***. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non paginé, environ 15 pages. Nombreuses photos en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 910.4-Voyages
Reference : RO30094924
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Paris, A. Lemerre, Libraire ; Lyon, A. Rey & Cie, Imprimeurs-Editeurs ; Marseille, P. Ruat, Libraire, 1910, 1 volume in-folio de 325x255 mm environ, (8)-352-(3) pages, avec 1 planche hors texte et 190 illustrations dont deux en couleurs, broché sous couverture imprimée en rouge et noir avec blason en couleur. Plis de lecture avec début de fente sur le haut et le bas du dos, plats et quelques feuillets avec bordures fendillées, mors interne fragile, sinon bon état. Edition originale numérotée tirée à 250 exemplaires.
Saint-Gilles, aussi appelée Saint-Gilles-du-Gard, est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.La ville, qui doit son nom au célèbre abbé Gilles l'Ermite dont elle garde le tombeau, fut un des plus importants lieux de pèlerinage de la chrétienté au XIIe siècle. Ses habitants sont appelés les Saint-Gillois. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Les éditions musicales Saint-Gilles Feuilles sous chemise In-4 (33x25.5 cm), livrets sous couverture illustrée, non paginé, contes mis en vers et en musique par Saint-Gilles, illustrations de Maurice Saint-Gilles ; coiffes et dos frottés, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris chez Guillaume de Luynes, Auguste Hebert, Vve F. Mauger, Vve J. Charpentier 1709 1 vol. relié in-12, basane havane, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre, (8) + 280 pp. (complet avec les feuillets de privilège et de tables reliés en tête). Edition originale posthume de ce recueil de fables, poésies, comédies et contes du chevalier de Saint-Gilles. Une note manuscrite sur la page de garde cite Viollet le Duc dans ses Bibliographies poétiques : "De tous les imitateurs de La Fontaine, Saint Gilles est peut-être celui qui l'a le plus approché. Il est d'ailleurs fort peu connu et aucun biographe n'en a parlé. Il était brigadier de mousquetaires et il mourut capucin..." Reliure postérieure, coins et coiffes usés et mors supérieur un peu fendu en tête.
P., Editions d'Art et d'Histoire, 1935, pt in-4° (19 x 25), 70 pp, 24 planches hors texte en héliotypie présentant 34 reproductions des fresques de la chapelle Saint-Gilles et d'oeuvres du Moyen Age prises par l'auteur comme termes de comparaison, imprimé sur papier vergé, broché, couv. à rabats, bon état
Plusieurs fois abandonnée et reprise, la thèse du rayonnement d'art, parti du Mont-Cassin vers la fin du XIe siècle, semble devoir trouver une vigueur nouvelle dans l'étude de la vie des établissements bénédictins qui jalonnèrent les routes des pèlerinages, comme dans la constatation des rapports incessants, administratifs et religieux, qui lièrent étroitement entre eux, dès le haut Moyen Age, ces établissements, haltes des pèlerins. La remarquable étude de M. R. Gérard sur l'un des établissements situé sur la route du grand pèlerinage de Tours, puis de Compostelle, abonde, dans ce sens, en aperçus nouveaux. Consacré à l'importante décoration murale intérieure de la chapelle Saint-Gilles de Montoire, il sera fort utile à ceux qui cherchent à éclaircir le processus par lequel les ateliers ambulants, possesseurs des cartons et albums provenant vraisemblablement du Mont-Cassin, par l'intermédiaire de Cluny, les appliquèrent dans les sanctuaires bénédictins de France. Les différentes écoles, celles de Desiderius, c'est-à-dire du Mont-Cassin, et l'école plus particulièrement française y sont bien classées et examinées. — "En présentant la chapelle du prieuré bénédictin de Saint-Gilles de Montoire, M. Robert Gérard n'a pas eu la prétention d'en étudier l'architecture, qui a fait l'objet d'un travail très poussé que M. l'abbé Plat a écrit dans le volume du Congrès de Blois en 1925, aussi n'y consacre-t-il que quelques pages pour situer l'objet principal de son livre : les peintures qui l'ornent. Ce n'est pas que celles-ci aient échappé à M. l'abbé Plat, mais, depuis 1925, un fait nouveau a surgi, qu'il eût été bon de rappeler : il y a quelques années seulement, il a été retrouvé au Musée de peintures d'Orléans une suite d'aquarelles copiées très fidèlement en 1841, à Saint-Gilles de Montoire, par J.-J. Jorand, qui furent exécutées alors que les peintures étaient dans un état de conservation bien supérieur à celui d'aujourd'hui, où il est fort difficile de les examiner avec fruit . On peut maintenant retrouver les thèmes iconographiques, jusqu'ici, faute d'une bonne vision, mal interprétés, et la technique dont on se rendait difficilement compte. Ainsi armé, M. Gérard s'est attaché à rechercher les origines de cet ensemble et il l'a fait avec talent et courage : il ne craint pas d'aller à l'encontre de théories admises par de nombreux archéologues, et non des moindres. A bien lire l'auteur, non seulement il y a une école architecturale de Cluny, mais c'est à Cluny qu'on doit les peintures murales qui enrichirent les églises du XIIe siècle : « Ce sont les cartons et albums de mosaïques importés d'Italie pour Cluny qui servirent de base à la plupart des peintures murales du XIIe siècle. » M. Gérard étend même le sujet juscju'à rechercher les sources d'inspiration dont Cluny a bénéficié. Montoire, situé, – comme tant d'autres localités, – sur une route de pèlerins, devait subir cette emprise." (François Deshoulières, Bulletin Monumental, 1935) — "... Saint-Gilles de Montoire méritait bien l'honneur que vous lui faites, car il est peu d'églises du Moyen Age à présenter encore un tel et si curieux ensemble de peintures. J'ai lu avec beaucoup d'intérêt votre commentaire et je vous en félicite d'autant plus vivement qu'il contribuera, je l'espère, à attirer efficacement l'attention sur nosanciennes peintures murales, charmants vestiges d'un monde évanoui qui fournissent un témoignage beaucoup plus précis sur les origines de notre civilisation romanes que les sculptures et les miniatures des manuscrits." (Jean Hubert)