FIRMIN-DIDOT. 1792. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 221 pages - nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte - tranches dorées - frontispice en noir et blanc - couverture monochrome - etiquette de remise de prix collée sur le 1er contre-plat.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Reference : RO20162326
Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Paris, G. Charpentier, 1879. 470 g In-12, demi percaline verte à la bradel, [2] ff., xxiii-297 pp., [1] f.. Première édition collective des deux pièces des frères Goncourt. Petits frottements. . (Catégories : Théâtre, Littérature, )
Paris, Dentu, [1873] 1 vol. (155 x 235 mm) de 1 f., [faux-titre], [titre], 139 p. et 1 f. Demi-maroquin vert à coins, filets dorés sur les plats, dos à nerfs orné de caissons, filets et fleurons dorés, tête dorée (reliure signée de David). Edition originale. Un des 100 exemplaires grand in-8 sur vélin. Envoi signé : « à Poulet-Malassis, Edmond de Goncourt ». Nombreuses rousseurs.
1857. Les Hommes de lettres, la dernière création théâtrale des frères Goncourt, est refusée au Gymnase, puis au Vaudeville. Echaudés, les Goncourt renoncent provisoirement à écrire pour le théâtre. Mais ils ont des projets; le 27 décembre 1860, ils évoquent leur future «pièce de la Révolution», qui sera Blanche de la Rochedragon (renommée La Patrie en danger), finalement achevée le 11 octobre 1867. Le 26 décembre, ils proposent la pièce à Thierry, au Théâtre-Français. Ils sont reçus à correction, c'est-à-dire refusés par le comité de lecture, le 7 mars 1868. Mais les Goncourt sont tenaces : Mademoiselle de la Rochedragon paraîtra enfin 1873, chez Dentu ; la pièce prend alors son titre définitif de La Patrie en danger : une marquise de la Rochedragon avait protesté lorsque les journaux signalèrent la pièce ! « La relecture (...) de la Patrie en Danger m'a donné un désir intense de voir ces oeuvres sur la scène. Je suis convaincu qu'elles auraient aujourd'hui un succès retentissant l'une et l'autre ; et que ce succès tiendrait autant à la littérature qu'à l'intérêt très grand de l'action. « Guy de Maupassant, 18 juillet 1879). Il lui faudra néanmoins attendre près de dix ans pour voir le voeur se réaliser : ce n'est que le 16 janvier 1889 que Léon Hennique et André Antoine lisent La Patrie en danger au siège social du Théâtre-Libre d'Antoine, 96 rue Blanche, où avaient lieu les répétitions depuis le 1er novembre 1887. La première représentation sera jouée le 19 mars par le Théâtre-Libre. Dans la préface de l'édition collective de 1879, celle à laquelle Maupassant fait référence, Edmond de Goncourt déclare que le nouveau drame et La Patrie en danger forment le résultat d'une nouvelle optique théâtrale, selon laquelle la technique des «grosses ficelles», des «coups de théâtre» ou des «rebondissements» de l'action, a été tout à fait abandonnée au nom d'une «documentation historique» qui avait le mérite, selon l'auteur, de ne pas avoir encore tentée au théâtre. L'exemplaire Poulet-Malassis ne figure pas dans Les Goncourt dédicateurs, 650 ex-dono de Christian Galantaris, qui ne recense que 2 exemplaires dédicacés pour ce titre (n° 347 et 346). Nous pouvons y ajouter l'exemplaire Alphonse Daudet et Ernest Renan, croisés depuis. Cinq, donc, avec celui-ci, tous sur vélin. Bon exemplaire malgré des rousseurs.
Paris, Imprimerie Nationale, An 7 (1798) in-8, 6 pp.
L'auteur, natif de Pont-Saint-Esprit, était avocat et député du Gard à la Convention. Il fut également membre du Comité de salut public.Martin et Walter, 7159.
Paris, Imprimerie Nationale, Vendémiaire an 8 (1799) in-8, 6 pp.
L'auteur était député du Pas-de-Calais.Martin et Walter, 9302.
Illustré de 37 gravures Ce livre fait référence à une période historique critique pendant la Révolution française. En 1792, la France était confrontée à de graves menaces extérieures, notamment des guerres avec les monarchies européennes qui cherchaient à rétablir l'Ancien Régime et à mettre fin à la Révolution. La Convention nationale, nouvellement élue, décréta la "patrie en danger" le 11 juillet 1792, appelant à la mobilisation générale de la population pour défendre la nation contre ces menaces. "La patrie en danger" était un appel émotionnel qui a galvanisé le peuple français et a contribué à mobiliser un grand nombre de citoyens pour participer aux conflits militaires qui ont suivi. volume in4, 24x16, relié percaline rouge, toutes tranches dorées, petite tache sur les plats, très bel état, 327pp. Paris, F. Didot, ss date 1890/1900 ref/259