Pierre Louÿs , né à Gand ( Belgique ) le 10 décembre 1870 et mort à Paris le 6 juin 1925 , est un poète et romancier français. Il est également connu sous les noms de plume de Pierre CHRYSIS , Peter Lewys et Chibrac Influences du Parnasse hellénisant et du symbolisme, avec un profond goût de la sensualité, du bucolique (dans sa première partie) et de l'érotisme élégant. Les évocations naturelles et précieuses y côtoient ainsi des scènes érotiques. Ses poèmes inspirèrent certains musiciens, dont Claude Debussy qui en tira trois compositions, avec la collaboration amicale de Louÿs. Tout au long de sa vie, Pierre Louÿs a écrit un très grand nombre de curiosa , doublant, notamment et systématiquement, ses ouvres publiées d'une version érotique. Ses textes, souvent ironiques, reprennent sous une forme coquine des ouvres sérieuses comme les quatrains de Pybrac ou le Manuel de civilité pour les petites filles à l'usage des maisons d'éducation . Il a également raconté ses difficiles relations avec les trois filles Heredia et leur mère dans Trois filles de leur mère , publié sous le manteau après son décès, puis officiellement dans le catalogue de Jean-Jacques Pauvert . Pierre Louÿs est aussi un bibliophile, qui possédait une bibliothèque de plus de 20 000 volumes (dont des unica ) et une connaissance très fine de la littérature ancienne. Extrait du Tombeau d'une jeune courtisane ( Les Chansons de Bilitis ) « Ici gît le corps délicat de Lydé, petite colombe, la plus joyeuse de toutes les courtisanes, qui plus que toute autre aima les orgies, les cheveux flottants, les danses molles et les tuniques d'hyacinthe. Plus que toute autre, elle aima les glottismes savoureux, les caresses sur la joue, les jeux que la lampe voit seule et l'amour qui brise les membres. Et maintenant, elle est une petite ombre. Mais avant de la mettre au tombeau, on l'a merveilleusement coiffée et on l'a couchée dans les roses ; la pierre même qui la recouvre est tout imprégnée d'essences et de parfums. Terre sacrée, nourrice de tout, accueille doucement la pauvre morte, endors-la dans tes bras, ô Mère ! et fais pousser autour de la stèle, non les orties et les ronces, mais les tendres violettes blanches. »‎


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