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‎Pleure, Ô Rwanda bien-aimé.‎

‎Villance-en-Ardenne (Belgique), Omer Marchal, 1994. 14 x 21, 110 pp., broché, couverture à rabats, très bon état.‎

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

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‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

‎Il était une fois... Granny 1903-1951 [ Souvenir de Alice Wenning 1903-1985 épouse de Pierre Marchal 1888-1951 ]‎

‎1 vol. in-8 br., s.n., s.d. (circa 1970 ?), 60 pp. et 2 ff.‎

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‎Très intéressants souvenirs d'Alice Marchal née Wenning, épouse de Pierre Marchal (de la famille des Marchal de Rothau). On joint deux photos originales : l'un de Pierre Marchal, l'autre de Cécile Marchal née Wiedemann (1852-1930), épouse de Paul Marchal (1851-1912). Etat très satisfaisant (plusieurs ff. débrochés). Voir également dans notre catalogue les souvenirs de Ninette Marchal Reboul et de son frère Fernand Reboul.‎

‎Partition de la chanson : Chanteur d'amour (Le) ‎

‎ Beuscher Paul 1968‎

‎ Etat moyen Format Coquille ‎

‎Partition de la chanson : Drôle de vie ‎

‎ Champs-Elysées 1978‎

‎ Bon état Format Coquille Piano ‎

‎"Eléments de physiologie végétale; les bases scientifiques de la phytotechnie. Encyclopédie agronomique et vétérinaire."‎

‎Gembloux, Jules Duculot/Paris, Librairie Agricole, 1950. 17 x 25, 343 pp., 130 figures, broché, non coupé, bon état (couverture défraîchie).‎

‎Résonance.‎

‎Bruxelles, Artesio, 2010. 21 x 24, 120 pp., très nombreuses illustrations en couleurs et en N/B, broché, très bon état (sauf 1 coin plié à l'arrière).‎

‎"Lithographies de Raoul Ubac; photographies de Christophe Louergli."‎

‎Lettre autographe signée‎

‎[Corse] Charles Jacob Marchal dit Marchal de Calvi (1815-1873), médecin, titulaire de la chaire d'anatomie et de physiologie du Val de Grâce, républicain. L.A.S., Paris, 30 décembre 1862, 1p in-8. Lettre amicale à un « inspecteur », probablement du Val-de-Grâce, qui lui a prêté des livres. [277-2] ‎

‎La garnison de Namur (1830-2003).‎

‎Namur, Les Amis de la Citadelle de Namur, 2003. 17 x 23, 96 pp., nombreuses illustrations en N/B, broché, très bon état.‎

‎Avec la collaboration de Philippe Bragard, Vincent Bruch, Jacques Chainiazu, Dominique François, Alex Furnémont.‎

‎"Bastogne, mon beau pays; découvrir Bastogne et ses villages. Collection : Au beau pays des communes."‎

‎Bruxelles, Didier Hatier, 1984. 15 x 22, 128 pp., nombreuses illustrations en N/B, broché, couverture à rabats, bon état.‎

‎"Droit criminel, traité théorique et pratique (3 volumes); tome I : Les infractions du Code pénal; tome II : (titre V du livre II du Code pénal, art. 269 à 321) infractions des particuliers contre l'ordre public; tome III : (titres VI et VI bis du Code pénal, articles 322 à 347 bis, infractions contre la sécurité publique, crimes relatifs à la prise d'otage, avec une table alphabétique des tomes I, II, III."‎

‎Bruxelles, Ferdinand Larcier, 1975-1976-1982. 16 x 24, 3 volumes, 413 + 407 + 602 pages, broché, bon état.‎

‎"Série complète en 3 volumes; 3e édition."‎

‎Encyclopédie Familia transports (2 volumes).‎

‎Bruxelles, Editions Familia, 17 x 24, 2 volumes, 223 + 207 pages, très nombreuses illustrations en couleurs (images contrecollées), reliure d'édition pleine toile, bon état.‎

‎Ouvrage complet de toutes ses vignettes.‎

‎L'ancien palais de Bruxelles et ses hôtes princiers.‎

‎Bruxelles, Hayez, Imprimeur des Académies, 1905. "14 x 23, 66 pp., 3 planches, broché, bon état (couverture défraîchie; dos recollé)."‎

‎Le crime de Beïra-Mar. Collection : Le jury, N° 24.‎

‎Bruxelles, Editions A. Beirnaerdt, s.d. (ca 1940). 16 x 24, 31 pp., broché, bon état.‎

‎Des marchés du travail équitables? Approche comparative France/Royaume-Uni. Travail et Société, N° 33.‎

‎Bruxelles, P.I.E -Peter Lang, 2001. 15 x 22, 308 pp., broché, très bon état.‎

‎Cahier d'initiation au cinéma.‎

‎Anvers, Editions Plantyn, 1962. "20 x 27, 111 pp., 74 illustrations en N/B, broché, bon état (couverture défraîchie; 1 cachet du Collège Saint Stanislas à Mons)."‎

‎"Un jésuite dans la Résistance, le Père Joseph; un témoignage historique sur le Mouvement National Belge et son journal clandestin ""La Voix des Belges"", 1939-194"". Collection : Grands documents illustrés."‎

‎Bruxelles, Didier Hatier, 1990. 23 x 31, 270 pp., plusieurs illustrations en N/B, broché, bon état (une pliure à la couverture arrière).‎

‎préface de François Bodart.‎

‎"Rendements fiscaux et conjoncture; contribution à la théorie de la sensibilité des impôts."‎

‎Paris, Editions Politiques, Economiques et Sociales/Librairie de Médicis, 1942. 14 x 23, 254 pp., 26 graphiques, 22 tableaux, 4 annexes, broché, non coupé, bon état (couverture défraîchie).‎

‎préface de Gaëtan Pirou.‎

‎La chute du Grand Chimu (roman).‎

‎Paris, Plon, 1955. 14 x 20, 310 pp., broché, bon état.‎

‎Economie politique et technique statitisque.‎

‎Paris, Librairie du Droit et de Jurisprudence, R. Pichon et R. Durand-Auzias, 1945. 14 x 23, 277 pp., plusieurs tableaux et graphiques, broché, bon état (couverture légèrement défraîchie).‎

‎2e édition revue et augmentée‎

‎Le Capanga. Le Jury, collection de romans policiers, N° 34.‎

‎Bruxelles, A. Beirnaerdt, s.d. (ca 1940). 16 x 24, 32 pp., broché, bon état.‎

‎A la recherche d'an et Eefje.‎

‎Bruxelles, Luc Pire, 1997. 16 x 24, 142 pp., broché, bon état.‎

‎traduit du néerlandais par Luc Léens.‎

‎A la recherche d'An et Eefje.‎

‎Bruxelles, Luc Pire, 1997. 16 x 24, 143 pp., broché, bon état.‎

‎traduit du néerlandais par Luc Leens.‎

‎Initiation à la microbiologie.‎

‎Paris, Dunod, 1985. 16 x 24, 192 pp., 81 figures, broché, bon état.‎

‎préface de A. Obré.‎

‎Eléments de pathologie végétale, appliquée à la phytotechnie. Bibliothèque Agronomique Belge.‎

‎Gembloux (Belgique), Jules Duculot/Paris, Librairie Agricole de la Maison Rustique, 1937. 15 x 25, 473 pp., 198 figures, reliure dos/coins toilés avec 1 pièce de titre, bon état (reliure état d'usage).‎